Forces prêtes au combat

Description                          

Déployer des forces prêtes au combat et pouvant réussir dans un environnement de sécurité imprévisible et complexe en exécutant des opérations concomitantes liées à toutes les missions confiées officiellement.

Résultats

Afin de définir la capacité des Forces armées canadiennes (FAC) d’appuyer les missions que le gouvernement du Canada leur confie dans la politique de défense du Canada Protection, Sécurité, Engagement (PSE), il faut contrôler continuellement les capacités clés (personnel, équipement, instruction, approvisionnement). À cette fin, l’État‑major interarmées stratégique – Posture de la force et disponibilité opérationnelle a lancé l’Outil stratégique de gestion de la disponibilité opérationnelle (SMaRT) au printemps de 2018. La directive sur la posture et la préparation des forces définit les exigences nécessaires pour soutenir les capacités et les tâches de concurrence multi missions décrites dans la politique PSE. En tant que système d’enregistrement, le SMaRT procure aux décideurs la possibilité de cerner rapidement et avec exactitude la capacité opérationnelle des FAC de soutenir les missions actuelles et à venir.

L’Aviation royale canadienne (ARC) a produit et maintenu une puissance aérienne et spatiale efficace, pertinente et souple pendant toute l’AF 2018‑2019. Avec des forces aériennes et spatiales agiles et adaptables, l’ARC a appuyé des missions de recherche et de sauvetage (SAR) et des missions du Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord (NORAD) et elle a prêté main-forte aux autorités civiles et à d’autres ministères dans le cadre d’opérations nationales et de secours aux sinistrés. À l’étranger, les forces de l’ARC a pris part à la gamme complète des opérations des FAC et elle a renforcé ses partenariats avec les pays alliés et aidé le Canada à respecter ses engagements internationaux pris envers l’OTAN, les Nations Unies et les opérations de coalition.

À titre de force navale du Canada, la Marine royale du Canada (MRC) a continué d’être un instrument de la puissance nationale rapidement déployable, très souple et polyvalent qui a fourni au gouvernement du Canada des options en matière de défense maritime à l’appui des objectifs nationaux. Afin de répondre à ces besoins, la MRC a pris part à de nombreux déploiements interarmées et axés sur l’interopérabilité tel que l’opération PROJECTION^{Note en fin lvi} et elle a fourni des forces de combat navales efficaces et prêtes à protéger les intérêts du Canada au pays et à l’étranger et, en cela, elle a été appuyée par sa formidable équipe composée de membres de la Force régulière et de la Réserve ainsi que de personnel civil. Il faut mentionner que durant l’AF 2018‑2019, le Canada a pris le commandement de la Force opérationnelle multinationale 150 (CFT‑150), c’est-à-dire la force opérationnelle maritime internationale dont la mission consiste à perturber les organisations terroristes et leurs activités illicites dans le cadre de l’opération ARTEMIS^{Note en fin lvii}.

L’Armée canadienne (AC) est constituée de membres de la Force régulière et de la Réserve, des rangers canadiens et du personnel civil, autant d’éléments qui travaillent ensemble pour donner au Canada un éventail de capacités militaires fiables et souples qui lui procurent une puissance terrestre décisive pour atteindre les objectifs canadiens en matière de défense dans toute la gamme des opérations. Tout au long de l’AF 2018-2019, l’AC est demeurée prête à défendre le Canada et l’Amérique du Nord et à contribuer à la paix et à la sécurité internationales.

Le Programme de gestion de l’état de préparation interarmées fournit des lignes directrices relatives à l’instruction sur la disponibilité opérationnelle interarmées dans les FAC. Il donne également des directives sur ce qui doit être fait pour maintenir et accroître le niveau de disponibilité opérationnelle interarmées des FAC. La plupart des exercices d’entraînement interarmées sont axés sur les trois fonctions opérationnelles que sont le commandement, la détection et le maintien en puissance, avec de légères variations seulement. Dans l’ensemble, 51 des 54 tâches interarmées des FAC auraient été exécutées au moins une fois en 2018-2019.

Résultat ministériel 2.1 – Les Forces armées canadiennes sont prêtes à mener des opérations concomitantes

• Les FAC ont mis sur pied et maintenu en puissance des forces navales, terrestres et aériennes, des forces d’opérations spéciales et des capacités interarmées à disponibilité opérationnelle élevée afin d’atteindre les niveaux de posture de la force et de la disponibilité opérationnelle exigés par le chef d’état-major de la Défense (CEMD) et de satisfaire aux exigences concomitantes en matière de mission décrites dans la politique de défense du Canada Protection, Sécurité, Engagement. Au cours de l’AF 2018-2019, nous avons fait progresser un certain nombre d’initiatives pour améliorer la disponibilité opérationnelle, dont les suivantes :
  • Le pétrolier ravitailleur d’escadre provisoire, le M/V Asterix, est entré en service au sein de la MRC pour atténuer le manque de navires de ravitaillement. Pendant la période visée par le rapport, le M/V Asterix bâtiment a appuyé la flotte de la MRC et de marines partenaires pendant l’exercice Rim of the Pacific (RIMPAC) 2018 et l’opération PROJECTION. Le premier navire de patrouille extracôtier et de l’Arctique, soit le futur NCSM Harry DeWolf, a été lancé à l’automne 2018 et est censé être livré à la MRC au cours de l’hiver 2020;
  • Grâce à son Plan de gestion de l’état de préparation, l’AC a continué à manifester sa capacité de s’adapter à l’environnement opérationnel en constante évolution en mettant sur pied et en déployant des capacités pour mener des opérations concomitantes, par suite de crises intérieures (p. ex. inondations, feux de forêt et tempêtes hivernales), et des opérations internationales (p. ex. le groupement tactique assurant une présence avancée renforcée (PAR) en Lettonie). Durant 2018‑2019, plus de 3 000 membres de l’AC ont pris part à des opérations au pays même et plus de 3 800 autres ont participé à des opérations internationales;
  • En attendant l’arrivée des avions de chasse qui remplaceront toute la flotte de CF‑18, le Canada a acheté au gouvernement de l’Australie 18 avions de chasse ainsi que les pièces de rechange et l’équipement connexe afin d’accroître rapidement la disponibilité de sa flotte de CF‑18 et de faire en sorte que l’ARC puisse respecter simultanément ses obligations nationales et internationales*;
  • L’Aviation royale canadienne (ARC) a souligné l’arrivée des deux premiers avions de chasse provisoires cette année; c’est là un investissement important fait pour maintenir en puissance des avions prêts à exécuter des missions dans notre flotte actuelle de CF‑18 Hornet*;
  • Les essais du premier avion de recherche et de sauvetage menés par le constructeur ont commencé en Espagne, et l’appareil est censé arriver à la 19^e Escadre Comox en Colombie‑Britannique au printemps de 2020. L’instruction initiale des équipages et des techniciens de l’ARC à débuté en Espagne en septembre 2019, et la construction du nouveau centre d’instruction devrait être terminée à la 19^e Escadre Comox au milieu de 2020; et
  • Le CH‑124 Sea King a été retiré du service en décembre 2018 lors d’une cérémonie organisée conjointement par la MRC et l’ARC. Il a été remplacé par le CH‑148 Cyclone construit par Sikorsky. Au cours de l’AF 2018‑2019, trois appareils de ce genre ont été utilisés au sein de détachements opérationnels embarqués : le premier, à bord du NCSM Ville de Québec, de juillet 2018 à janvier 2019, et le deuxième, à bord du NCSM Toronto, en janvier 2019 à l’appui de l’opération REASSURANCE en Europe. Parallèlement, le troisième est utilisé depuis janvier 2019 à bord du NCSM Regina à l’appui de l’opération PROJECTION et de l’opération ARTEMIS en Asie-Pacifique.

*Remarque : Le CF-18, qui a été adapté de «American F/A-18», est également connu sous le nom de CF-188 officiellement désigné à l'usage canadien.

• Le lancement des satellites canadiens d’observation de la Terre (la Mission de la constellation RADARSAT) a été retardé en 2018 à cause de problèmes techniques et contractuels imprévus sur lesquels le ministère de la Défense nationale (MDN) ne pouvait exercer aucun contrôle. L’ARC a continué de travailler avec nos partenaires à l’été 2019 afin de procéder au lancement à la date prévue. Une fois en ligne (*lancement effectué le 12 juin 2019), les nouveaux satellites répondront aux besoins de surveillance de tout le gouvernement, en surveillant notamment les approches océaniques du Canada et tout le domaine maritime aux fins de la défense et de la sécurité du pays.
• Le MDN et les FAC ont continué à respecter leur engagement d’exécuter des exercices interarmées et de conserver des capacités interarmées pour faire en sorte que les FAC puissent satisfaire aux attentes du gouvernement au chapitre de la défense en renforçant l’état de préparation en vue des missions. En ce qui concerne les priorités prévues pour l’AF 2018‑2019 :
  • Deux exercices ont lieu chaque année en vertu des protocoles de l’Initiative nord-américaine de sécurité maritime (NAMSI) signés par le Canada, les États-Unis et le Mexique. Cette initiative met d’habitude principalement l’accent sur la répression du trafic des drogues; par conséquent, les deux exercices qui ont eu lieu au cours de l’AF 2018‑2019 ont été importants en ce sens qu’ils ont prévu l’élargissement de la coopération et la multiplication des leçons retenues aux efforts de recherche et de sauvetage, d’aide humanitaire et de secours aux sinistrés. Voici ces deux exercices :
    • GOMEX (Exercice dans le golfe du Mexique dans le cadre de la NAMSI). En 2018-2019, il s’agissait d’un exercice sur table axé sur un scénario concernant un gros navire de croisière en feu; il s’est alors agi de mettre en pratique les mesures que les trois pays adopteraient aux chapitres des communications, du sauvetage et du traitement des passagers internationaux. L’exercice a permis de mieux comprendre les interventions et les procédures opérationnelles normalisées des trois pays relatives aux recherches et aux sauvetages en mer; et
    • PACEX (Exercice sur la côte du Pacifique dans le cadre de la NAMSI). Il s’agissait d’un exercice de poste de commandement : le scénario concernait une explosion survenue à bord d’un gros navire de pêche à l’intérieur duquel des migrants clandestins (et peut-être même des criminels) se trouvaient. L’exercice comportait des communications avec des commandements dans toute l’Amérique du Nord. Diverses leçons ont été retenues sur la façon de coordonner l’emploi des ressources, en particulier les ressources aériennes, et d’échanger l’information entre les trois pays.
• TRIDENT JUNCTURE/JOINTEX 18. En 2018-2019, la principale activité d’entraînement a été l’exercice JOINTEX, qui était relié à l’exercice TRIDENT JUNCTURE 18 de l’OTAN. Il s’agissait d’un exercice réel mené en Norvège et dans les mers environnantes, à la fin d’octobre 2018 et au début de novembre. Des pays de l’OTAN et des pays partenaires se sont alors exercés à collaborer sans heurts. Dans le cadre de leur participation, les FAC ont veillé à donner suite à l’engagement du Canada envers la Force de réaction renforcée de l’OTAN 2019.
  • L'intégration du commandement et du contrôle, des communications, des ordinateurs, du renseignement, de la surveillance et de la reconnaissance ainsi que des processus de ciblage stratégique et opérationnel et de la mise en scène et du soutien du théâtre dans un environnement du Groupe des cinq a été pratiquée dans le cadre de l’exercice TRIDENT JUNCTURE/JOINTEX 18; et
  • L'emploi et la défense des segments de réseau de l'OTAN pour une force opérationnelle interarmées canadienne dans le cadre d'une opération de spectre complet de l'OTAN ont été exercés dans le cadre de l’exercice TRIDENT JUNCTURE/JOINTEX 18.
• L'interopérabilité des organismes gouvernementaux et non gouvernementaux dans la gestion des conséquences d'un événement de sécurité intérieure a été pratiquée pendant l’exercice PALADIN BOREAL (dirigé par la Sécurité publique); et
• Le commandement, le contrôle et la coopération avec les pays de l'Arctique, y compris les États-Unis, dans la conduite de la recherche et de sauvetage dans l'Arctique dans le cadre de l’exercice ARCTIC ZEPHYR ont été reportés à l'AF 2020-2021.

Exercise TRIDENT JUNCTURE 18

• L’exercice VIGILANT SHIELD est mené tous les ans en conjonction avec le NORAD, l’United States Northern Command (USNORTHCOM) et d’autres commandements des États-Unis. Cet exercice et d’autres qui ont pour objet la défense du Canada et des États-Unis visent à garantir l’état de préparation en vue des missions, à développer des partenariats de confiance et à renforcer les capacités. L’exercice vise à préparer les participants à travailler à la défense du continent nord-américain et il porte sur la coordination de la planification ainsi que du commandement et du contrôle entre les quartiers généraux concernés. À la faveur de cet exercice, les FAC ont parfait la coopération militaire interarmées et multinationale aux chapitres de la planification, de la préparation et de l’exécution des opérations de défense de l’Amérique du Nord, aux fins des missions suivantes :
  • Mission n^o 1 : Détecter et dissuader les menaces ou les attaques visant le Canada et s’en défendre; et
  • Mission n^o 2 : Détecter et dissuader les menaces ou les attaques visant l’Amérique du Nord et s’en défendre en partenariat avec les États-Unis, notamment par l’entremise du NORAD.
• L’exercice VIGILANT SHIELD avait été planifié et préparé, mais l’exécution en a été annulée cette année parce que le NORAD et le quartier général de l’United States Northern Command (USNORTHCOM) ont apporté leur soutien aux sinistrés touchés par de véritables ouragans.

• L’exercice Rim of the Pacific (RIMPAC), le plus important exercice militaire maritime du monde, regroupe les forces de nombreux pays. Les pays que la région baignée par le Pacifique intéresse envoient des navires, des aéronefs et des troupes participer à l’exercice qui a lieu tous les deux ans. L’exercice RIMPAC 2018 s’est tenu entre la fin de juin et le début d’août 2018. Il était dirigé par la Marine américaine et s’est déroulé à l’intérieur et autour de l’archipel des Hawaï et au sud de la Californie. Cinq navires de la MRC et 675 militaires canadiens ont participé à l’exercice RIMPAC. Les navires ont pris part à de nombreux scénarios d’entraînement qui portaient, par exemple, sur la guerre anti-sous-marine, les opérations d’interdiction maritimes, le dragage des mines et la neutralisation des explosifs. Environ 170 soldats de l’AC faisaient partie de la force opérationnelle multinationale air-sol des marines. L’ARC a déployé environ 45 membres et un avion de patrouille maritime CP-140; elle a accompli plus d’une douzaine de missions de guerre anti-sous-marine et accumulé plus de 100 heures de vol.

• TRADEWINDS est un exercice interorganismes multinational d’interdiction maritime et de sécurité au sol dirigé par l’United States Southern Command. Des membres des FAC y ont pris part en juin 2018. Il a réuni des participants de 22 pays et organisations régionales clés. L’exercice a eu lieu à Saint-Kitts-et-Nevis et dans les Bahamas. Les FAC ont participé aux activités en mer et sur la terre ferme. En tout, elles ont envoyé environ 80 soldats et marins, y compris un navire, une équipe de plongeurs et des mentors de la MRC et de l’AC; par ailleurs, une équipe conjointe d’évaluation des catastrophes, composée de représentants des FAC et d’Affaires mondiales Canada (AMC), s’est entraînée à intervenir en cas de crises humanitaires.
• Le Commandement des Forces d’opérations spéciales du Canada (COMFOSCAN) a maintenu une force d’opérations spéciales polyvalente et hautement spécialisée, prête à se déployer au Canada et à l’étranger dans des situations menaçant l’intérêt national; pour cela, il a organisé des activités d’entraînement individuel et collectif avec des alliés clés et les partenaires du Groupe des cinq. Ses efforts ont été couronnés de succès grâce à la préparation et au maintien de forces à haut niveau de disponibilité opérationnelle ainsi qu’au commandement et au contrôle de ses activités opérationnelles dans le monde entier. Toutes les tâches confiées par le CEMD ont été accomplies, ou une suite a été donnée à toutes les demandes d’aide qui provenaient d’autres ministères, notamment pour le renforcement des capacités; par ailleurs, de solides progrès ont eu lieu à l’égard des tâches et des demandes portant sur plusieurs années, ce qui a contribué encore plus à la sécurité nationale et l’a affermie. Le COMFOSCAN a aidé la Défense nationale à concrétiser ses priorités consistant à investir dans son personnel et à renforcer l’organisation en mettant en œuvre dans toute sa structure des programmes qui favorisent la résilience, améliorent le rendement et établissent les conditions pour la réadaptation optimale dans quatre volets fondamentaux de la dimension humaine : les volets physique, psychologique, spirituel et familial. Cela a pour but de maintenir et de favoriser l’état de préparation opérationnelle et l’excellence du rendement.

Afin d’obtenir plus de renseignements, veuillez consulter les sites Web suivants :

• Se renseigner sur les divers exercices militaires^{Note en fin lviii} grâce auxquels les Forces armées canadiennes s’entraînent et se préparent à exécuter les opérations futures au Canada et à l’étranger.
• Marine royale canadienne^{Note en fin lix}, Armée canadienne^{Note en fin lx}, Aviation royale canadienne^{Note en fin lxi}
• Commandement du personnel militaire^{Note en fin lxii}
• Commandement des Forces d’opérations spéciales du Canada^{Note en fin lxiii}
• Commandement des opérations interarmées du Canada^{Note en fin lxiv}
• Commandement du renseignement des Forces canadiennes^{Note en fin lxv}
• État‑major interarmées stratégique^{Note en fin lxvi}

Résultats atteints

Résultat ministériel 2.2 – L’équipement militaire est prêt pour l’entraînement et les opérations

• Le Ministère a fait des progrès en vue de mettre au point et de maintenir en puissance les capacités nécessaires pour entreprendre les opérations et les exercices qui ont lieu au Canada et un peu partout dans le monde et qui nécessitent un personnel bien entraîné et un équipement militaire — aéronefs, navires, véhicules et armes — en bon état et à un certain niveau de préparation. Cela signifie qu’une fois l’équipement disponible, il est maintenu dans un bon état de fonctionnement pour servir dans les FAC. L’entretien et la réparation de l’équipement exigent l’apport du personnel civil et militaire et d’entreprises du secteur privé. Les dépenses faites dans ce domaine contribuent grandement à l’économie canadienne chaque année.
• Par suite des constatations formulées par le vérificateur général du Canada dans son rapport de l’automne 2016, la disponibilité et l’état de fonctionnement des divers équipements clés des FAC ont continué de faire l’objet d’un suivi au cours de l’AF 2018‑2019, et nous avons amélioré encore nos critères de mesure de ces deux aspects et la contribution de ces équipements pour garantir l’état de préparation de nos forces et la bonne exécution des opérations. Voici les points saillants de l’année 2018‑2019 à cet égard :
  • Nous avons continué à surveiller les taux de disponibilité et de fonctionnement de toutes les flottes d’aéronefs et à faire rapport à cet égard tous les mois, grâce à un processus conçu en bonne et due forme pour garantir l’état de préparation du matériel et la bonne exécution des opérations;
  • Les navires de la MRC ont été entretenus selon le niveau de disponibilité prévu; cependant, les changements apportés au calendrier en raison des périodes transitoires passées en cale sèche par les sous‑marins ont influé sur l’état de service des navires; et
  • L’AC a satisfait à ses exigences liées à la posture de la force et de la disponibilité opérationnelle pour l’AF 2018‑2019 et à ses exigences relatives à l’état de préparation de l’équipement servant à l’instruction et au soutien institutionnel. Les programmes de gestion de l’équipement relevant des commandements, par exemple le Programme sur la disponibilité de l’équipement de l’Armée canadienne visant à améliorer l’état de service de l’équipement, sont en vigueur et sont surveillés de près. 

Résultats atteints

Ressources financières budgétaires (en dollars)

Ressources humaines (équivalents temps plein)