Rickettsia typhi : Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes

Section I – Agent infectieux

Nom

Rickettsia typhi

Type d'agent

Bactérie

Taxonomie

Famille

Rickettsiaceae

Genre

Rickettsia

Espèce

typhi

Synonyme ou renvoi

Aussi connu sous le nom de Rickettsia mooseriNote de bas de page 1, typhus murin, typhus endémique ou typhus à pucesNote de bas de page 2.

Caractéristiques

Brève description

Rickettsia typhi (R. typhi) est un bacille à Gram négatif non motile mesurant 0,5 μm par 0,8 à 2,0 μm. Le génome circulaire unique a une longueur de 1,1 Mbp et une teneur GC moyenne de 28,9 %Note de bas de page 3. Ces bactéries intracellulaires obligatoires peuvent être cultivées in vitro à l'aide d'embryons de poulet ou de cellules de cultures tissulaires (p. ex., cellules L-929, Vero, MRC5, BHK-21, HEL)Note de bas de page 1. Chez les humains et dans les modèles animaux, les espèces de Rickettsia cible de préférence les cellules endothéliales vasculairesNote de bas de page 4.

Propriétés

Chez les puces vecteurs, R. typhi croît dans l'épithélium de l'intestin moyen et est excrété dans les fècesNote de bas de page 5. R. typhi est transmis entre les vecteurs par un réservoir (habituellement des rats) ou par transmission transovarienne à leur progénitureNote de bas de page 5. Chez l'hôte, R. typhi cible les cellules endothélialesNote de bas de page 5Note de bas de page 6. R. typhi adhère aux cellules hôtes à l'aide d'une protéine rOmpB qui forme un disulfure intermoléculaire qui est seulement présent chez les rickettsies causant le typhusNote de bas de page 1Note de bas de page 7. R. typhi pénètre dans les cellules hôtes par phagocytose induite. Une fois à l'intérieur de la cellule hôte, les bactéries s'échappent du phagosome, envahissent le cytosol et se répliquent par fission binaire. R. typhi est libéré des cellules hôtes lysées peu après l'invasion des cellules hôtesNote de bas de page 1Note de bas de page 5. L'infection stimule l'activation des mécanismes d'oxydation et autres réponses immunitaires qui entraînent des symptômesNote de bas de page 6.

Section II – Identification des dangers

Pathogénicité et toxicité

R. typhi est l'agent causal du typhus murinNote de bas de page 6. Les symptômes comprennent un début brusque de fièvre accompagnée de maux de tête, de myalgie et de malaisesNote de bas de page 8. L'éruption maculaire ou maculopapulaire sur le tronc et les membres est présente dans environ 50 % des casNote de bas de page 8.

L'anorexie, les nausées, les vomissements et les douleurs abdominales sont souvent présents. Le taux de létalité par typhus murin est inférieur à 4 % et est encore plus faible avec un traitement appropriéNote de bas de page 2Note de bas de page 8Note de bas de page 9Note de bas de page 10Note de bas de page 11. L'hospitalisation survient dans plus de 50 % des cas et des complications surviennent dans environ 25 % des casNote de bas de page 8Note de bas de page 12Note de bas de page 13. Des complications pulmonaires, rénales, gastro-intestinales et neurologiques ont été signaléesNote de bas de page 8Note de bas de page 13Note de bas de page 14Note de bas de page 15Note de bas de page 16. Parmi les complications rares, il y a la coagulation intravasculaire disséminée, la rupture de la rate, les complications oculaires et l'insuffisance de plusieurs organesNote de bas de page 8Note de bas de page 17. La fièvre disparaît habituellement trois jours après le traitement, mais elle peut durer jusqu'à 22 jours sans traitementNote de bas de page 8Note de bas de page 13Note de bas de page 18.

Lorsqu'ils sont infectés par R. typhi, les animaux ne présentent habituellement pas de signes cliniques de la maladie, comme le démontrent les études de séroprévalence chez des animaux par ailleurs en bonne santéNote de bas de page 2Note de bas de page 11Note de bas de page 19Note de bas de page 20Note de bas de page 21Note de bas de page 22.

Épidémiologie

L'infection à R. typhi est à un niveau endémique à l'échelle mondialeNote de bas de page 23. Le typhus murin est répandu dans les régions tropicales et subtropicales, en particulier dans les environnements urbains densesNote de bas de page 2. Le typhus murin est habituellement moins grave chez les enfantsNote de bas de page 8Note de bas de page 18Note de bas de page 24. La plupart des cas surviennent durant l'été et l'automne, mais la variation saisonnière n'est pas observée dans certaines régionsNote de bas de page 8. Aux États-Unis, il est probable que des cas se produisent le long des zones côtières ayant des ports où ils sont maintenus dans des rats réservoirs, la plupart des cas se produisant dans des zones suburbaines d'HawaïNote de bas de page 25, du TexasNote de bas de page 26 et de la CalifornieNote de bas de page 2Note de bas de page 18. Dans ces États, moins de 100 cas sont signalés chaque année, mais le typhus murin est souvent sous-déclaré en raison d'un mauvais diagnosticNote de bas de page 11Note de bas de page 22. En 1982, une éclosion de typhus murin s'est produite au Texas, au cours de laquelle cinq cas ont été signalésNote de bas de page 27.

La gravité de la maladie est associée à l'âge avancé, à la dysfonction rénale, à la leucocytose, à l'hypoalbuminémie, à l'état nutritionnel, à la qualité des soins de soutien ou à l'utilisation antérieure d'antibiotiques à base de sulfamidesNote de bas de page 10Note de bas de page 13Note de bas de page 28.

Gamme d'hôtes

Hôtes naturels

HumainsNote de bas de page 2, chiensNote de bas de page 29.

Autres hôtes

R. typhi introduit expérimentalement dans les cobayes, les souris C3H/HeN et les opossums, produit des signes cliniques de maladieNote de bas de page 30Note de bas de page 31.

Dose infectieuse

La dose infectieuse à 50 % (DI50) chez le rat est d'environ un organismeNote de bas de page 32.

Période d'incubation

Elle peut varier de 8 à 16 jours, avec une moyenne de 11 joursNote de bas de page 33.

Transmissibilité

R. typhi est transmis par injection lors de piqûres des puces vecteurs à un hôte ou par contact avec des fèces de puces sur la peau endommagée ou les muqueusesNote de bas de page 19. Les bactéries sont également présentes dans les organes reproducteurs de la puce, ce qui permet une infection transovarienne à la progéniture du vecteurNote de bas de page 2. La transmission par inhalation est considérée comme probable étant donné que les formes aérosolifiées de R. typhi et autres Rickettsia spp. ont causé des maladies chez des travailleurs de laboratoire et peuvent causer des infections chez les singes et les cobayesNote de bas de page 34Note de bas de page 35Note de bas de page 36Note de bas de page 37Note de bas de page 38.

Section III – Dissémination

Réservoir

Les rats sont les principaux réservoirs du cycle de transmission « urbain »Note de bas de page 1. Les opossums, les chats et les chiens sont des réservoirs du cycle de transmission « en banlieue »Note de bas de page 2Note de bas de page 21Note de bas de page 22.

Zoonose

Aucune.

Vecteurs

Les poux du rat « Polyplax spinulosus », les puces du rat « Xenopsylla cheopis », les puces des humains Pulex irritans, les puces du chat Ctenocephalides felis et Leptopsylla segnisNote de bas de page 1Note de bas de page 2Note de bas de page 39.

Section IV – Viabilité et stabilité

Sensibilité/résistance aux médicaments

Les tétracyclines (p. ex., doxycycline, minocycline)Note de bas de page 40Note de bas de page 41; les macrolides comme la josamycine, l'azithromycine et la clarithromycineNote de bas de page 40Note de bas de page 42; la rifampicineNote de bas de page 40; la télithromycineNote de bas de page 43; le chloramphénicolNote de bas de page 44; le thiamphénicolNote de bas de page 40; les fluoroquinolones (la ciprofloxacine, l'ofloxacine, la pefloxacine)Note de bas de page 40 et l'érythromycineNote de bas de page 40 sont efficaces contre R. typhi.

On a signalé des isolats résistants à la rifampineNote de bas de page 45. Certains groupes d'antibiotiques, y compris les β-lactames, les aminoglycosides et le co-trimoxazole ne sont pas du tout efficaces pour le traitement des rickettsiesNote de bas de page 5.

Sensibilité aux désinfectants

Les rickettsies sont sensibles à l'hypochlorite de sodium à 1 %, à l'éthanol à 70 %, au glutaraldéhyde à 2 %, au formol à 0,1 %, au tampon AVL, à la β-propiolactone à 0,125 % et aux composés d'ammonium quaternaireNote de bas de page 46Note de bas de page 47.

Inactivation physique

La chaleur humide (121 °C pendant 15 minutes) et la chaleur sèche (170 °C pendant un heure) sont efficaces contre les bactéries comme R. typhiNote de bas de page 46Note de bas de page 48. La chaleur à 56 °C pendant cinq minutes est efficace contre les rickettsiesNote de bas de page 47.

Survie à l'extérieur de l'hôte

Les rickettsies dépendent des cellules de l'hôte pour leur survie et leur reproduction, elles sont donc incapables de survivre pendant une longue période à l'extérieur de l'hôteNote de bas de page 49. Toutefois, à température ambiante, R. typhi peut survivre jusqu'à 40 jours dans les fèces séchées de pucesNote de bas de page 50.

Section V – Premiers soins et aspects médicaux

Surveillance

Le diagnostic se fait au moyen de la surveillance des symptômes cliniques. Des épreuves sérologiques (p. ex., essai d'immunofluorescence indirecte, essai d'immunoperoxydase indirecte, agglutination de particules de latex, ELISA) peuvent être utilisées pour détecter les Rickettsiae du typhusNote de bas de page 51Note de bas de page 52Note de bas de page 53Note de bas de page 54. L'essai d'immunofluorescence indirecte est la norme par excellenceNote de bas de page 2Note de bas de page 18. Les épreuves sérologiques ne permettent pas de distinguer les espèces de rickettsies. Il faut prélever des échantillons jumelés de sang (phase aiguë et convalescente) et la séroconversion est habituellement détectée de 7 à 15 jours après l'apparition de la maladie, ce qui limite l'utilité de ces épreuves diagnostiques pour prendre des décisions cliniques rapidesNote de bas de page 18. L'analyse PCR sur des échantillons de sang et des biopsies tissulaires a été utilisée pour détecter R. typhi en amplifiant les gènes spécifiques à cette bactérieNote de bas de page 55Note de bas de page 56Note de bas de page 57. Les méthodes d'immunocoloration sont également utilisées pour détecter les rickettsies dans les cellules infectées au microscope, mais cette méthode n'est pas assez spécifique pour distinguer les différentes espècesNote de bas de page 58.

Remarque : Les recommandations spécifiques pour la surveillance en laboratoire devraient provenir du programme de surveillance médicale, qui est fondé sur une évaluation locale des risques des agents pathogènes et des activités en cours, ainsi qu'une évaluation globale des risques du programme de biosécurité dans son ensemble. De plus amples renseignements sur la surveillance médicale sont disponibles dans le Guide canadien sur la biosécurité (GCB).

Premiers soins et traitement

Le typhus murin peut être traité avec des antibiotiques appropriés. La doxycycline seule (200 mg par jour) ou en association avec un antibiotique fluoroquinolone est couramment administréeNote de bas de page 2Note de bas de page 8Note de bas de page 41Note de bas de page 44. Un diagnostic et un traitement rapides ont tendance à améliorer les résultats pour les patientsNote de bas de page 10. La durée habituelle du traitement est de 3 à 7 joursNote de bas de page 2Note de bas de page 41. Toutefois, la doxycycline n'est pas recommandée pour les femmes enceintes. Le chloramphénicol a été utilisé comme traitement pendant la grossesse, mais il présente un risque d'anémie aplasiqueNote de bas de page 2Note de bas de page 59. D'autres traitements, y compris les macrolides (c'est-à-dire l'azithromycine), sont des options plus sûres, mais ils sont moins efficaces que la doxycyclineNote de bas de page 60.

Les chiens qui présentent cliniquement une infection à R. typhi sont traités avec de la doxycyclineNote de bas de page 29.

Remarque : Les recommandations spécifiques concernant les premiers soins et les traitements en laboratoire devraient provenir du plan d'intervention après exposition, qui est élaboré dans le cadre du programme de surveillance médicale. De plus amples renseignements sur le plan d'intervention après l'exposition sont disponibles dans le GCB.

Immunisation

Aucun vaccin n'est actuellement disponible.

Remarque : De plus amples renseignements sur le programme de surveillance médicale sont disponibles dans le GCB et en consultant le Guide canadien d'immunisation.

Prophylaxie

Aucune.

Remarque : De plus amples renseignements sur la prophylaxie dans le cadre du programme de surveillance médicale sont disponibles dans le GCB.

Section VI – Dangers pour le personnel de laboratoire

Infections contractées en laboratoire

Soixante-huit cas de typhus murin associés à des expositions en laboratoire ont été signalés avant 1974Note de bas de page 61. De 1979 à 2004, 12 cas d'infection à Rickettsiae du typhus contractée en laboratoire ont été signalésNote de bas de page 62. Un cas de typhus murin s'est produit lorsqu'une solution contenant R. typhi a éclaboussé l'œil et les lèvres d'un technicien de laboratoireNote de bas de page 63. On soupçonne que de nombreux cas sont transmis par des aérosolsNote de bas de page 38.

Remarque : Veuillez consulter la Norme canadienne sur la biosécurité (NCB) et le GCB pour obtenir de plus amples renseignements sur les exigences relatives à la déclaration des incidents d'exposition. Une ligne directrice canadienne sur la biosécurité décrivant les procédures de déclaration est également disponible.

Sources et échantillons

Échantillons de sang, de tissus et de vecteursNote de bas de page 2.

Dangers primaires

L'autoinoculation accidentelle avec des matières infectieuses, l'inhalation d'aérosols infectieux et l'exposition des muqueuses sont les principaux dangers associés à l'exposition à R. typhiNote de bas de page 2Note de bas de page 38.

Dangers particuliers

Aucun.

Section VII – Contrôle de l'exposition et protection personnelle

Classification par groupe de risque

R. typhi est considéré comme étant un pathogène humain du groupe de risque 3 et un pathogène animal du groupe de risque 3Note de bas de page 64.

Exigences de confinement

Les installations, l'équipement et les pratiques opérationnelles de niveau de confinement 3, tels que décrits dans la NCB pour le travail avec des matières, des animaux ou des cultures infectieux ou possiblement infectieux.

Vêtements de protection

Les exigences applicables au niveau de confinement 3 pour l'équipement et les vêtements de protection individuelle décrites dans la NCB doivent être respectées. À tout le moins, l'utilisation de vêtements protecteurs dédiés qui recouvrent entièrement le corps, de chaussures de sécurité dédiées et/ou de couvre-chaussures, de gants lors de la manipulation de matières infectieuses ou d'animaux infectés, d'une protection du visage lorsqu'il y a un risque connu ou potentiel d'exposition aux éclaboussures ou aux objets projetés en l'air, d'appareils de protection respiratoire lorsqu'il y a un risque d'exposition à des aérosols infectieux et d'une deuxième couche de vêtements de protection avant de travailler avec des matières infectieuses ou des animaux infectés.

Remarque : Une évaluation locale des risques permettra de déterminer la protection appropriée pour les mains, les pieds, la tête, le corps, les yeux, le visage et les voies respiratoires. De plus, les exigences relatives à l'équipement de protection individuelle pour la zone de confinement et les activités de travail doivent être documentées.

Autres précautions

Toutes les activités impliquant des récipients ouverts d'agents pathogènes doivent être effectuées dans une enceinte de sécurité biologique (ESB) certifiée ou un autre espace de confinement primaire approprié. L'utilisation d'aiguilles, de seringues et d'autres objets pointus doit être strictement limitée. Des précautions supplémentaires doivent être prises pour les travaux impliquant des animaux ou des activités à grande échelle.

Section VIII – Manutention et entreposage

Déversements

Laisser les aérosols se déposer. Tout en portant de l'équipement de protection individuelle, couvrir doucement le déversement avec du papier absorbant et appliquer un désinfectant approprié, à partir du périmètre et en allant vers le centre. Permettre un contact suffisant avec le désinfectant avant le nettoyage (GCB).

Élimination

Les matières réglementées, ainsi que tous les articles et les déchets doivent être décontaminés à la barrière de confinement avant leur retrait de la zone de confinement, de la salle animalière, du box ou de la salle de nécropsie. Pour ce faire, on peut utiliser des technologies et des procédés de décontamination qui se sont avérés efficaces contre les matières infectieuses, comme les désinfectants chimiques, l'autoclave, l'irradiation, l'incinération, un système de traitement des effluents ou une décontamination gazeuse (GCB).

Entreposage

Les exigences applicables en matière de confinement de niveau 2 pour l'entreposage, décrites dans la NCB, doivent être respectées. Les contenants primaires de matières réglementées retirés de la zone de confinement doivent être entreposés dans des contenants secondaires étiquetés, étanches, résistants aux chocs et conservés dans un équipement d'entreposage verrouillé ou dans un espace auquel l'accès est limité.

Un inventaire des agents pathogènes du GR3 entreposés pour une longue durée doit être dressé et inclure :

Section IX – Renseignements sur la réglementation et autres

Renseignements sur la réglementation canadienne

Les activités contrôlées avec R. typhi nécessitent un permis d'agent pathogène humain et de toxines, délivré par l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC). R. typhi est un agent pathogène d'animaux terrestres au Canada. Par conséquent, l'importation de R. typhi nécessite un permis d'importation en vertu du Règlement sur la santé des animaux (RSA). L'ASPC délivre un « permis visant des agents pathogènes et des toxines », que ce soit un permis d'importation en vertu de la Loi sur les agents pathogènes humains et les toxines ou un permis d'importation en vertu du RSA.

Voici une liste non exhaustive des désignations, règlements ou lois applicables :

Dernière mise à jour

Octobre 2023

Rédigé par

Centre de la biosûreté, Agence de la santé publique du Canada.

Mise en garde

L'information scientifique, opinions et recommandations contenues dans cette Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes ont été élaborées sur la base de ou compilées à partir de sources fiables disponibles au moment de la publication. Les dangers nouvellement découverts sont fréquents et ces informations peuvent ne pas être totalement à jour. Le gouvernement du Canada ne se tient pas responsable de leur justesse, de leur caractère exhaustif ou de leur fiabilité, ni des pertes ou blessures pouvant résulter de l'utilisation de ces renseignements.

Les personnes au Canada sont tenues de se conformer aux lois pertinentes, y compris les règlements, les lignes directrices et les normes applicables à l'importation, au transport et à l'utilisation d'agents pathogènes au Canada, établis par les autorités réglementaires compétentes, notamment l'Agence de la santé publique du Canada, Santé Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Environnement et Changement climatique Canada et Transports Canada. La classification des risques et les exigences réglementaires connexes mentionnées dans la présente Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes, telles que celles qui figurent dans la norme canadienne de biosécurité, peuvent être incomplètes et sont spécifiques au contexte canadien. D'autres juridictions auront leurs propres exigences.

Tous droits réservés © Agence de la santé publique du Canada, 2023, Canada

Références

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Note de bas de page 30

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Note de bas de page 31

Blanton, L. S., B. R. Quade, A. Ramírez-Hernández, N. L. Mendell, A. Villasante-Tezanos, D. H. Bouyer, J. L. VandeBerg, et D. H. Walker. 2022. Experimental Rickettsia typhi Infection in Monodelphis domestica: Implications for Opossums as an Amplifying Host in the Suburban Cycle of Murine Typhus. Am J Trop Med Hyg 107:102-109.

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Note de bas de page 32

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Note de bas de page 33

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Note de bas de page 34

Walker, D. H. 2003. Principles of the malicious use of infectious agents to create terror: reasons for concern for organisms of the genus Rickettsia. Ann. N. Y. Acad. Sci. 990:739-742.

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Note de bas de page 35

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Note de bas de page 36

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Note de bas de page 37

Saslaw, S., et H. N. Carlisle. 1966. Aerosol infection of monkeys with Rickettsia rickettsii. Bacteriological Reviews. 30(3):636-645.

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Note de bas de page 38

Blacksell, S. D., M. T. Robinson, P. N. Newton, et N. P. J. Day. 2019. Laboratory-acquired Scrub Typhus and Murine Typhus Infections: The Argument for a Risk-based Approach to Biosafety Requirements for Orientia tsutsugamushi and Rickettsia typhi Laboratory Activities. Clin Infect Dis 68:1413-1419.

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Note de bas de page 39

Azad, A. F. 1990. Epidemiology of murine typhus. Annu. Rev. Entomol. 35:553-569.

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Note de bas de page 40

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Note de bas de page 41

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Note de bas de page 42

Keysary, A., A. Itzhaki, E. Rubinstein, C. Oron, et G. Keren. 1996. The in-vitro anti-rickettsial activity of macrolides. J. Antimicrob. Chemother. 38:727-731.

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Note de bas de page 43

Rolain, J. M., M. Maurin, A. Bryskier, et D. Raoult. 2000. In vitro activities of telithromycin (HMR 3647) against Rickettsia rickettsii, Rickettsia conorii, Rickettsia africae, Rickettsia typhi, Rickettsia prowazekii, Coxiella burnetii, Bartonella henselae, Bartonella quintana, Bartonella bacilliformis, and Ehrlichia chaffeensis. Antimicrob. Agents Chemother. 44:1391-1393.

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Note de bas de page 44

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Note de bas de page 45

Troyer, J. M., S. Radulovic, S. G. Andersson, et A. F. Azad. 1998. Detection of point mutations in rpoB gene of rifampin-resistant Rickettsia typhi. Antimicrob. Agents Chemother. 42:1845-1846.

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Note de bas de page 46

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Note de bas de page 49

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Note de bas de page 51

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Note de bas de page 53

Hechemy, K. E., J. V. Osterman, C. S. Eisemann, L. B. Elliott, et S. J. Sasowski. 1981. Detection of typhus antibodies by latex agglutination. J. Clin. Microbiol. 13:214-216.

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Silpapojakul, K., J. Pradutkanchana, S. Pradutkanchana, et D. J. Kelly. 1995. Rapid, simple serodiagnosis of murine typhus. Trans. R. Soc. Trop. Med. Hyg. 89:625-628.

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Note de bas de page 56

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Note de bas de page 57

Zimmerman, M. D., D. R. Murdoch, P. J. Rozmajzl, B. Basnyat, C. W. Woods, A. L. Richards, R. H. Belbase, D. A. Hammer, T. P. Anderson, et L. B. Reller. 2008. Murine Typhus and Febrile Illness, Nepal. Emerg. Infect. Dis. 14:1656-1659.

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Note de bas de page 58

Portillo, A., R. de Sousa, S. Santibáñez, A. Duarte, S. Edouard, I. P. Fonseca, C. Marques, M. Novakova, A. M. Palomar, M. Santos, C. Silaghi, L. Tomassone, S. Zúquete, et J. A. Oteo. 2017. Guidelines for the Detection of Rickettsia spp. Vector-Borne and Zoonotic Diseases 17:23-32.

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Note de bas de page 59

Thomseth, V., V. Cejvanovic, E. Jimenez-Solem, K. M. Petersen, H. E. Poulsen, et J. T. Andersen. 2015. Exposure to topical chloramphenicol during pregnancy and the risk of congenital malformations: a Danish nationwide cohort study. Acta Ophthalmol 93:651-3.

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Note de bas de page 60

Newton, P. N., V. Keolouangkhot, S. J. Lee, K. Choumlivong, S. Sisouphone, K. Choumlivong, M. Vongsouvath, M. Mayxay, V. Chansamouth, V. Davong, K. Phommasone, J. Sirisouk, S. D. Blacksell, P. Nawtaisong, C. E. Moore, J. Castonguay-Vanier, S. Dittrich, S. Rattanavong, K. Chang, C. Darasavath, O. Rattanavong, D. H. Paris, et R. Phetsouvanh. 2019. A Prospective, Open-label, Randomized Trial of Doxycycline Versus Azithromycin for the Treatment of Uncomplicated Murine Typhus. Clin Infect Dis 68:738-747.

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Note de bas de page 61

Pike, R. M. 1976. Laboratory-associated infections: summary and analysis of 3921 cases. Health Lab. Sci. 13:105-114.

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Note de bas de page 62

Harding, A. L., et K. B. Byers. 2006. Epidemiology of Laboratory-Associated Infections, p. 53. D. O. Fleming (ed.), Biological safety : principles and practices. ASM Press.

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Note de bas de page 63

Norazah, A., A. Mazlah, Y. M. Cheong, et A. G. Kamel. 1995. Laboratory acquired murine typhus--a case report. Med. J. Malaysia. 50:177-179.

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Note de bas de page 64

Agence de la santé publique du Canada. 2015. Loi sur les agents pathogènes humains et les toxines (LAPHT). 2016:.

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