Archivé - Ministère des Finances Canada Rapport financier trimestriel pour le trimestre terminé le 31 décembre 2014 (non vérifié)
3. Risques et incertitudes
4. Changements importants touchant le fonctionnement, le personnel et les programmes
5. Mise en œuvre du budget de 2012
Le présent rapport financier trimestriel a été préparé par la direction conformément à l’article 65.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques selon la forme et les modalités de la norme comptable 1.3 du Conseil du Trésor. Il doit être lu de concert avec le Budget principal des dépenses, le Budget supplémentaire des dépenses et le Plan d’action économique de 2012 du Canada (Budget de 2012). Il n’a pas fait l’objet d’un audit ou d’un examen externe.
Le ministère des Finances Canada (le « Ministère ») aide le gouvernement du Canada à élaborer et à mettre en œuvre des politiques et des programmes solides et durables en matière économique, fiscale et sociale, de même que sur le plan de la sécurité sociale et dans les secteurs financier et international. Il joue un rôle important à titre d’organisme central, et collabore avec d’autres ministères pour veiller à l’exécution du programme du gouvernement et permettre aux ministres de bénéficier d’analyses et de conseils de grande qualité.
Les responsabilités du Ministère comprennent :
- la préparation du budget fédéral et la mise à jour des projections économiques et financières;
- la préparation du Rapport financier annuel du gouvernement du Canada et, en collaboration avec le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada et le receveur général du Canada, des Comptes publics du Canada;
- l’élaboration de lois et de politiques fiscales et tarifaires;
- la gestion des emprunts fédéraux sur les marchés financiers;
- la conception et l’administration des principaux paiements de transfert fédéraux aux provinces et territoires;
- l’élaboration de politiques et de lois pour le secteur financier;
- la représentation du Canada au sein de diverses institutions et organisations financières internationales.
La description des activités de programme du Ministère figure à la partie II du Budget principal des dépenses et dans le Rapport sur les plans et les priorités.
Pour préparer le présent rapport trimestriel, la direction a eu recours à la méthode comptable axée sur les dépenses. L’État des autorisations qui l’accompagne comporte les autorisations de dépenses accordées au Ministère par le Parlement et celles utilisées par le Ministère, conformément au Budget principal des dépenses et au Budget supplémentaire des dépenses des deux exercices, ainsi que les transferts des crédits centraux du Conseil du Trésor approuvés d’ici la fin du trimestre. Le rapport trimestriel a été préparé au moyen d’un référentiel à usage particulier conçu pour communiquer les renseignements financiers nécessaires au sujet de l’utilisation des autorisations de dépenses.
L’autorisation parlementaire est requise avant que le gouvernement ne puisse dépenser les fonds. Les approbations prennent la forme de limites approuvées une fois l’an dans le cadre de lois de crédits ou de mesures législatives portant sur les autorisations de dépenses à usage particulier prévues par la loi.
Le Ministère applique la méthode de la comptabilité d’exercice intégrale pour préparer et présenter ses états financiers annuels qui font partie du processus de rapport ministériel sur le rendement. Cependant, les autorisations de dépenses affectées par le Parlement sont toujours comptabilisées selon une méthode axée sur les dépenses.
Le Ministère a trois grandes catégories d’autorisations de dépenses:
- Autorisations budgétaires votées : notamment les dépenses opérationnelles du Ministère en soi ainsi que les dépenses autorisées aux termes des programmes de subventions et contributions. Ces dépenses doivent être spécifiquement approuvées par le Parlement au moyen d’une loi de crédits.
- Autorisations budgétaires législatives : notamment les autorisations de dépenses qui sont accordées dans le cadre d’une loi du Parlement. Les dépenses afférentes à des montants prévus par la loi n’ont pas à être approuvées de nouveau par le Parlement et il est dans l’ordre normal des choses que de telles dépenses législatives dépassent parfois les estimations de dépenses. Les paiements législatifs du Ministère comprennent ceux faits en vertu de la Loi sur les arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces et au titre d’intérêts liés à la dette publique du Canada.
- Autorisations non budgétaires : notamment les décaissements effectués par le Ministère qui n’ont aucune incidence budgétaire directe pour le gouvernement, par exemple, la valeur des prêts initiaux consentis aux sociétés d’État qui participent au Cadre d’emprunt pour les sociétés d’État.
Le présent rapport financier trimestriel (RFT) du Ministère rend compte des résultats obtenus pendant la période comptable en cours par rapport au Budget principal des dépenses et au Budget supplémentaire des dépenses A et B de 2013-2014.
Les sections 2.1 et 2.2 ci-après soulignent les postes importants qui ont contribué à l’augmentation des ressources disponibles de 2013-2014 à 2014-2015 et à la hausse des dépenses réelles au 31 décembre 2013 et au 31 décembre 2014. Plus de détails peuvent être trouvés dans le Tableau 1 État des autorisations figurant à la fin du présent rapport.
Le graphique qui suit compare les autorisations budgétaires disponibles pour l’exercice complet et les dépenses pour les neuf premiers mois de l’exercice 2013-2014 et 2014-2015.
Comparaison des autorisations budgétaires et des dépenses cumulatives budgétaires au 31 décembre pour l'exercice 2013-2014 et l'exercice 2014-2015
Les pourcentages reflètent l’utilisation des autorisations pendant le trimestre.
Le tableau qui suit compare les autorisations cumulatives par crédit pour l’exercice en cours et l’exercice précédent.
Comparaison des autorisations disponibles pour l'exercice financier au 31 décembre des exercices 2013-2014 et 2014-2015
Écart | ||||
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Autorisations disponibles (en millions de dollars) | 2014-2015 | 2013-2014 | $ | % |
Autorisations budgétaires | ||||
Autorisations votées : | ||||
Crédit 1 - Dépenses de fonctionnement | 120.5 | 117.6 | 2.9 | 2.4% |
Crédit 5 - Subventions et contributions | 5.0 | 11.4 | (6.4) | -56.0% |
Autorisations législatives : | ||||
Principaux transferts aux autres administrations | 60 561.0 | 59 737.4 | 823.6 | 1.4% |
Frais d'intérêt relatifs à la dette non échue et intérêts sur autres passifs | 25 970.1 | 26 522.0 | (551.9) | -2,1% |
Charges de programmes directs | 1 299.1 | 682.2 | 616.9 | 90.4% |
Total des autorisations législatives | 87 830.2 | 86 941.5 | 888.7 | 1.0% |
Total des autorisations budgétaires | 87 955.7 | 87 070.6 | 885.1 | 1.0% |
Autorisations non budgétaires | - | - | - | - |
Total des autorisations | 87 955.7 | 87 070.6 | 885.1 | 1.0% |
Les autorisations disponibles pour l'exercice 2014-2015 s'élevaient à 87 955,7 millions de dollars à la fin du troisième trimestre comparativement à 87 070,6 millions de dollars à la fin du troisième trimestre de 2013-2014, ce qui représente une augmentation de 885,1 millions de dollars.
Les autorisations budgétaires du crédit 1 disponibles pour l'exercice 2014-2015 totalisaient 120,5 millions de dollars au 31 décembre 2014 comparativement à 117,6 millions de dollars à la même date en 2013-2014, ce qui représente une augmentation de 2,9 millions de dollars principalement attribuable à l'effet net des facteurs suivants :
- Initiatives du gouvernement – une augmentation temporaire de 6,6 millions de dollars pour : la transition vers un régime coopératif en matière de réglementation des marchés des capitaux (3,0 millions de dollars), l'élaboration d'un Code au contenu exhaustif pour les consommateurs de produits et services financiers (1,7 million de dollars), le soutien apporté au groupe de travail sur le Cadre du G-20 (0,6 million de dollars), la mise en œuvre du Plan d'action sur le capital de risque (0,5 million de dollars), le maintien de la vigueur du système financier canadien (0,4 million de dollars) et l'Examen de la gestion des actifs du gouvernement (0,4 million de dollars).
- Analyse du soutien stratégique et financier – une augmentation de 752 000 dollars pour soutenir les priorités courantes et futures du gouvernement du Canada.
- Projet de réaménagement du site de la Couronne du 90, rue Elgin – une réduction de 234 000 dollars correspondant au quasi achèvement du projet.
- Transfert à Services partagés Canada – une réduction permanente de 298 000 dollars pour les dispositifs logiciels de technologie en milieu de travail.
- Économies relevées dans le cadre de l'examen des dépenses du budget de 2012 – une réduction permanente de 428 000 dollars.
- Initiative de revitalisation du secteur riverain de Toronto (IRSRT) – une réduction de 587 000 dollars correspondant à l'élimination graduelle du programme de l'IRSRT.
- Initiatives d'élimination progressive du budget de 2011 – une réduction de 740 000 dollars liée aux enjeux techniques touchant la taxe sur les produits et services (TPS) et la rédaction et l'impression de documents législatifs et réglementaires.
- Réduction de 2,8 millions de dollars attribuable à un report prospectif inférieur.
Les autorisations en vertu du crédit 5 s'élevaient à 5,0 millions de dollars à la fin du troisième trimestre de 2014-2015 comparativement à 11,4 millions de dollars à la fin du troisième trimestre de 2013-2014, ce qui représente une baisse de 6,4 millions de dollars. Cette baisse est attribuable à l'achèvement de l'entente de financement intérimaire avec le Bureau de transition vers un régime canadien de réglementation des valeurs mobilières.
Les autorisations législatives disponibles pour l'exercice 2014-2015 s'élevaient à 87 830,2 millions de dollars à la fin du troisième trimestre comparativement à 86 941,5 millions de dollars à la fin du même trimestre de 2013-2014, ce qui représente une augmentation de 888,7 millions de dollars.
Cette augmentation de 888,7 millions de dollars se rapporte à trois grandes catégories : des hausses de 823,6 millions de dollars au titre des principaux transferts aux autres administrations, une hausse de 616,9 millions de dollars au titre des charges de programmes directes, compensées par une baisse des frais d'intérêt relatifs à la dette non échue et intérêts sur autres passifs de 551,9 millions de dollars. Des précisions supplémentaires sont fournies ci-dessous.
Les autorisations au titre des principaux transferts aux autres administrations au 31 décembre 2014 s'élevaient à 60 561,0 millions de dollars comparativement à 59 737,4 millions de dollars à la même date en 2013-2014. L'augmentation de 823,6 millions de dollars est principalement attribuable à l'effet net des facteurs suivants :
- Transfert canadien en matière de santé – une augmentation de 1 830,9 millions de dollars qui reflète la hausse annuelle de 6% de l'engagement de financement inclus dans la Loi sur l'emploi, la croissance et la prospérité durable de 2012. Ce programme subira une hausse annuelle de 6% jusqu'en 2016-2017, après quoi son rythme de progression correspondra à la moyenne mobile sur trois ans de la croissance du produit intérieur brut nominal et sera assorti d'une hausse garantie d'au moins 3% par année.
- Péréquation fiscale – une augmentation de 564,1 millions de dollars qui est le résultat du multiplicateur fondé sur le produit intérieur brut, de 3,5%, appliqué au niveau de 2013-2014.
- Transfert canadien en matière de programmes sociaux – une augmentation de 366,5 millions de dollars qui représente l'accroissement annuel de 3% prévu dans la Loi sur l'emploi, la croissance et la prospérité durable de 2012.
- Financement des territoires – une augmentation de 180,9 millions de dollars qui est le résultat d'une mise à jour des données utilisées dans le calcul de la formule de financement des territoires.
- Paiement de péréquation compensatoire supplémentaire à la Nouvelle-Écosse – une diminution de 25,0 millions de dollars attribuable à la réduction des revenus provenant des ressources pétrolières et gazières extracôtières de la Nouvelle-Écosse. L'Entente sur les ressources extracôtières de 2005 conclue entre le Canada et la Nouvelle-Écosse garantit que les revenus de la province tirés des ressources pétrolières et gazières extracôtières qui sont pris en compte dans la formule de péréquation n'affectent pas ses paiements de péréquation. Par conséquent, la province reçoit des paiements équivalents à la réduction des paiements de péréquation qui découlent de ces revenus.
- Recouvrement ayant trait aux allocations aux jeunes – une hausse du recouvrement de 37,3 millions de dollars qui est attribuable à l'augmentation de la valeur estimée des points d'impôt sur le revenu des particuliers.
- Paiement de péréquation fiscale supplémentaire – Protection sur les transferts totaux – une réduction de 55,8 millions de dollars attribuable à des paiements uniques versés au Nouveau-Brunswick et au Manitoba au cours du dernier exercice afin de prévenir des baisses des principaux transferts par province entre 2012-2013 et 2013-2014.
- Paiement de péréquation fiscale supplémentaire à la Nouvelle-Écosse – une réduction de 107,5 millions de dollars dans ce programme, qui permet d'appliquer la nouvelle formule de calcul de la péréquation (2007) sans réduire les paiements de péréquation et les paiements compensatoires au titre de l'Entente sur les ressources extracôtières de 2005, est attribuable à la croissance accrue des paiements de péréquation et des paiements au titre de l'Entente de 2005 sur les ressources extracôtières selon la nouvelle formule par rapport à la formule qui était en vigueur avant 2007.
- Paiements de remplacement au titre des programmes permanents – une hausse du recouvrement de 164,1 millions de dollars qui est attribuable à l'augmentation de la valeur des points d'impôt sur le revenu des particuliers.
- Transfert visant la réduction des temps d'attente – une réduction de 250,0 millions de dollars qui est liée à l'élimination progressive de ce programme en 2013-2014.
- Paiements aux provinces relatifs à l'harmonisation de la taxe de vente – une baisse de 1 481,0 millions de dollars qui reflète la fin des paiements prévus au Québec et à l'Île-du-Prince-Édouard aux termes de leur Entente intégrée globale de coordination fiscale respective.
Les autorisations pour les frais d'intérêt relatifs à la dette non échue et intérêts sur autres passifs s'élevaient à 25 970,1 millions de dollars au 31 décembre 2014 comparativement à 26 522,0 millions de dollars à la même date en 2013-2014. La baisse de 551,9 millions de dollars s'explique principalement par les facteurs suivants :
- Les frais d'intérêt relatifs à la dette non échue – une réduction de 27,7 millions de dollars qui est majoritairement attribuable aux rentrées de fonds découlant de l'échéance d'actifs achetés en vertu du Programme d'achat de prêts hypothécaires assurés qui ont été utilisées pour réduire l'encours de la dette portant intérêt.
- Intérêts sur autres passifs – une baisse de 524,2 millions de dollars qui est attribuable à la diminution du taux moyen des obligations à long terme du Canada, qui sert à calculer l'intérêt sur les obligations des régimes de retraite de la fonction publique en ce qui a trait au service antérieur au 1er avril 2000.
Les autorisations au titre des charges de programmes directes s'élevaient à 1 299,1 millions de dollars à la fin du troisième trimestre de l'exercice 2014-2015 comparativement à 682,2 millions de dollars à la même date en 2013-2014, ce qui représente une hausse de 616,9 millions de dollars. Cette hausse est principalement attribuable à l'effet net des facteurs suivants :
- Paiements versés à l'Association internationale de développement (AID) – une augmentation de 441,6 millions de dollars qui représente le premier des trois versements annuels du Canada dans le cadre de la 17e période de reconstitution de l'AID. La contribution annuelle du Canada à l'AID n'a pas changé. L'augmentation tient compte du changement dans l'échéancier des paiements annuels du Canada d'avril à janvier. Ce changement de l'échéancier de paiement n'a aucune incidence budgétaire.
- Régime canadien de réglementation des valeurs mobilières et autorité réglementaire canadienne (Loi d'exécution du budget de 2009) – une augmentation de 115,8 millions de dollars en paiements aux provinces et territoires pour des questions liées à l'établissement du régime coopératif en matière de réglementation des marchés des capitaux.
- Incitatif pour l'élimination des impôts provinciaux sur le capital – une augmentation de 60,3 millions de dollars attribuable à des paiements anticipés en 2014-2015 qui représentent des paiements préliminaires aux provinces et rajustements finals aux paiements préliminaires qui ont déjà été payés.
Les autorisations non budgétaires relatives à la valeur des prêts consentis aux sociétés d'État qui participent au Cadre d'emprunt pour les sociétés d'État ne sont pas prises en compte dans le Budget des dépenses. Le montant brut des emprunts dont ont besoin les sociétés d'État est fonction de la nécessité de jumeler l'échéance et la structure des besoins en emprunts des clients des sociétés. La situation économique courante et les attentes à l'égard de l'avenir économique influent sur ces activités qui peuvent varier grandement en peu de temps. Par exemple, si les clients de la société d'État sollicitent des prêts à court terme et à taux variable, la société d'État en question s'efforcera de les jumeler à des emprunts à court terme contractés auprès du gouvernement. Le prêt sera ainsi refinancé plusieurs fois tout au long de l'année, le montant brut plus élevé des emprunts étant associé à un montant net moins élevé des emprunts. Cette situation peut changer très rapidement si les conditions du marché laissent entendre une éventuelle hausse des taux d'intérêt et que les clients cherchent à immobiliser les coûts de leurs emprunts au moyen d'emprunts à plus long terme. Il peut donc y avoir des fluctuations très importantes d'un exercice à l'autre ainsi que pendant l'exercice courant. Compte tenu du fait que les prévisions peuvent comporter des inexactitudes et que les avances brutes aux sociétés d'État constituent un poste non budgétaire qui n'a aucun effet sur la dette nette du gouvernement, le Ministère ne rend compte que des emprunts réels des sociétés d'État.
Le tableau qui suit compare les dépenses cumulatives par crédit pour l’exercice en cours et l’exercice précédent.
Comparaison des dépenses cumulatives au 31 décembre des exercices 2013-2014 et 2014-2015
Écart | ||||
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Dépenses cumulatives (en millions de dollars) | 2014-2015 | 2013-2014 | $ | % |
Dépenses budgétaires | ||||
Dépenses votées : | ||||
Crédit 1 - Dépenses de fonctionnement | 79.1 | 74.1 | 5.0 | 6.8% |
Crédit 5 - Subventions et contributions | 3.0 | 7.2 | (4.2) | -58.4% |
Dépenses législatives : | ||||
Principaux transfers aux autres administrations | 45 638.0 | 43 803.1 | 1 834.9 | 4.2% |
Frais d'intérêt relatifs à la dette non échue et intérêts sur autres passifs | 18 599.2 | 19 544.0 | (944.8) | -4.8% |
Charges de programmes directs | 920.5 | 731.2 | 189.3 | 25.9% |
Total partiel des dépenses législatives | 65 157.7 | 64 078.3 | 1 079.4 | 1.7% |
Total des dépenses budgétaires | 65 239.8 | 64 159.6 | 1 080.2 | 1.7% |
Dépenses non budgétaires | 61 212.2 | 53 680.6 | 7 531.6 | 14.0% |
Total des dépenses cumulatives | 126 452.0 | 117 840.2 | 8 611.8 | 7.3% |
Les dépenses totalisaient 126 452,0 millions de dollars à la fin du troisième trimestre de l’exercice 2014-2015 comparativement aux 117 840,2 millions de dollars déclarés à la même date en 2013-2014, ce qui représente une augmentation de 8 611,8 millions de dollars ou 7,3 %.
Les dépenses de fonctionnement du crédit 1 totalisaient 79,1 millions de dollars à la fin du troisième trimestre de 2014-2015 comparativement à 74,1 millions de dollars à la même date en 2013-2014, ce qui représente une augmentation de 5,0 millions de dollars ou 6,8 %. Cette augmentation est surtout attribuable à l’initiative sur les arriérés de paiement à l’échelle du gouvernement et aux coûts associés au déménagement au 90, rue Elgin.
Les dépenses de fonctionnement du crédit 5 totalisaient 3,0 millions de dollars à la fin du troisième trimestre de 2014-2015 comparativement à 7,2 millions de dollars à la même date en 2013-2014, ce qui représente une baisse de 4,2 millions de dollars. Cette baisse est attribuable au financement intérimaire de 4,2 millions de dollars versé pendant le dernier exercice au Bureau de transition vers un régime canadien de réglementation des valeurs mobilières (BTCVM).
Les dépenses législatives totalisaient 65 157,7 millions de dollars à la fin du troisième trimestre de 2014-2015 comparativement à 64 078,3 millions de dollars à la même date en 2013-2014, ce qui représente une augmentation de 1 079,4 millions de dollars ou 1,7 %.
Cette augmentation est principalement attribuable à une augmentation de 1 834,9 millions de dollars des principaux transferts aux autres administrations, à une augmentation de 189,3 millions de dollars des charges de programmes directes et à une baisse de 944,8 millions de dollars des frais d’intérêt relatifs à la dette non échue et intérêts sur autres passifs (soit une diminution de 684,4 millions de dollars et de 260,4 millions de dollars respectivement).
Les dépenses liées aux principaux transferts aux autres administrations en date du 31 décembre 2014 s’élevaient à 45 638,0 millions de dollars, par rapport à 43 803,1 millions de dollars à la même date en 2013-2014, ce qui représente une augmentation de 1 834,9 millions de dollars. Cette augmentation est principalement attribuable à l’effet net des facteurs suivants :
- Transfert canadien en matière de santé – une augmentation de 1 373,3 millions de dollars.
- Péréquation fiscale – une augmentation de 423,1 millions de dollars.
- Transfert canadien en matière de programmes sociaux – une augmentation de 274,8 millions de dollars.
- Financement des territoires – une augmentation de 144,0 millions de dollars.
- Paiements à l’Ontario liés au Transfert canadien en matière de santé – une baisse de 10,1 millions de dollars.
- Paiements aux provinces relatifs à l’harmonisation de la taxe de vente – une baisse de 14,0 millions de dollars.
- Recouvrement ayant trait aux allocations aux jeunes – une augmentation des recouvrements de 18,7 millions de dollars, qui se fonde sur les données de l’impôt sur le revenu des particuliers.
- Paiement de péréquation supplémentaire – protection des transferts totaux – une baisse de 55,8 millions de dollars.
- Paiements de remplacement au titre des programmes permanents – une augmentation des recouvrements de 95,5 millions de dollars.
- Transfert visant la réduction des temps d’attente – une baisse de 187,5 millions de dollars.
À une exception près, les explications de ces modifications sont compatibles avec les explications des écarts qui sont fournies sous la rubrique Autorisations budgétaires législatives de la section 2.1. La baisse de 10,1 millions de dollars en 2014-2015 en paiements à l’Ontario liés au Transfert canadien en matière de santé est attribuable à l’élimination progressive de ce facteur en 2013-2014.
Les dépenses liées aux frais d’intérêt relatifs à la dette non échue et intérêts sur autres passifs s’élevaient à 18 599,2 millions de dollars au 31 décembre 2014 comparativement à 19 544,0 millions de dollars à la même date en 2013-2014, ce qui représente une baisse de 944,8 millions de dollars. Cette baisse est principalement attribuable aux facteurs suivants :
- Frais d’intérêt relatifs à la dette non échue – une baisse de 684,4 millions de dollars, qui tient compte de la baisse du taux d’intérêt moyen en vigueur sur les obligations d’épargne du gouvernement du Canada, ainsi que des rentrées de fonds découlant de l’échéance d’actifs achetés en vertu du Programme d’achat de prêts hypothécaires assurés qui ont été utilisées pour réduire l’encours de la dette portant intérêt, compensée en partie par des rajustements plus élevés à l’indice des prix à la consommation sur les obligations à rendement réel.
- Intérêts sur autres passifs – une baisse de 260,4 millions de dollars, en raison de la diminution du taux moyen des obligations à long terme du Canada, qui sert à calculer l’intérêt sur les obligations des régimes de retraite de la fonction publique en ce qui a trait au service antérieur au 1er avril 2000.
Les charges de programmes directes s’élevaient à 920,5 millions de dollars à la fin du troisième trimestre de l’exercice 2014-2015 comparativement à 731,2 millions de dollars à la même date en 2013-2014, ce qui représente une augmentation de 189,3 millions de dollars. Cette hausse est principalement attribuable à l’effet net des facteurs suivants :
- Régime canadien de réglementation des valeurs mobilières et autorité réglementaire canadienne (Loi d’exécution du budget de 2009) – une augmentation de 154,7 millions de dollars qui consiste en des paiements à la Saskatchewan, au Nouveau-Brunswick et à l’Île-du-Prince-Édouard pour établir le régime coopératif en matière de réglementation des marchés des capitaux.
- Incitatif pour l’élimination des impôts provinciaux sur le capital – une augmentation de 93,6 millions de dollars qui tient compte des paiements versés au Québec et à la Colombie-Britannique relativement à leurs recettes cédées pour 2010-2011.
- Pertes de change – une diminution de 55,5 millions de dollars attribuable à la réévaluation des passifs en devises.
Les dépenses non budgétaires totalisaient 61 212,2 millions de dollars à la fin du troisième trimestre de 2014-2015 comparativement à 53 680,6 millions de dollars à la même date en 2013-2014, ce qui représente une augmentation de 7 531,6 millions de dollars. Cette variation est attribuable à la hausse de 7 041,1 millions de dollars de la valeur des prêts consentis aux sociétés d’État qui participent au Cadre d’emprunt pour les sociétés d’État. Le montant brut des emprunts contractés par les sociétés d’État est fonction de la demande et des besoins opérationnels des entités participantes ainsi que des échéances des emprunts des sociétés d’État. Les montants peuvent donc varier considérablement d’une année à l’autre. Il y a également une augmentation de 200,0 millions de dollars liée à un versement effectué à l’Ukraine à titre d’aide financière, en vertu de la Loi sur les accords de Bretton Woods et des accords connexes et une augmentation de 285,0 millions de dollars des paiements versés aux nouveaux accords d’emprunt du Fonds monétaire international.
Le tableau 2 situé à la fin du présent rapport présente les dépenses budgétaires ministérielles par article courant (AC). Les principaux écarts de dépenses par article courant entre 2014-2015 et 2013-2014 sont les suivants :
- Paiements de transfert (AC 10) – une augmentation de 2 083,0 millions de dollars, dont la plus grande partie est attribuable aux dépenses législatives au titre des principaux transferts aux autres administrations (1 834,9 millions de dollars) et aux paiements de transfert au titre des charges de programmes directes (252,4 millions de dollars), compensée par le crédit 5, Subventions et contributions (4,2 millions de dollars).
- Autres subventions et paiements (AC 12) – une baisse de 58,3 millions de dollars surtout attribuable à la réévaluation des passifs en devises.
- Frais de la dette publique (AC 11) – une baisse de 944,7 millions de dollars.
Les écarts d’un exercice à l’autre ont été expliqués en détail dans la section 2.2.
Les dépenses au troisième trimestre de l’exercice 2014-2015 s’élevaient à 41 047,3 millions de dollars comparativement à 38 039,0 millions de dollars pour le troisième trimestre de 2013-2014, ce qui représente une augmentation de 3 008,3 millions de dollars, ou 7,9 % des dépenses trimestrielles.
Comparaison des dépenses trimestrielles au 31 décembre
des exercices 2013-2014 et 2014-2015
Écart | ||||
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||||
Dépenses du troisième trimestre (en millions de dollars) | 2014-2015 | 2013-2014 | $ | % |
Dépenses budgétaires | ||||
Dépenses votées: | ||||
Crédit 1 - Dépenses de fonctionnement | 29.6 | 28.1 | 1.5 | 5.4% |
Crédit 5 - Subventions et contributions | 0.5 | 0.5 | 0.0 | 0.0% |
Dépenses législatives: | ||||
Principaux transferts aux autres administrations | 15 139.5 | 14 498.1 | 641.4 | 4.4% |
Frais d'intérêt relatifs à la dette non échue et intérêts sur autres passifs | 5 836.7 | 6 170.4 | (333.7) | -5.4% |
Charges de programmes directs | 178.3 | 100.0 | 78.3 | 78.2% |
Total partiel des dépenses législatives | 21 154.6 | 20 768.6 | 386.0 | 1.9% |
Total des dépenses budgétaires | 21 184.6 | 20 797.2 | 387.4 | 1.9% |
Dépenses non budgétaires | 19 862.7 | 17 241.7 | 2 621.0 | 15.2% |
Total des dépenses cumulatives | 41 047.3 | 38 039.1 | 3 008.3 | 7.9% |
Les explications des écarts entre les dépenses trimestrielles sont conformes à celles indiquées jusqu’à présent dans la section 2.2.
Les économistes du secteur privé prévoient que l’économie canadienne affichera une croissance modérée, la progression actuelle de la demande intérieure étant appelée à ralentir du fait de la fragilité de la reprise mondiale et une baisse marquée des prix mondiaux du pétrole brut. Dans la zone euro, la reprise est incertaine et le risque de déflation s’accroît. En Chine, les défis que les autorités doivent relever au moment d’instaurer des réformes stratégiques nécessaires tout en maintenant leurs objectifs de croissance ciblés pourraient entraîner une croissance plus lente et plus variable que prévu. En outre, la volatilité des autres marchés des produits de base mondiaux présente aussi des défis et des risques à l’économie du Canada. Contrairement à l’évolution de ces facteurs, la reprise économique des États-Unis semble gagner du terrain.
Le profil de risque organisationnel du ministère des Finances Canada présente un aperçu des principaux risques de l’organisation. Il fait porter l’attention et les plans d’action de la haute direction sur les mesures destinées à atténuer les effets négatifs de l’incertitude de l’économie mondiale et l’incidence de ceux-ci sur l’économie canadienne. Le Ministère surveille ses risques organisationnels et les réponses à ces derniers afin de cerner les sources de possibilités et de traduire les progrès issus de la mise en œuvre des mesures d’atténuation des risques.
Le 3 novembre 2014, Timothy Sargent a été nommé au poste de sous-ministre délégué du ministère des Finances Canada et représentant du Canada auprès du G-7.
La présente section donne un aperçu des mesures d’économies qui ont été annoncées dans le budget de 2012, qui seront mises en œuvre afin de réorienter les activités et programmes du gouvernement et de faire en sorte qu’il soit plus facile pour les Canadiens et les entreprises de traiter avec le gouvernement, et de moderniser et rationaliser les fonctions administratives.
Le Ministère des Finances Canada réalisera les économies de 32,4 millions de dollars prévues au budget de 2012 d’ici l’exercice 2014-2015 en reconfigurant et en modernisant ses services internes et ses fonctions d’analyse des politiques. Il prend également d’autres mesures importantes afin de réduire les coûts des pièces de monnaie, notamment en éliminant la pièce de 1 ¢.
Toutes les mesures d’économie sont en voie d’atteindre les objectifs fixés. Les dernières réductions de personnel ont été effectuées en 2012-2013.
Les coûts d’administration liés à l’élimination progressive de la pièce de 1 ¢ en 2013-2014 ont été beaucoup moins élevés que ce qui avait été prévu au départ. La Monnaie royale canadienne a embauché une compagnie externe afin de coordonner le traitement des pièces de 1 ¢, ce qui a grandement réduit les coûts en capital et les coûts de traitement. Ces économies devraient perdurer en 2014-2015 et en 2015-2016.
Approuvé par :
Paul Rochon,
sous-ministre
Randy Larkin,
dirigeant principal des finances
Ottawa, Canada
Le 26 février 2015
Ministère des Finances Canada
Rapport financier trimestriel pour le trimestre terminé le 31 décembre 2014
Tableau 1 : État des autorisations (non vérifié)
(en milliers de dollars)
Exercice 2014-2015 | Exercice 2013-2014 | |||||
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Total disponible pour utilisation pour l'exercice se terminant le 31 mars 2015 * |
Total utilisé pendant le trimestre terminé le 31 décembre 2014 | Total de l'exercice courant utilisé à la fin du trimestre | Total disponible pour utilisation pour l'exercice se terminant le 31 mars 2014 * | Total utilisé pendant le trimestre terminé le 31 décembre 2013 | Total de l'exercice courant utilisé à la fin du trimestre | |
Autorisations budgétaires | ||||||
Autorisations votées | ||||||
Dépenses de fonctionnement | 120 502 | 29 555 | 79 080 | 117 630 | 28 127 | 74 064 |
Subventions et contributions | 5 035 | 500 | 3 000 | 11 435 | 500 | 7 210 |
|
|
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Total des autorisations votées | 125 537 | 30 055 | 82 080 | 129 065 | 28 627 | 81 724 |
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Autorisations législatives | ||||||
Principaux transferts aux autres administrations | ||||||
Transfert canadien en matière de santé (Partie V.1 – Loi sur les arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces) | 32 114 033 | 8 028 594 | 24 085 611 | 30 283 114 | 7 570 779 | 22 712 336 |
Transfert canadien en matière de programmes sociaux (Partie V.1 – Loi sur les arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces) | 12 581 729 | 3 145 433 | 9 436 297 | 12 215 271 | 3 053 818 | 9 161 454 |
Arrangements fiscaux | ||||||
Péréquation fiscale (Partie I – Loi sur les arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces) | 16 669 278 | 4 167 320 | 12 501 959 | 16 105 194 | 4 026 299 | 12 078 896 |
Financement des territoires (Partie I.1 – Loi sur les arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces) | 3 469 215 | 707 720 | 2 761 496 | 3 288 282 | 670 809 | 2 617 472 |
Subventions législatives (Lois constitutionnelles de 1867 à 1982, et autres autorisations législatives) | 34 119 | 1 237 | 18 426 | 32 149 | 1 237 | 17 312 |
Recouvrement ayant trait aux allocations aux jeunes (Loi de 1964 sur la révision des arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces) | (814 071) | - | (407 036) | (776 742) | - | (388 371) |
Autres principaux transferts | ||||||
Paiement de péréquation supplémentaire - Nouvelle-Écosse (Loi sur les paiements de péréquation compensatoires supplémentaires à la Nouvelle-Écosse et à Terre-Neuve-et-Labrador) | 64 481 | - | - | 89 461 | - | - |
Paiement de péréquation supplémentaire - Nouvelle-Écosse (Partie I - Loi sur les arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces) | 138 275 | - | - | 245 785 | - | - |
Paiement de péréquation supplémentaire - Protection sur les transferts totaux (Partie I - Loi sur les arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces) | - | - | - | 55 806 | - | 55 806 |
Paiements aux provinces relatifs à l'harmonisation des taxes de vente (Partie III.1 — Loi sur les arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces) | - | - | - | 1 481 000 | - | 14 000 |
Transfert visant la réduction des temps d'attente (Partie V.1 – Loi sur les arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces) | - | - | - | 250 000 | 62 500 | 187 500 |
Paiement du transfert canadien en matière de santé à l'Ontario (Partie V.1 – Loi sur les arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces) | - | - | - | - | 10 052 | 10 052 |
Paiements de remplacement au titre des programmes permanents (Partie VI – Loi sur les arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces) | (3 696 022) | (910 791) | (2 758 802) | (3 531 960) | (897 351) | (2 663 331) |
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Total des principaux transferts aux autres administrations | 60 561 037 | 15 139 513 | 45 637 951 | 59 737 360 | 14 498 142 | 43 803 125 |
Frais d'intérêt relatifs à la dette non échue et intérêts sur autres passifs | ||||||
Frais d'intérêt relatifs à la dette non échue et autres coûts liés à la dette publique | 17 817 322 | 3 768 733 | 12 404 579 | 17 845 000 | 4 034 158 | 13 088 917 |
Intérêts sur autres passifs | 8 152 756 | 2 068 010 | 6 194 649 | 8 677 000 | 2 136 262 | 6 455 048 |
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Total des frais d'intérêt relatifs à la dette non échue et intérêts sur autres passifs | 25 970 078 | 5 836 743 | 18 599 228 | 26 522 000 | 6 170 420 | 19 543 965 |
Charges de programmes directs | ||||||
Charges de fonctionnement | ||||||
Achat de la monnaie canadienne | 122 500 | 27 972 | 82 837 | 126 500 | 25 330 | 84 611 |
Contributions aux régimes d'avantages sociaux des employés | 12 115 | 2 985 | 8 954 | 12 203 | 3 051 | 9 153 |
Ministre des Finances – Traitement et allocation pour automobile | 80 | 20 | 60 | 79 | 20 | 58 |
Ministre d'État (Finances) - Allocation pour automobile | 2 | 1 | 2 | 2 | - | 2 |
Paiements de transfert | ||||||
Incitatif pour l'élimination des impôts provinciaux sur le capital (Partie I - Loi sur les arrangments fiscaux entre le grouvernement fédéral et les provinces) | 95 042 | 4 942 | 95 042 | 34 780 | - | 1 405 |
Fondation canadienne des bourses d'études du millénaire (Loi d'exécution du budget de 1998) | - | - | - | - | - | (11) |
Paiements à l'Association internationale pour le développement | 883 220 | - | 441 610 | 441 610 | - | 441 610 |
Paiements de dettes à des organisations internationales au nom des pays pauvres en vertu du paragraphe 18(1) de la Loi sur la reprise économique | 51 200 | - | - | 51 200 | - | - |
Bureau de transition vers un régime canadien de réglementation des valeurs mobilières (Loi sur le Bureau de transition vers un régime canadien de réglementation des valeurs mobilières) | 9 100 | - | - | 5 800 | - | - |
Mise sur pied d'un régime canadien et d'un organisme national de réglementation des valeurs mobilières (Loi d'exécution du budget de 2009) | 115 800 | 108 900 | 154 700 | - | - | - |
Paiement à la Banque internationale pour la reconstruction et le développement pour les garanties de marché en matière d'agriculture (Loi sur les accords de Bretton Woods et des accords connexes, article 8) | 10 000 | - | - | 10 000 | - | - |
Autres | ||||||
Pertes de change | - | 32 719 | 134 723 | - | 71 013 | 190 225 |
Remboursements de montants portés aux revenus d'exercices antérieurs | - | - | 127 | - | - | - |
Paiement d'éléments de passif enregistrés précédemment comme recettes | - | 766 | 2 487 | - | 623 | 4 150 |
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Total des charges de programmes directs | 1 299 060 | 178 305 | 920 542 | 682 174 | 100 037 | 731 203 |
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Total des autorisations législatives | 87 830 175 | 21 154 561 | 65 157 721 | 86 941 534 | 20 768 599 | 64 078 293 |
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Total des autorisations budgétaires | 87 955 712 | 21 184 616 | 65 239 801 | 87 070 599 | 20 797 226 | 64 159 567 |
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Autorisations non budgétaires | ||||||
Avances consenties aux sociétés d'État (montant brut) | - | 19 647 422 | 60 576 973 | - | 17 200 349 | 53 535 853 |
Avances consenties aux termes du paragraphe 13(1) de la Loi sur l'Agence de la consommation en matière financière du Canada (montant brut) | - | 4 000 | 10 000 | - | 2 000 | 8 000 |
Paiement en vertu de la Loi sur les accords de Bretton Woods et des accords connexes - Gouvernements étrangers | - | - | 200 000 | - | - | - |
Paiement en vertu de la Loi sur les accords de Bretton Woods et des accords connexes - Organisations internationales | - | - | 3 481 | - | - | - |
Paiement au Fonds monétaire international Nouveaux accords d'emprunt | - | 211 245 | 421 778 | - | 39 381 | 136 768 |
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Total des autorisations non budgétaires | - | 19 862 667 | 61 212 232 | - | 17 241 730 | 53 680 621 |
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Total des autorisations | 87 955 712 | 41 047 283 | 126 452 033 | 87 070 599 | 38 038 956 | 117 840 188 |
Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué * N'inclut que les autorisations disponibles pour l'exercice et accordées par le Parlement à la fin du trimestre |
Ministère des Finances Canada
Rapport financier trimestriel pour le trimestre terminé le 31 décembre 2014
Tableau 2 : Dépenses budgétaires ministérielles par article courant (non vérifiées)
(en milliers de dollars)
Exercice 2014-2015 | Exercice 2013-2014 | |||||
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Dépenses prévues pour l'exercice se terminant le 31 mars 2015 |
Total dépensé pendant le trimestre terminé le 31 décembre 2014 |
Total de l'exercice courant utilisé à la fin du trimestre | Dépenses prévues pour l'exercice se terminant le 31 mars 2014 |
Total dépensé pendant le trimestre terminé le 31 décembre 2013 |
Total de l'exercice courant utilisé à la fin du trimestre | |
Dépenses | ||||||
Personnel | 87 908 | 21 524 | 63 595 | 82 432 | 21 553 | 64 310 |
Transport et communications | 2 689 | 769 | 2 015 | 3 890 | 607 | 1 813 |
Information | 11 072 | 3 001 | 3 732 | 11 300 | 3 196 | 5 319 |
Services professionnels et spéciaux | 18 905 | 3 233 | 7 640 | 18 053 | 4 911 | 9 194 |
Locations | 1 757 | 505 | 924 | 400 | 225 | 876 |
Réparation et entretien | 42 | 16 | 69 | 5 431 | 434 | 1 101 |
Services publics, fournitures et approvisionnements | 123 737 | 28 090 | 83 112 | 127 500 | 25 422 | 84 883 |
Acquisition de terrains, infrastructures et travaux | 2 031 | 629 | 2 082 | - | - | - |
Acquisition de machines et de matériel | 7 188 | 2 729 | 4 767 | 7 808 | 126 | 227 |
Paiements de transfert | 61 730 434 | 15 313 437 | 46 407 336 | 60 292 185 | 14 549 826 | 44 324 359 |
Frais de la dette publique | 25 970 078 | 5 836 743 | 18 599 228 | 26 522 000 | 6 170 420 | 19 543 965 |
Autres subventions et paiements | 20 | (26 010) | 65 251 | - | 20 547 | 123 581 |
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Total des dépenses budgétaires brutes | 87 955 862 | 21 184 666 | 65 239 851 | 87 070 999 | 20 797 267 | 64 159 628 |
Moins recettes affectées aux dépenses | 150 | 50 | 50 | 400 | 41 | 61 |
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Total des dépenses budgétaires nettes | 87 955 712 | 21 184 616 | 65 239 801 | 87 070 599 | 20 797 226 | 64 159 567 |
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