#ImmigrationÇaCompte à Iqaluit, Nunavut - Promouvoir les soins aux patients à Iqaluit

Promouvoir les soins aux patients à Iqaluit

9 mai 2019

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Promouvoir les soins aux patients à Iqaluit

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Transcription : « L’immigration ça compte à Iqaluit, au Nunavut »

Durée de la vidéo : 3 minutes, 6 secondes

Ouverture en fondu sur une scène d’Iqaluit montrant une rangée de maisons rouges.

Texte affiché : « L’immigration, ça compte à Iqaluit, au Nunavut ».

Plan de l’horizon montrant des collines couvertes de brume.

Le soleil brille à travers une plante verte à l’intérieur.

Rhose, à l’extérieur, regarde vers la caméra.

Texte affiché : « Rhose Harris-Galia, Infirmière gestionnaire de cas, Hôpital général Qikiqtani »

Rhose : Je m’appelle Rhose Harris-Galia. Je suis originaire de Baguio, aux Philippines, et j’ai déménagé au Nunavut en octobre 2000. Mon employeuse potentielle m’a appelée pour me dire : « Tu veux venir à Baffin? » J’ai entendu « Banff ». Elle m’a dit : « Ouvre un annuaire téléphonique, pose le doigt au bout du Canada, avance vers le haut jusqu’à ce que tu voies un petit doigt de terre. Voilà où tu vas. »

Plan large de la ville d’Iqaluit.

Les drapeaux du Canada et du Nunavut battent au vent.

Rhose est chez elle. Elle passe un livre à son fils.

Un avion vole dans le ciel.

Rhose : Tout était blanc, sans arbres. J’ai commencé à ressentir un peu de panique, mais je suis descendue de l’avion et je me suis dite : « Tu sais quoi, je voulais une aventure et c’est peut-être ce dont j’avais besoin ».

Paysage d’une colline enneigée.

Vue aérienne de la ville et du paysage environnant.

Un grand avion à réaction est stationné à l’aéroport. Des escaliers mènent à sa porte arrière.

Rhose se promène dans le stationnement de l’hôpital au coucher du soleil. Elle regarde au loin.

Rhose : Je suis infirmière autorisée à l’hôpital Qikiqtani d’Iqaluit. Le rôle d’infirmière gestionnaire de cas consiste à aider à organiser les rendez-vous et à veiller à ce que toute information concernant le patient soit transférée à son médecin et à son fournisseur de soins de santé, afin qu’un suivi approprié soit effectué. Parfois, ce ne sont pas les mêmes infirmières qui sont avec le patient du point A à B à C, et s’il y a des questions concernant le suivi, quel que soit l’endroit où les patients iront dans le sud, nous sommes celles qui assurent le suivi.

Vue de la façade extérieure de l’hôpital Qikiqtani.

Rhose décroche son téléphone au bureau. Rhose s’assoit pendant qu’elle parle au téléphone.

Rhose tape sur son clavier et regarde les écrans de son ordinateur.

Rhose marche dans le couloir. Elle copie des documents à la photocopieuse.

Rhose marche dans le couloir de l’hôpital.

Rhose parle à des employés de l’hôpital et signe quelques documents.

Fondu au noir.

Rhose prend Lena dans ses bras. Lena parle à Rhose. Lena sourit.

Texte affiché : « Lena Tulugak, Infirmière gestionnaire de cas, Hôpital général Qikiqtani »

Lena : J’ai rencontré Rhose en 2002 alors qu’elle commençait à travailler ici. Elle a essayé beaucoup de nos mets traditionnels et porte plusieurs de nos vêtements traditionnels. J’estime donc qu’elle s’est très bien adaptée. Elle est très concentrée. Quand il faut faire quelque chose, elle le fait généralement très vite.

Rhose mange assise à une table.

Vue d’un cadre d’art inuit.

Rhose met un chapeau à son fils. Son autre fils met son sac à dos. Rhose est au volant de sa voiture.

Rhose se concentre sur son écran d’ordinateur.

Lena : Il est très important que les patients voient la même personne. Il est très bon d’offrir de la régularité. Cela n’est pas possible quand les gens vont et repartent. Mais quand les gens sont ici aussi longtemps que Rhose l’a été, c’est très bon pour la communauté.

Rhose regarde par une grande fenêtre de l’hôpital et pointe à l’extérieur en parlant à quelqu’un.

Lena parle au téléphone, puis parle à un collègue à propos de certains papiers.

Lena sort de son bureau avec des papiers.

Scène de la ville d’Iqaluit à travers une fenêtre à un étage supérieur.

Vue au niveau de la rue d’une motoneige tirant un traîneau.

Rhose traverse une rue avec son fils et fait signe à quelqu’un qui passe en voiture.

Fondu au noir.

Anne : Rhose a toujours été très enthousiaste et prête à tout apprendre sur la communauté dans laquelle elle se trouve. Elle s’intéressait beaucoup au monde qui l’entoure, aux montagnes. Elle a fait de la randonnée et a été émerveillée par les aurores boréales.

Texte affiché : « Anne Crawford, ancienne employeuse de Rhose »

Anne boit du café et parle à Rhose.

Rhose est assise sur un canapé avec le chien d’Anne. Rhose coupe de la nourriture dans l’assiette de son fils.

Rhose et Anne mangent à la table.

Rhose se dresse sur une colline au coucher du soleil. Elle se retourne. Transition vers un gros plan d’elle qui regarde au loin en souriant.

Scène d’aurores boréales dansant dans le ciel.

Anne : Si quelqu’un que je connais doit se faire soigner dans le sud, je m’assure toujours qu’il s’inscrit sur la liste de Rhose, car c’est elle la meilleure pour maintenir le lien avec votre foyer. Elle nous maintient tous en vie et en mouvement.

Rhose attend près de la voiture pendant que son fils sort de la banquette arrière. Elle l’emmène dans un bâtiment pour l’inscrire à un camp de jour.

Rhose ferme la porte de sa maison et se dirige vers sa voiture.

Rhose est debout sur une colline. Elle regarde la caméra et sourit.

Rhose : Il y a un sentiment de communauté. Juste en marchant, on peut voir les gens s’arrêter dans la rue pour se parler. On voit ces gens vivre leur vie et, à un moment très limité, vous avez fait partie de leur vie.

Un oiseau passe devant la pleine lune dans le ciel. Rhose fait un signe de la main quand elle traverse la rue. Des voitures passent sur la route enneigée.

Série de plans de la ville : l’école intermédiaire Aqsarniit, un terrain de jeu, une vue du haut d’une colline au coucher du soleil. Rhose regarde au loin.

Rhose : Je n’ai pas choisi la profession d’infirmière en pensant avoir une incidence sur la vie des gens. Mais c’est très gratifiant quand les gens nous disent : « Merci encore pour toute l’aide que vous avez apportée », que ce soit la semaine dernière ou il y a 10 ans. C’est un moment heureux.

Série rapide de plans : Rhose discute avec Anne en déjeunant. Rhose monte des escaliers puis traverse un couloir. Lena tapote Rhose dans le dos et sourit. Rhose étreint un collègue de l’hôpital et rigole avec un autre. Rhose accueille d’autres membres de la communauté et rit avec eux.

Rhose regarde au loin. Un oiseau traverse l’horizon.

Fondu au noir.

Texte affiché : « Les immigrants enrichissent nos communautés ».

Fondu au noir.

Texte affiché : « Partagez votre histoire #ImmigrationÇaCompte; Facebook : @CitImmCanFR; Twitter : @CitImmCanFR; Instagram : @CitImmCanFR ».

Fondu au noir.

Texte affiché : « Canada.ca/immigration-ca-compte »

La signature d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada et l’avis du droit d’auteur « Sa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, 2019 » s’affichent à l’écran, suivi du mot-symbole « Canada ».

Profil d’immigration : Iqaluit, Nunavut

Faits en bref

  • Les immigrants représentent plus de 7 % de la population d’Iqaluit.
  • La majorité des immigrants à Iqaluit proviennent des Philippines, suivies du Royaume-Uni et des États-Unis.
  • Entre 1980 et 2016, 56 % des immigrants qui se sont établis à Iqaluit étaient des immigrants économiques, alors que 29 % étaient parrainés par leur famille et que 16 % étaient des réfugiés.
  • Les immigrants comptent pour ¼ des travailleurs du secteur des soins de santé, dont 36 % des médecins, 23 % des infirmiers autorisés et 37 % des pharmaciens.

Le saviez-vous?

  • De tous les immigrants arrivant au Nunavut, 53 % s’établissent à Iqaluit.

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