Survol ministère pour le Ministre de l'Environnement et du Changement climatique : chapitre 1
Note
L’information ci-dessous fait partie du dossier sur la transition ministérielle en date d’octobre 2021. Vu la nature historique de ces données, aucune mise à jour sera apportée.
Bienvenue à ECCC
Introduction
Aperçu du portefeuille
Le portefeuille du ministre de l’Environnement et de Changement climatique comprend le ministère de l’Environnement et du Changement climatique (ECCC) et deux agences :
- Parcs Canada, responsable des parcs nationaux, des lieux historiques et des aires marines nationales de conservation;
- Agence d’évaluation d’impact du Canada, responsable des évaluations d’impact et de la coordination de la consultation entre la Couronne et les Autochtones dans le cadre de projets majeurs.
Raison d’être
ECCC est le principal ministère fédéral responsable des mesures stratégiques sur un large éventail de questions environnementales, notamment :
- La prise de mesures sur la croissance propre et les changements climatiques;
- La prévention et la gestion de la pollution;
- La conservation de la nature;
- La prévision des conditions météorologiques et environnementales.
L’orientation du programme du Ministère reflète l’interdépendance de la durabilité de l’environnement et du bien être économique.
Le Ministère s’acquitte de son mandat en collaborant avec ses partenaires stratégiques, qui comprennent notamment les provinces, les territoires et les peuples autochtones, en effectuant de la surveillance, en menant des recherches scientifiques, en élaborant des politiques et des règlements et en appliquant les lois et les règlements environnementaux.
Équipe de la haute direction et structure organisationnelle
Description longue
Ministre de l’Environnement et du Changement climatique
Sous-ministre de l’Environnement et du Changement climatique : Christine Hogan
Sous-ministre délégué : Paul Halucha
Conseiller économique principal auprès du sous-ministre : Douglas Nevison
Directrice exécutive et avocate générale principale, Service juridique : Hélène Sheedy (employée du ministère de la Justice Canada)
Directeur général régional - Région de l’Atlantique et du Québec : Geoffrey Mercer
Directeur général régional délégué - Région de l’Atlantique et du Québec : Jean Pruneau
Directrice générale régionale - Régions de l’Ouest et du Nord : Anna Classen
Directrice générale régionale associée : Nadine Stiller
Directrice générale régionale par intérim - Région de l’Ontario : Susan Humphrey
Sous-ministre adjointe - Direction générale de la politique stratégique : Hilary Geller
Sous-ministre adjoint - Direction générale des sciences et de la technologie : Marc D’Iorio
Sous-ministre adjoint - Protection de l’environnement : John Moffet
Sous-ministre adjointe déléguée : Helen Ryan
Sous-ministre adjointe - Service canadien de la faune : Tara Shannon
Sous-ministre adjointe - Services ministériels et des Finances : Linda Drainville
Sous-ministre adjoint - Affaires publiques et des communications : Michael Zinck
Sous-ministre adjoint - Changements climatiques : Matt Jones (en formation), Douglas Nevison (par interim)
Sous-ministre adjointe - Service météorologique du Canada : Diane Campbell
Responsable de la mise en application de la loi : Anne-Marie Pelletier
Directeur général de l’audit et chef de l’évaluation : Christopher MacDonald
Sous-ministre adjointe - Affaires internationales : Catherine Stewart
Dirigeante principale de la gestion des ressources humaines : Jocelyne Kharyati
Ambassadrice pour les changements climatiques : Patricia Fuller
Christine Hogan, sous-ministre
Christine Hogan a été nommée sous-ministre de l’Environnement et du Changement climatique le 30 septembre 2019.
Avant sa nomination, Christine a occupé le poste de directrice exécutive pour le Canada, l’Irlande et les Caraïbes au sein du Groupe de la Banque mondiale de novembre 2016 à septembre 2019. De janvier 2015 à octobre 2016, elle a été sous-ministre du Commerce international.
De 2010 à 2015, Christine a travaillé au Bureau du Conseil privé, où elle a d’abord été secrétaire adjointe du Cabinet, puis conseillère en politique étrangère et en politique de défense auprès du premier ministre.
Tout au long de sa carrière de plus de 30 ans dans la fonction publique, Christine a travaillé sur un ensemble diversifié de dossiers d’intérêt public allant des relations et du développement sur la scène internationale à la politique commerciale, en passant par la science et la technologie, l’environnement et l’énergie. Elle a occupé divers postes au sein du gouvernement du
Canada, dont celui de vice-présidente des politiques stratégiques et du rendement à l’Agence canadienne de développement international (maintenant Affaires mondiales Canada), de directrice des opérations, Priorités et planification, au Bureau du Conseil privé, et de directrice des affaires internationales à Environnement Canada.
Christine a également été cadre supérieure invitée à Encana et conseillère de la directrice exécutive du Programme des Nations Unies pour l’environnement à Nairobi, au Kenya.
Elle détient un baccalauréat en administration publique (avec distinction) de l’Université Carleton et est boursière internationale de l’Université Yale.
Paul Halucha, sous-ministre délégué
Paul Halucha a été nommé sous-ministre délégué à Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) en août 2021.
Auparavant, il a été secrétaire adjoint du Cabinet pour la politique de développement économique et régional au Bureau du Conseil privé, où il a également été secrétaire du Cabinet pour le Comité du Cabinet chargé de l’économie et de l’environnement.
Tout au long de sa carrière dans la fonction publique, il a travaillé sur des questions de politique économique, notamment pendant de nombreuses années à Industrie Canada / Innovation, Sciences et Développement économique. Il a notamment occupé les postes de sous-ministre adjoint du Secteur de l’industrie, de chef de cabinet du sous-ministre, de directeur adjoint de la Loi sur Investissement Canada et de directeur général des politiques-cadres du marché. Il a été responsable de plusieurs dossiers, dont les politiques sectorielles pour les industries de la défense, de l’aérospatiale, de la fabrication et de l’automobile; la concurrence et la propriété intellectuelle; la politique d’approvisionnement, de commerce et d’investissement; et la conception de la politique industrielle.
Paul est diplômé de l’École des affaires internationales Norman Paterson ainsi que marié et père de deux enfants et de deux petits-enfants.
Direction générale des changements climatiques
La Direction générale des changements climatiques (DGCC), est responsable de l’élaboration et de la mise en œuvre de la politique, du plan et des programmes climatiques du Canada, en collaboration avec nos partenaires, afin d’appuyer les objectifs du gouvernement fédéral visant à favoriser une économie propre, à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à renforcer notre résilience à l’égard des changements climatiques. Le travail de la direction générale comprend la coordination avec les ministères et organismes fédéraux, la collaboration avec les provinces et territoires, la collaboration avec les peuples autochtones en matière de climat, la prestation de programmes et de services climatiques, et la publication de rapports sur les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs climatiques du Canada.
Matt Jones, Sous-ministre adjoint (en formation)
Matt a occupé plusieurs postes à Environnement et Changement climatique Canada. Il a passé une grande partie de sa carrière à négocier des accords environnementaux internationaux sur les changements climatiques, la pollution atmosphérique et la biodiversité. Il a joué un rôle central dans l’élaboration et l’approbation du Système national de gestion de la qualité de l’air du Canada avant d’occuper le poste de directeur général du Bureau de la politique climatique où il a contribué à diriger l’élaboration du Cadre pancanadien sur la croissance propre et les changements climatiques. Il dirige maintenant la Direction générale des changements climatiques et se concentre sur la supervision de la mise en œuvre efficace des politiques du Canada en matière de changements climatiques.
Douglas Nevison, Conseiller économique principal auprès du sous-ministre et sous-ministre adjoint par intérim
En automne 2020, Douglas Nevison s’est joint à Environnement et Changement climatique Canada en tant que conseiller économique principal auprès de la sous-ministre. Auparavant, il a occupé plusieurs postes de direction, tels qu’administrateur pour le Canada, le Maroc, la Jordanie et la Tunisie à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement. Au Bureau du Conseil privé, il a été nommé secrétaire adjoint du Cabinet pour le Secrétariat de liaison de politique macroéconomique. Douglas était aussi directeur général de la Direction de la politique économique et fiscale du ministère des Finances Canada. Il a également occupé plusieurs postes au sein de la Direction des finances et des échanges internationaux du ministère des Finances Canada. Avant de réintégrer la fonction publique en 1996, il a occupé des postes en recherche économique au Conference Board of Canada ainsi qu’à la London School of Economics.
Service météorologique du Canada
Le Service météorologique du Canada (SMC) est la principale source d’informations météorologiques et hydrologiques au Canada. Le SMC émet des prévisions et des avertissements, mène des recherches et fournit des renseignements sur les conditions passées, présentes et futures de l’atmosphère, du climat, des eaux, de la qualité de l’air, des glaces et de l’environnement connexe. Les prévisions et les avertissements météorologiques sont fournis aux Canadiens et aux Canadiennes 24 heures sur 24, sept jours sur sept, afin de les aider à protéger leur sécurité et leurs biens. Le SMC maintient un réseau de surveillance dans tout le pays pour surveiller les changements du temps, de climat, de l’eau, de la glace et de l’air afin d’obtenir les données qui sont à la base des prévisions météorologiques et environnementales.
Diane Campbell, sous-ministre adjointe
Diane Campbell a étudié la biologie marine à l’Université de Guelph et a commencé sa carrière en travaillant dans les laboratoires de recherche du Centre canadien des eaux intérieures. Elle s’est jointe au Service météorologique du Canada en 2008 à titre de directrice générale des services de prévisions météorologiques et environnementales, où elle a dirigé plusieurs des principaux services de recouvrement des coûts, l’élaboration de stratégies de services, la conception de produits ainsi que les systèmes nationaux de diffusion du Service météorologique du Canada. Lorsque le Service a été remanié en 2013-2014, elle a assumé le rôle de directrice générale des services de prévision, et a supervisé la prestation de ces services partout au pays. En 2018, elle est devenue sous-ministre adjointe déléguée du Service météorologique du Canada.
Diane a dirigé d’importantes initiatives de transformation en se concentrant sur l’analyse du milieu de travail et la relève et est devenue la championne du mieux-être des employés et du bien-être en milieu de travail. Elle est co-championne, avec un représentant syndical, sur la santé mentale et le respect en milieu de travail à Environnement et Changement climatique.
Direction générale des sciences et de la technologie
La Direction générale des sciences et de la technologie (DGST) est le chef de file canadien en matière de sciences environnementales. Elle entreprend des travaux cruciaux pour surveiller, comprendre et évaluer les changements et les menaces émergentes dans les écosystèmes du Canada. Ceci comprend de la modélisation atmosphérique et climatique; de la surveillance à long terme des écosystèmes aquatiques et de la qualité de l’eau; de la science de la faune et du paysage; des évaluations de risques reliés aux produits chimiques; et des activités de réglementation. La DGST génère des connaissances fondées sur des données et formule des conseils scientifiques pour éclairer les politiques et les règlements, l’application de la loi, et les codes et normes à l’échelle fédérale et internationale.
Marc D’Iorio, sous-ministre adjoint
Marc D’Iorio a été nommé sous-ministre adjoint de la Direction générale des sciences et de la technologie le 1er février 2021.
Marc a commencé sa carrière au gouvernement à titre de boursier postdoctoral en changements climatiques. Il a occupé plusieurs postes en tant que scientifique, gestionnaire et dirigeant d’organisations menant des recherches, finançant la science ou utilisant des données scientifiques pour prendre des décisions en matière de politique et de réglementation.
Marc est le point de contact du Canada au sein du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat et le représentant permanent du Canada auprès de l’Institut interaméricain de recherches sur les changements à l’échelle du globe. Ces dernières années, Marc a joué un rôle central dans la direction des tables sectorielles sur l’électrification et la décarbonisation des transports au sein du gouvernement
Avant de se joindre à ECCC, Marc était directeur général du Bureau de la recherche et du développement énergétiques à Ressources naturelles Canada.
Direction générale de la politique stratégique
La Direction générale de la politique stratégique (DGPS) assume le leadership, au sein du Ministère, sur plusieurs domaines d’activité, y compris l’élaboration de politiques stratégiques, la gestion de programme, la planification des politiques, les résultats et l’exécution, les affaires autochtones et intergouvernementales, l’analyse économique, les stratégies et indicateurs de développement durable, l’analyse régionale, les activités de sensibilisation ainsi que la mise en œuvre de programmes. Par l’entremise des bureaux des directeurs généraux régionaux, la DGPS soutient les objectifs généraux du Ministère en gérant les relations avec les régions et les principales parties prenantes concernées.
Hilary Geller, sous-ministre adjointe
Hilary s’est jointe à Environnement et Changement climatique Canada en juin 2017 en tant que sous-ministre adjointe de la Direction générale de la politique stratégique.
Antérieurement, Hilary a travaillé à Santé Canada, où elle était sous-ministre adjointe de la Direction générale de la santé environnementale et de la sécurité des consommateurs (DGSESC) de mai 2011 à juin 2017. En tant que direction générale à vocation scientifique et réglementaire, la DGSESC intervient en vertu de divers textes législatifs pour évaluer, gérer et réglementer une multiplicité de questions concernant le tabac, les drogues contrôlées, les contaminants de l’environnement, les produits de consommation, les radiations et les produits chimiques en milieu de travail. Avant d’occuper ce poste, elle était directrice générale des politiques, de la planification et de l’intégration au sein de cette même équipe de 2009 à 2011.
Hilary est titulaire d’un baccalauréat en commerce de l’Université de Toronto et d’une maîtrise en administration des affaires de l’Université York.
Direction générale de la protection de l’environnement
La Direction générale de la protection de l’environnement (DGPE) met en œuvre des lois, des règlements et d’autres politiques et programmes visant à protéger les Canadiens et leur environnement. En particulier, la direction générale travaille avec d’autres ministères fédéraux, les provinces et les territoires, les peuples autochtones, les municipalités, le secteur industriel et les organismes non gouvernementaux en environnement sur les réglementations relatives à l’air pur et aux émissions de gaz à effet de serre (GES), la gestion des substances chimiques, les urgences environnementales ainsi que sur l’avancement de l’agenda du gouvernement en matière de plastiques et de déchets.
John Moffet, sous-ministre adjoint
John Moffet s’est joint à Environnement Canada et Changement Climatique (ECCC) à la fin de 2005 dans le cadre d’un échange de personnel de direction et est demeuré au Ministère depuis. Avant de devenir sous-ministre adjoint de la Direction générale de la protection de l’environnement en 2018, John y a été sous-ministre adjoint délégué, en plus d’avoir été directeur général de diverses directions au sein du ministère. Avant de se joindre à ECCC, il a été consultant sur des questions en lien avec les lois et les politiques sur l’environnement au Canada et dans les pays en développement, a été adjoint de direction du procureur général de l’Ontario et, sur une courte période, avocat en entreprise à Toronto. De plus, il a donné des conférences et publié des articles sur un large éventail de sujets liés aux lois et aux politiques environnementales. Il a deux enfants, maintenant adultes, et s’adonne au ski de fond, au vélo de montagne et au canotage dans ses temps libres.
Helen Ryan, sous-ministre adjointe déléguée
Helen est responsable de gérer l’élaboration et la mise en œuvre du programme ministériel de réglementation de la qualité de l’air, la réglementation en matière de gaz à effet de serre (GES), les urgences environnementales, les sites contaminés et l’immersion en mer, l’élimination et la gestion des déchets, ainsi que le programme sur les plastiques. Elle compte plus de 30 ans d’expérience dans la fonction publique fédérale, provinciale et municipale, dont 17 ans à titre de haute dirigeante fédérale dans le présent ministère et à Santé Canada. Avant de travailler au gouvernement fédéral, Helen a passé de nombreuses années à mettre sur pied et à gérer de nouveaux programmes environnementaux dans la région d’Ottawa Carleton. Elle a amorcé sa carrière au ministère de l’Environnement de l’Ontario, où elle a travaillé comme agente de réduction de la pollution, agente de planification environnementale et gestionnaire de programmes. Helen et son conjoint ont cinq enfants. Elle est une fervente cycliste et skieuse de fond, et aime passer du temps en plein air.
Service canadien de la faune
Le Service canadien de la faune (SCF) assure la conservation des espèces et des espaces en administrant des programmes de conservation. La direction générale protège et gère le rétablissement des espèces en péril et de leur habitat essentiel. Elle assure également la conservation, la protection et la gestion durable des populations d’oiseaux migrateurs et d’autres espèces sauvages. La direction générale conserve, restaure et protège les habitats importants en élaborant et en mettant en œuvre des programmes d’intendance, en établissant et en maintenant un réseau de zones protégées, et en permettant et en soutenant des partenariats pour la gestion intégrée du capital naturel du Canada. En outre, elle fait progresser les politiques et les partenariats nationaux en matière de biodiversité et s’acquitte de ses responsabilités internationales et elle soutient, de façon coordonnées et cohérentes, à l’échelle nationale, l’évaluation, la surveillance, la recherche, la planification, l’action et la promotion de la conformité pour protéger la biodiversité.
Tara Shannon, sous-ministre adjointe
Tara a été nommée sous-ministre adjointe du Service canadien de la faune (SCF) en avril 2021.
Avant de se joindre au SCF, elle a occupé divers postes de direction au sein d’Affaires autochtones et Développement du Nord Canada, notamment dans les domaines de la politique de réglementation du Nord et des pensionnats autochtones, ainsi qu’au Bureau du Conseil privé, où elle a prodigué des conseils sur un large éventail de questions, notamment la réconciliation avec les Autochtones, la justice, la diversité et l’inclusion.
Tara est titulaire d’un baccalauréat ès arts (études asiatiques et économie) de l’Université de Victoria et d’une maîtrise ès arts (théorie et pratique des droits de l’homme) de l’Université d’Essex.
Direction générale des affaires internationales
La Direction générale des affaires internationales (DGAI) soutient et facilite l’élaboration de politiques ainsi que l’intégration et la coordination des intérêts internationaux du gouvernement du Canada en matière de lutte contre les changements climatiques et d’environnement.
La DGAI collabore avec des experts d’ECCC et d’autres ministères, dont Affaires mondiales Canada, afin de promouvoir les priorités et les positions canadiennes sur des questions bilatérales, multinationales, régionales et mondiales liées à l’environnement et aux changements climatiques. La direction générale appuie la négociation et la mise en œuvre par le Canada d’accords internationaux sur l’environnement et de dispositions environnementales dans les accords de libre échange en plus de fournir des conseils stratégiques au ministre, à la sous-ministre et à la haute direction sur les relations et les activités internationales, notamment sur le secteur canadien des technologies propres.
Catherine Stewart, sous-ministre adjointe
Catherine s’est jointe à Environnement et Changement Climatique Canada en 2014 et a occupé les postes de directrice générale de la Direction des affaires multilatérales et des changements climatiques et de directrice générale de la Division des Amériques. Elle a aussi été la négociatrice en chef du Canada pour le dossier des changements climatiques de juin 2017 à décembre 2020.
Au fil de ses 25 années d’expérience au sein du gouvernement fédéral, Catherine a occupé divers postes en lien avec les politiques nationales et internationales, dont le poste de directrice des politiques stratégiques et de l’intégration à Travaux publics et Services gouvernementaux Canada pour l’acquisition de chasseurs à réaction ainsi qu’un poste de cadre supérieure au Bureau du Conseil privé, où elle a appuyé la prise de décisions du Cabinet concernant des priorités liées à des enjeux de politique sociale et économique.
Elle a travaillé sur les politiques de défense et de sécurité au sein de la Défense nationale sur une période de dix ans, où elle a assumé des fonctions de plus en plus exigeantes en matière d’élaboration de politiques et de gestion, y compris la préparation de présentations au Cabinet, la direction de l’équipe de rédaction des discours ministériels et la gestion de la participation du Canada à l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN).
Avant d’amorcer sa carrière au gouvernement fédéral, Catherine a travaillé pour les Nations Unies à une mission de maintien de la paix et de surveillance des élections au Mozambique.
Direction générale des services ministériels et des finances
La Direction générale des services ministériels et des finances (DGSMF) appuie les programmes dans l’affectation et la saine gestion des fonds, des biens et des contrats; fournit des solutions et un soutien en matière de GI et de TI; réalise des initiatives d’entreprise à l’échelle du gouvernement; assure un milieu de travail sécuritaire et inclusif et élabore des outils et des rapports ministériels pour démontrer l’harmonisation des priorités, des résultats et des responsabilités du ministère aux citoyens canadiens.
Linda Drainville, sous-ministre adjointe
Linda a été nommée sous-ministre adjointe des Services ministériels et des Finances et chef des services financiers à Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) le 15 mars 2021.
Avant de se joindre à ECCC, elle a travaillé à la Défense nationale et dans les Forces armées canadiennes à titre de sous-ministre adjointe associée des finances.
Auparavant, elle a été sous-dirigeante principale des finances ainsi que directrice générale des opérations et des services financiers au sein de ces mêmes organisations. Avant de se joindre à la Défense nationale et aux Forces armées canadiennes, elle a été dirigeante principale des finances au Conseil des arts du Canada.
Tout au long de sa carrière, Linda a également occupé divers postes importants dans les domaines des finances, de la vérification et de la comptabilité judiciaire, plus précisément aux Nations Unies, au Bureau du vérificateur général du Canada, à la Gendarmerie royale du Canada ainsi qu’à l’Agence du revenu du Canada.
Linda est titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires (majeure en comptabilité) de l’Université du Québec à Montréal. Elle détient également un diplôme en comptabilité judiciaire et en comptabilité d’enquête de l’Université de Toronto. Elle est comptable professionnelle agréée, examinatrice de fraude certifiée et elle est certifiée en criminalistique financière.
Direction générale des affaires publiques et des communications
La Direction générale des affaires publiques et des communications (DGAPC) fournit un service complet de soutien aux communications, y compris les discours, les publications web et l’engagement dans les médias sociaux, ainsi qu’un soutien aux médias ministériels et à la logistique des événements auxquels participe le ministre. La DGAPC comprend également le Secrétariat ministériel et la Division de l’innovation et de la mobilisation des jeunes; cette dernière soutient la mobilisation des jeunes à l’interne et à l’externe. Le Secrétariat ministériel fournit un soutien ministériel efficace, notamment en ce qui concerne les affaires du cabinet, les affaires parlementaires et les nominations du gouverneur en conseil et des ministres.
Michael Zinck, sous-ministre adjoint
Michael s’est joint à Environnement et Changement climatique Canada en octobre 2017 à titre de directeur exécutif des Communications stratégiques. Il a été promu au poste de directeur général des Communications en mars 2019. En janvier 2021, il a assumé les responsabilités de sous-ministre adjoint intérimaire de la Direction générale des affaires publiques et des communications – avant d’être officiellement nommé à ce poste en juin 2021.
Michael a commencé sa carrière dans le domaine du développement économique régional à Moncton, au Nouveau-Brunswick, après avoir travaillé sur la scène internationale, notamment dans le cadre d’activités d’organisations non gouvernementales au Kenya et à Cuba. Il possède une vaste expérience des communications stratégiques, des services de liaison ministérielle et des politiques de développement économique.
Michael est titulaire d’un baccalauréat en sciences politiques de l’Université Saint Mary’s et d’une maîtrise en administration publique de l’Université Dalhousie. Michael est également sommelier certifié.
Bureau de l’ambassadrice du Canada pour les changements climatiques
L’ambassadrice du Canada pour les changements climatiques est chargée de fournir des conseils sur les considérations relatives aux changements climatiques dans les priorités internationales du Canada. L’ambassadrice dirige les engagements bilatéraux avec les pays partenaires sur la croissance propre et les changements climatiques et représente le Canada dans les initiatives de coopération internationale liées aux changements climatiques. Elle fait aussi la promotion des priorités du Canada sur les changements climatiques et les technologies propres.
Patricia Fuller, ambassadrice pour les changements climatiques
Patricia Fuller a été nommée ambassadrice du Canada pour les changements climatiques le 5 juin 2018.
Patricia a exercé les fonctions d’ambassadrice du Canada en Uruguay de 2004 à 2007 et au Chili de 2012 à 2015. Elle a auparavant participé à des affectations internationales au Mexique et au Guatemala.
À Ottawa, Patricia s’est spécialisée dans les politiques commerciales et économiques, ainsi que dans les domaines des changements climatiques et de l’énergie. Au ministère des Affaires étrangères du Canada, elle a été directrice adjointe de l’équipe des Recours commerciaux (1997-1999), directrice de la Division du bois d’œuvre (2003-2004), économiste en chef (2007-2010), directrice générale de la planification et de l’établissement de rapports (2010-2012) et directrice générale du développement économique (2017-2018).
Elle a été détachée auprès de Ressources naturelles Canada de 2015 à 2017 pour diriger l’Office de l’efficacité énergétique. Plus tôt dans sa carrière, elle a également géré les dossiers de l’environnement et des changements climatiques alors qu’elle travaillait au Bureau du Conseil privé et appuyait le Comité du Cabinet chargé de la Politique du développement économique et régional, de 2000 à 2003.
Patricia est titulaire d’un baccalauréat ès arts (avec distinction) en études économiques et politiques de l’Université Queen’s et détient une maîtrise ès science (avec distinction) de la London School of Economics.
Direction générale des ressources humaines
La Direction générale des ressources humaines (DGRH) est chargée d’élaborer et de mettre en œuvre un cadre intégré pour les stratégies, politiques, programmes et services consultatifs en ressources humaines. À cette fin, la DGRH est responsable de déterminer les besoins d’ECCC en matière de ressources humaines et de gestion du personnel; ce travail comprend l’élaboration de mesures de santé et de sécurité, de stratégies de formation et de recrutement, ainsi que d’initiatives permettant à ECCC de recruter, de perfectionner et de maintenir en poste des effectifs représentatifs, notamment par une stratégie d’accessibilité et une stratégie de diversité, d’inclusion et d’équité en matière d’emploi.
Jocelyne Kharyati, dirigeante principale de la gestion des ressources humaines
Jocelyne Kharyati a été nommée dirigeante principale de la gestion des ressources humaines à Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) le 30 mars 2021.
Jocelyne a passé plus de 20 ans de sa carrière dans les domaines de l’éducation et de la gestion des ressources humaines à l’échelle du gouvernement fédéral.
Depuis son arrivée à ECCC en janvier 2015, elle a participé à plusieurs initiatives, notamment à la mise en place de Phénix et de MesRHGC. En 2017, Jocelyne a accepté de coprésider un comité interministériel pour effectuer une analyse des causes profondes des problèmes de paye de Phénix et appuyer la prise de décisions fondées sur des données probantes. Plus récemment, elle a été dirigeante principale de l’audit et chef de l’évaluation de septembre 2020 à mars 2021.
Auparavant, elle a occupé des postes de direction en ressources humaines à Citoyenneté et Immigration Canada, à Santé Canada, à l’Agence de la santé publique du Canada et à l’École de la fonction publique du Canada.
Jocelyne a obtenu un baccalauréat ès sciences de l’Université d’Ottawa et un diplôme en éducation des adultes de l’Université St. Francis Xavier. En 2019, elle a terminé le programme de certificat en leadership du secteur public et gouvernance de l’Université d’Ottawa.
Direction générale de l’audit et de l’évaluation
La Direction générale de l’audit et de l’évaluation (DGAE) fournit des services d’assurance et de conseil indépendants et objectifs dans les domaines de la gouvernance, de la gestion des risques et des contrôles internes. Guidée par la Politique sur la vérification interne et la Directive sur la vérification interne du Conseil du Trésor, la direction générale élabore les plans ministériels d’audit et d’évaluation en consultation avec les autres directions générales, qui sont normalement établis sur un horizon de deux ans et approuvés par le sous-ministre sur la base de recommandations du comité ministériel de vérification.
Christopher MacDonald, directeur général, dirigeant principal de l’audit et chef de l’évaluation
Christopher a été nommé directeur général, dirigeant principal de l’audit et chef de la Direction générale de l’audit et de l’évaluation le 26 avril 2021.
Avant de se joindre à Environnement et Changement climatique Canada, il a occupé le poste de dirigeant principal de l’audit et de chef de l’évaluation à la Commission de la fonction publique du Canada de décembre 2017 à avril 2021. Auparavant, il a occupé les postes de directeur des opérations de vérification à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada et de directeur de la vérification interne à Infrastructure Canada.
Précédemment, il a travaillé au bureau de la vérification et de l’inspection du Grand Quartier général des Puissances alliées en Europe, en Belgique, et a occupé divers postes de vérification, d’évaluation et autres postes connexes au sein d’organisations de la fonction publique fédérale canadienne, dont le Bureau du vérificateur général du Canada.
Christopher est un ancien président des services aux membres de l’Institut des auditeurs internes, section d’Ottawa. Il est actuellement président du conseil d’administration de l’École Élisabeth-Bruyère à Kanata, en Ontario.
Outre son titre de vérificateur interne certifié, il possède une certification en assurance de la gestion des risques. Il détient un baccalauréat ès arts en économie de l’Université St. Francis Xavier, une maîtrise en économie du développement de l’Université Dalhousie et une maîtrise en administration publique de l’Université Queen’s.
Direction générale de l’application de la loi
La Direction générale de l’application de la loi (DGAL) est chargée de faire appliquer les lois et les règlements canadiens sur l’environnement et les espèces sauvages par l’entremise des agents de l’autorité œuvrant sur le terrain partout au Canada. Ces agents sont désignés selon une législation précise leur attribuant divers pouvoirs. Le mandat de la direction générale est d’appliquer les lois sur l’environnement et les espèces sauvages et les règlements connexes d’une manière équitable, prévisible et cohérente. En collaboration avec plusieurs programmes d’Environnement et Changement climatique Canada et d’autres partenaires provinciaux, nationaux et internationaux, la direction générale veille à ce que les particuliers et les entreprises se conforment aux lois applicables afin de protéger et de conserver l’environnement, les espèces sauvages et leur habitat.
Anne-Marie Pelletier, responsable de la mise en application de la loi
Anne-Marie Pelletier a été nommée responsable de la mise en application de la loi le 3 décembre 2018.
Avant de se joindre à la Direction générale de l’application de la loi, elle a occupé, de 2016 à 2018, le poste de directrice exécutive des opérations de sécurité et de dirigeante principale de la sécurité du Bureau du Conseil privé, où elle dirigeait les services de sécurité, notamment en assurant le leadership et en fournissant aux ministères des conseils sur la résolution de problèmes de sécurité, d’incidents et d’enquêtes de sécurité.
Entre 2007 et 2016, elle a occupé divers postes de direction à la Défense nationale, au Service canadien du renseignement de sécurité et à Services publics et Approvisionnement Canada. De 2000 à 2007, elle a également travaillé à Environnement Canada dans les domaines de la gérance de l’environnement, des affaires internationales et des changements climatiques.
Anne-Marie est titulaire d’un baccalauréat en sciences appliquées avec spécialisation en gestion des ressources naturelles de l’Université Laval.
Service juridique
Le Ministère de la Justice, fournit des services juridiques, notamment des services de conseil, de soutien aux litiges et de soutien à la rédaction législative et réglementaire au portefeuille de l’Environnement principalement par l’intermédiaire de l’Unité des services juridiques ministérielle (SJM) d’Environnement. Le rôle des SJM d’Environnement consiste essentiellement à agir comme avocat-conseil et d’ainsi fournir des services de contentieux à Environnement et Changement climatique Canada, à l’Agence Parcs Canada et à l’Agence canadienne d’évaluation des impacts, en plus d’agir comme centre d’expertise dans le domaine du droit environnemental pour Justice Canada et le gouvernement du Canada.
Hélène Sheedy, directrice exécutive et avocate générale principale*
Hélène a été nommée directrice exécutive et avocate générale principale du Service juridique de l’environnement le 12 août 2019.
Hélène a intégré le ministère de la Justice Canada en 1986 et y a travaillé à l’administration centrale dans le groupe de la Magistrature fédérale et au sein des services juridiques de plusieurs ministères client y compris, Communication, Environnement, Gendarmerie royale du Canada, Pêches et Océans Canada et Emploi et Développement social Canada.
Elle détient un baccalauréat ès arts et un baccalauréat en droit (common law) de l’Université d’Ottawa. Elle a été reçue au Barreau du Haut-Canada en 1986.
* Employée du ministère de la Justice Canada
Directeurs généraux régionaux et associés/directrices générales régionales et associées (par région)
Anna Classen, directrice générale régionale, régions de l’Ouest et du Nord
Anna Classen a été nommée directrice générale régionale des régions de l’Ouest et du Nord le 15 mars 2021. Établie à Vancouver, elle est la haute responsable d’Environnement et Changement climatique dans les quatre provinces de l’Ouest et les trois territoires.
Avant cette nomination, Anna était directrice générale principale par intérim au Bureau des partenariats avec les Autochtones – Ouest, de Ressources naturelles Canada, où elle s’occupait de l’engagement sur le terrain auprès des groupes autochtones de la Colombie-Britannique et de l’Alberta, et du secrétariat des comités consultatifs et de surveillance autochtones élaborés conjointement pour deux grands projets de pipelines.
Anna a commencé sa carrière dans le domaine de l’éducation postsecondaire au sein d’un organisme national de développement économique autochtone sans but lucratif; elle a travaillé à la Ville d’Edmonton dans le domaine des affaires intergouvernementales et dans le domaine des politiques et de la planification à Diversification de l’économie de l’Ouest Canada. Elle a également été analyste au Bureau du Conseil privé sur les dossiers intergouvernementaux, de la sécurité publique, de l’environnement et des ressources naturelles; et a également dirigé les consultations avec les Autochtones lorsqu’elle travaillait à Ressources naturelles Canada.
Nadine Stiller, directrice générale régionale associée, région de l’Ouest et du Nord
Nadine s’est jointe à Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) en 2018 et occupe actuellement le poste de présidente de la Commission des eaux des provinces des Prairies et du Conseil du bassin du fleuve Mackenzie. À ECCC, elle supervise la coordination de l’Arctique, le transfert des responsabilités au Nunavut et le Programme du bassin du lac Winnipeg. Avec plus de 20 ans d’expérience dans la fonction publique, Nadine a occupé des postes de direction aux Affaires autochtones et du Nord, à Sécurité publique Canada et à l’Agence du revenu du Canada dans les Prairies et le Nord. Elle possède une vaste expérience en relations intergouvernementales et autochtones grâce à son travail en étroite collaboration avec les gouvernements provinciaux et territoriaux, les Premières nations et les municipalités.
Nadine s’est jointe au gouvernement fédéral à Pêches et Océans Canada en tant que biologiste responsable de l’évaluation des impacts. Elle vit à Winnipeg et a obtenu un diplôme en sciences de l’Université de Winnipeg en biologie et en études environnementales.
Susan Humphrey, directrice générale régionale par intérim, région de l’Ontario
Susan Humphrey est directrice générale régionale par intérim de la région de l’Ontario depuis février 2020 et ses responsabilités actuelles portent principalement sur les Grands Lacs.
Susan a commencé sa carrière dans la fonction publique en 1986 comme étudiante de deuxième cycle et scientifique de projets à Environnement et Changement climatique Canada. Depuis, elle a occupé de nombreux postes au sein du Ministère, assumant des responsabilités liées à l’exécution de programmes et à l’élaboration de politiques dans les domaines de la protection, de la conservation et de la restauration de l’environnement.
Elle a été nommée à son poste d’attache, celui de directrice générale régionale associée de la région de l’Ontario, en juillet 2013. Avant cette affectation, elle a occupé pendant quatre ans le poste de directrice régionale de la région de l’Ontario au sein du Service canadien de la faune, où ses activités étaient axées sur la protection et l’amélioration de la résilience des espèces indigènes et de leur habitat, en particulier les espèces en péril.
Susan a obtenu son diplôme de premier cycle et son diplôme d’études supérieures de l’Université York à Toronto, au Canada.
Geoffrey Mercer, directeur général régional, région de l’Atlantique et du Québec
Geoff Mercer a été nommé directeur général régional le 23 juin 2016 et représente les intérêts de la région de l’Atlantique et du Québec au sein d’Environnement et Changement climatique Canada (ECCC).
Geoff est arrivé au Ministère en janvier 2009 à titre de directeur régional de la Direction des activités de protection de l’environnement de la région de l’Atlantique. En 2013, il a été nommé directeur général régional délégué pour la région de l’Atlantique et du Québec. De 1988 à 2008, il a travaillé à la Défense nationale, où il a occupé divers postes au sein du programme de gestion environnementale.
Originaire de Montréal, au Québec, Geoff a grandi et a fait ses études à Terre-Neuve-et-Labrador, où il a obtenu un baccalauréat et une maîtrise en sciences (biologie) de l’Université Memorial de Terre-Neuve. Il est également diplômé du programme de perfectionnement des cadres du secteur public de l’Université Queen’s et du programme DirEXion de l’École de la fonction publique du Canada.
Jean Pruneau, directeur général régional délégué, région de l’Atlantique et du Québec
Jean Pruneau s’est joint à Environnement et Changement climatique Canada en septembre 2018, après avoir travaillé à Services aux Autochtones Canada.
Auparavant, Jean était directeur général du Bureau des stratégies de gestion des produits pharmaceutiques au sein de la Direction générale de la politique stratégique à Santé Canada.
Avant de travailler à Santé Canada, Jean a occupé une succession de postes stratégiques et opérationnels.
Aperçu de l’effectif
Le ministère a été créé en 1971, et certaines de ses composantes organisationnelles ont une histoire encore plus longue:
- Le Service canadien de la faune a été fondé en 1947
- La Commission des eaux du Canada en 1908
- Le Service météorologique du Canada en 1871
- L’année 2021 marque le 50e anniversaire du Ministère et le 150e anniversaire du Service météorologique du Canada.
- Effectif d’environ 7 400 employés répartis dans chaque province et territoire :
- Comprend des météorologues, du personnel chargé de la réglementation, des chercheurs scientifiques, des agents de l’autorité, des biologistes de la faune, des analystes des politiques, des négociateurs internationaux ainsi que du personnel de soutien (p. ex. le personnel des secteurs de l’administration, des ressources humaines, des finances, des communications et de l’audit);
- Près de 39 p. 100 des employés sont des scientifiques qui participent aux travaux de science et de technologie environnementales dans l’ensemble du Ministère
- L’équité en matière d’emploi, la diversité et l’inclusion sont des priorités
- 2e meilleur employeur au Canada, selon la liste de 2021 des meilleurs employeurs de Forbes
Description longue
Carte montrant la répartition de la main-d’œuvre d’Environnement et Changement climatique Canada au Canada.
- Région de l’Atlantique (45 %)
- Québec (13 %)
- Ontario (17 %)
- Région des Prairies et du Nord (10 %)
- Région du Pacifique et du Yukon (8 %)
- Région d’Atlantique (7 %)
55 % de la main-d’œuvre du ministère est située en dehors de la région de la capitale nationale
Aperçu financier 2021-2022
Authorisation budgétaire d’ECCC (au 23 août 2021) | Montant |
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Salaires et avantages sociaux (Frais d’exploitation) | 728 millions $ |
Fonctionnement et entretien (Frais d’exploitation) | 279 millions $ |
Capital (Frais d’exploitation) | 106 millions $ |
Total des frais d’exploitation | 1 112 millions $ |
Subventions et contributions à des tiers | 686 millions $ |
Total des programmes et activités ministériels | 1 798 millions $ |
Postes législatifs | 0,1 million $ |
Total des autorité d’ECCC | 1 798 millions $ |
Environ 38% du financement des programmes et activités du ministère est versé en subvention et contribution à des tiers
Comprend le Budget principal des dépenses 2021-22 et le Budget supplémentaire (A) 2021-22.
Note : Les montants ont été arrondis au million le plus près
Partenariats
Nous ne pouvons pas s’attaquer seuls aux problèmes environnementaux. Les partenariats sont essentiels pour faire progresser le mandat du Ministère.
Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) est déterminé à renouveler une relation de nation à nation avec les peuples autochtones du Canada, fondée sur la reconnaissance des droits, le respect, la coopération et le partenariat. Le ministère travaille avec les gouvernements, les collectivités et les organismes des peuples autochtones du Canada, y compris les Premières Nations, les Métis et les Inuits, afin de soutenir leur intendance et leurs objectifs environnementaux, et de faire progresser les programmes et les priorités du Ministère.
Le gouvernement du Canada partage des compétences en matière d’environnement avec les provinces et les territoires. ECCC travaille avec les gouvernements provinciaux et territoriaux, et ces relations sont renforcées grâce à des accords bilatéraux et à la participation au Conseil canadien des ministres de l’environnement et d’autres forums multilatéraux se penchant sur des questions spécifiques telles que les changements climatiques nationaux et internationaux, les espèces sauvages, les espèces en péril, les zones écologiques, l’eau et la protection de l’environnement.
Il existe peu de problèmes environnementaux de grande envergure pour lesquels nous pouvons trouver les causes et les solutions uniquement à l’intérieur des frontières canadiennes. Le Canada doit coopérer efficacement avec les autres pays dont les politiques et les activités ont une incidence sur la qualité de notre environnement, et trouver des solutions efficaces aux défis environnementaux mondiaux. Le Canada a également des obligations environnementales internationales conformément à divers accords et forums. La dimension internationale du travail d’ECCC est importante pour atteindre les objectifs internationaux et nationaux du Canada.
ECCC travaille également en étroite collaboration avec des organismes non gouvernementaux et des organisations industrielles nationales.
Aperçu du mandat et des pouvoirs législatifs
Promulguée en 1971, la Loi sur le ministère de l’Environnement a créé ECCC en tant que ministère.
Le ministre d’ECCC a des responsabilités directes en vertu de 33 lois ainsi que des responsabilités secondaires en vertu de 16 autres lois. Ces lois et règlements connexes confèrent au Ministère son mandat et l’habilitent à exécuter ses programmes et à s’acquitter de ses principales responsabilités, notamment :
- La préservation et l’amélioration de la qualité de l’environnement naturel, y compris la qualité de l’eau, de l’air et du sol
- La lutte contre les changements climatiques, y compris la tarification du carbone
- La protection de la nature, de la biodiversité et des espèces, dont les oiseaux migrateurs
- La gestion des écosystèmes d’eau douce
- La prestation de services météorologiques
Aperçu des responsabilités fondamentales
Conformément à la Politique sur les résultats du Conseil du Trésor, tous les ministères sont tenus de mettre en œuvre et de maintenir un Cadre des résultats ministériels qui définit les responsabilités fondamentales du ministère. Ces dernières fournissent la structure des Plans et des Rapports sur les résultats ministériels, qui sont déposés au Parlement chaque année.
À l’heure actuelle, les responsabilités fondamentales de ECCC sont les suivantes :
- Prendre des mesures visant la croissance propre et les changements climatiques
- Prévention et gestion de la pollution
- Conservation de la nature
- Prévision des conditions météorologiques et environnementales
Principales lois :
- Loi canadienne sur la protection de l’environnement
- Loi sur les espèces en péril
- Loi sur la convention concernant les oiseaux migrateurs
- Loi canadienne sur la responsabilité en matière de carboneutralité
- Loi sur le contrôle d’application de lois environnementales
- Loi fédérale sur le développement durable
- Loi sur les pêches (dispositions sur la prévention de la pollution)
- Loi sur la tarification de la pollution causée par les gaz à effet de serre
Ces responsabilités fondamentales sont soutenues par une variété de fonctions horizontales importantes, dont les suivantes :
- Recherche scientifique et surveillance environnementale
- Analyse politique et économique
- Coopération et la négociation internationales
- Travail de réglementation et d’application de la loi
- Rapports et communications
De plus amples renseignements sur les responsabilités fondamentales sont présentés dans le plan ministériel et le rapport sur les résultats ministériels.
Prendre des mesures visant la croissance propre et les changements climatiques
- Le réchauffement au Canada est, en moyenne, environ le double de l’ampleur du réchauffement mondial (Rapport sur le climat changeant du Canada)
- Les effets du réchauffement généralisé sont évidents dans de nombreuses régions du Canada, et il est prévu qu’ils s’intensifieront dans le futur
Principaux programmes d’ECCC :
- Croissance propre et atténuation des changements climatiques, y compris la réglementation des émissions
- Mesures internationales de lutte contre les changements climatiques
- Adaptation aux changements climatiques
- Recherche scientifique, surveillance et production de rapports
Les changements climatiques constituent une menace mondiale, qui a des répercussions importantes sur l’économie, la biodiversité et la société. Les effets des changements climatiques sont évidents partout dans le monde et on prévoit qu’ils vont s’intensifier. Le 6e rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, publié le 9 août 2021, indique sans équivoque que le réchauffement du climat est dû à l’activité humaine et qu’à moins de réductions immédiates, rapides et à grande échelle des émissions de gaz à effet de serre, il sera impossible de limiter le réchauffement à environ 1,5 °C ou même 2 °C. Les mesures prises par le Canada pour lutter contre les changements climatiques au pays et à l’étranger sont guidées par la science climatique et l’objectif de l’Accord de Paris, qui est de contenir l’élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels et de poursuivre l’action menée pour limiter l’élévation des températures à 1,5 °C. Les mesures de lutte contre les changements climatiques sont nécessaires pour atténuer les risques liés au climat (tels que les inondations, les feux de forêt, les chaleurs extrêmes et la propagation de maladies infectieuses), soutenir une croissance économique durable et assurer la compétitivité mondiale du Canada.
ECCC est responsable de :
- Diriger l’élaboration des politiques climatiques du Canada
- Superviser et coordonner la mise en œuvre pangouvernementale des plans climatiques du Canada
- Offrir des programmes et des services climatiques
- Engager les partenaires provinciaux, territoriaux et autochtones sur les questions liées au climat
- Diriger les efforts du Canada dans les négociations internationales sur les changements climatiques et participer à la coopération internationale
- Contribuer à la recherche et à l’expertise scientifiques, y compris à l’échelle internationale
- Soutenir les travaux sur les technologies propres
Prévention et gestion de la pollution
- 86 p. 100 des déchets plastiques du Canada ont été jetés dans des sites d’enfouissement en 2016, 9 p. 100 seulement ont été recyclés et 1 p. 100 (29 000 tonnes) s’est retrouvé dans l’environnement
- Le Système de gestion de la qualité de l’air est une approche collaborative fédérale, provinciale et territoriale visant à réduire la pollution atmosphérique
Principaux programmes d’ECCC :
- Qualité de l’air
- Qualité de l’eau et partenariats sur les écosystèmes
- Gestion des substances et des déchets
- Promotion de la conformité et application de la loi – pollution
Pour préserver la santé et la sécurité des Canadiens, il est nécessaire de protéger l’environnement contre les polluants nocifs présents dans l’air, le sol et les eaux. La pollution atmosphérique est liée au décès prématuré d’environ 14 600 Canadiens par année, et nous sommes de plus en plus nombreux à vivre dans des régions où la qualité de l’air est mauvaise. Au Canada, environ 3 millions de tonnes de plastiques sont jetées chaque année et près de 30 000 tonnes se retrouvent dans notre environnement naturel. Bien que la qualité de l’eau au Canada soit généralement de passable à bonne, il existe d’importantes préoccupations régionales et locales. Pour s’attaquer à ces problèmes, ECCC surveille les contaminants dans l’air, l’eau et le sol, élabore et administre des normes, des lois et des règlements environnementaux, et exécute d’autres programmes.
ECCC est responsable de :
- Protéger les Canadiens et leur environnement contre les substances nocives en mettant en œuvre le Plan de gestion des produits chimiques du Canada en collaboration avec Santé Canada
- Mettre en œuvre des dispositions relatives à la prévention de la pollution de l’eau et l’élaboration de règlements en vertu de la Loi sur les pêches et de la Loi canadienne sur la protection de l’environnement (1999) (LCPE)
- Diriger des initiatives relatives aux bassins versants en collaboration avec les gouvernements provinciaux, les communautés autochtones et les intervenants
- Minimiser les répercussions des urgences environnementales sur les Canadiens et leur environnement
- Réglementer les mouvements transfrontaliers des déchets dangereux et des matières recyclables dangereuses
- Faire avancer l’élimination des déchets plastiques grâce à la transition vers une économie circulaire
Conservation de la nature
- Un rapport de 2020 du Fonds mondial pour la nature a noté que 50 p. 100 des 903 espèces sauvages faisant l’objet d’un suivi au Canada ont décliné de 1970 à 2014 – pour un déclin moyen de 83 p. 100. Un rapport de 2019 dans la revue Science a montré que plus de 2,9 milliards d’oiseaux ont disparu au Canada et aux États-Unis depuis 1970
- À l’échelle mondiale, les services fournis par la nature représentent une valeur d’environ 125 billions de dollars par an (p. ex. air et eau propres, sols fertiles, pollinisation, nourriture et médicaments, piégeage du carbone, contrôle des inondations et des sécheresses) et sont souvent coûteux ou impossibles à remplacer s’ils en viennent à disparaître (WWF, Rapport planète vivante, 2018)
Principaux programmes d’ECCC :
- Espèces en péril
- Politique et partenariats sur la biodiversité
- Oiseaux migrateurs et autres espèces sauvages
- Évaluation environnementale
- Conservation et protection de l’habitat
- Promotion de la conformité et application de la loi – espèces sauvages
La nature fournit des avantages dont nous dépendons tous pour notre survie, notre sécurité et notre bien être. Le rythme de la disparition des espèces s’accélère avec jusqu’à 25 p. 100 de toutes les espèces étant menacées de disparition dans le monde. ECCC joue un rôle de premier plan pour contrer cette crise. La biodiversité est une responsabilité partagée au Canada, la grande majorité des terres publiques étant administrées par les provinces et les territoires.
ECCC est responsable de :
- La protection et le rétablissement des espèces en péril et de leur habitat essentiel
- La conservation et la protection de populations saines d’oiseaux migrateurs
- L’engagement et le soutient aux provinces et territoires, peuples autochtones, intervenants et public en vue d’accroître les aires protégées et de contribuer aux activités de conservation et d’intendance
- L’expansion et la gestion des aires protégées du Ministère
- La collaboration avec des partenaires nationaux et internationaux pour faire progresser la conservation de la biodiversité et le développement durable
Prévision des conditions météorologiques et environnementales
- Chaque jour, ECCC utilise un superordinateur de pointe pour rassembler 13 millions d’observations sur l’environnement du Canada et d’autres données disponibles auprès de partenaires nationaux et internationaux
- Le SMC soutient les opérations essentielles à la mission d’organismes fédéraux, provinciaux, territoriaux, municipaux et privés qui dépendent de l’infrastructure, de la capacité scientifique et de l’expérience du SMC pour remplir leur mandat (p. ex. aviation, gestion des urgences, gestion de l’eau, opérations militaires et maritimes)
- L’appli MétéoCAN d’ECCC comptait environ 625 000 utilisateurs actifs en date de novembre 2020
Principaux programmes d’ECCC :
- Observations, prévisions et avertissements météorologiques et environnementaux
- Services hydrologiques
L’année 2021-2022 marque le 150e anniversaire du Service météorologique du Canada (SMC) et sa longue histoire au service des Canadiens à fournir de l’information précise et opportune sur les conditions météorologiques et environnementales afin de les éclairer dans leurs décisions concernant leur santé, leur sécurité et leur bien être économique.
ECCC est responsable de :
- Surveiller les conditions météorologiques, la qualité de l’eau et de l’air et les conditions climatiques
- Diffuser des prévisions, des renseignements et des avertissements au public canadien et aux secteurs ciblés au moyen d’une gamme d’options de services
- Réaliser des recherches
- Élaborer et maintenir des modèles informatiques permettant de prévoir les conditions météorologiques et d’autres conditions environnementales
- Collaborer et partager des données avec d’autres services météorologiques nationaux et avec des organismes internationaux
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