Cahier de transition du sous-ministre – septembre 2023 : Sciences et technologies

Septembre 2023
Cahier de transition du sous-ministre : Sciences et technologies

De : Environnement et Changement climatique Canada

Contexte et mandat

Fournir une base de données probantes

Exploiter les nouvelles découvertes

Tirer parti des talents de calibre mondial

Faire du Canada un chef de file mondial

La science à l’appui DES responsabilités et des priorités d’ECCC

Le rôle particulier de la DGST

Une main-d’œuvre scientifique diversifiée

Description textuelle

L’illustration est une carte du Canada avec un bloc de texte intitulant la carte « Bureaux/installations de la DGST au Canada ». La carte montre plusieurs emplacements des bureaux de la DGST à travers le Canada.

Les bureaux/installations de la DGST à travers le Canada, tels qu’indiqués sur la carte, sont les suivants :

Yukon

  • Old Crow
  • Dawson
  • Whitehorse

Territoires du Nord-Ouest

  • Tuktoyaktuk
  • Inuvik
  • Délı̨nę
  • Yellowknife
  • Hay River
  • Sachs Harbour

Nunavut

  • Cambridge Bay
  • Baker Lake
  • Rankin Inlet
  • Resolute
  • Alert
  • Pond Inlet
  • Pangnirtung
  • Iqaluit

Colombie-Britannique

  • Masset
  • Prince Rupert
  • Fort Nelson
  • Prince George
  • Vancouver
  • Victoria
  • Kamloops

Alberta

  • Fort McMurray
  • Edmonton
  • Calgary

Saskatchewan

  • La Ronge
  • Saskatoon
  • Moose Jaw
  • Regina

Manitoba

  • Churchill
  • Thomson
  • Brandon
  • Winnipeg

Ontario

  • Sandy Lake
  • Red Lake
  • Kenora
  • Thunder Bay
  • Attawapiskat
  • Timmins
  • Greater Sudbury
  • Toronto
  • Ottawa
  • London
  • Windsor

Québec

  • Salluit
  • Kuujjuaq
  • Inukjuak
  • Chisasibi
  • Chibougamau
  • Sept-Îles
  • Val-d’Or
  • Québec
  • Montréal
  • Gaspé

Terre-Neuve-et-Labrador

  • Nain
  • Cartwright
  • Labrador City
  • St. John’s
  • Corner Brook

Nouveau-Brunswick

  • Fredericton
  • Saint John

Île-du-Prince-Édouard

  • Charlottetown

Nouvelle-Écosse

  • Halifax
  • Sydney
  • Yarmouth

Exemples de la manière dont la science oriente les responsabilités et les priorités d’ECCC

  1. Soutient l’élaboration de lois, de règlements et de politiques
    • Le Rapport sur le climat changeant du Canada a orienté et motivé une politique nationale d’atténuation et l’élaboration de la Stratégie nationale d’adaptation
    • Dans le cadre du Plan de gestion des produits chimiques, l’Évaluation scientifique de la pollution plastique a permis de formuler l’éventuelle interdiction de six articles en plastique à usage unique, en plus d’élaborer des règlements.
  2. Fournit des services essentiels d’intérêt public
    • La surveillance et la modélisation de la DGST aident les Canadiens :
    • à prendre des décisions éclairées liées aux effets de la pollution (indice de santé de la qualité de l’air, indice UV, surveillance de la qualité de l’eau)
    • à se protéger contre les conditions météorologiques extrêmes et dangereuses (p. ex., outils prédictifs pour orienter les prévisions et les alertes en matière de risques d’incendie et de conditions météorologiques, innovation pour le modèle météorologique national, et réponse aux situations d’urgence)
  3. Exécute et met en œuvre des programmes
    • Dirige l’estimation des émissions de GES du Canada et produit le Rapport d’inventaire national annuel sur les GES destiné à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques.
    • Collabore avec l’Alberta dans le cadre du Programme de surveillance des sables bitumineux afin de comprendre les effets de l’exploitation des sables bitumineux sur l’environnement et d’en évaluer les effets cumulatifs.
  4. Soutient la réconciliation avec les Autochtones ainsi que leurs croissance économique, prospérité et bien-être
    • Entreprend et facilite la recherche scientifique autochtone
    • Surveille la qualité de l’eau dans les secteurs coquilliers traditionnels des communautés autochtones
    • Mène des projets de recherche sur les contaminants et leur incidence sur les communautés nordiques.

La science autochtone à ECCC

L’application d’une optique autochtone à la science, à la politique et aux programmes d’ECCC est essentielle pour agir efficacement sur les changements climatiques et l’adaptation au Canada.

La collaboration permet d’harmoniser les capacités et de tirer parti d’une science de calibre mondiale

Description textuelle

Cette image comprend les logos des organisations avec lesquelles ECCC collabore, notamment :

  • Innovation.ca (Fondation Canadienne pour l’Innovation/ Canadian Foundation for Innovation)
  • Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH)/ Social Sciences and Humanities Research Council (SSHRC)
  • Mitacs
  • Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG)/Natural Sciences and Engineering Research Council of Canada (NSERC)
  • Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) / Canadian Institutes of Health Research (CIHR)
  • Laboratoires Canada
  • Organisation météorologique mondiale
  • Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC)
  • Conseil de l’Arctique
  • Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES)

La science d’ECCC répond aux nouveaux défis et aux nouvelles possibilités

En réponse, la science d’ECCC permet de :

Élaboration d’une feuille de route pour la science

ECCC continuera à faire progresser la science dans les domaines prioritaires et émergents

Recherche et surveillance de la biodiversité, des espèces sauvages et de l’habitat

Concevoir et appliquer des outils de surveillance et de recherche novateurs pour soutenir l’examen des projets fédéraux et améliorer les résultats liés à la biodiversité et aux espèces sauvages, y compris les évaluations des écosystèmes, les espèces en péril et les oiseaux migrateurs. Envisager l’application et les implications de la génomique.

Capacité de modélisation et de prévision

Soutenir le suivi et l’évolution continue de la modélisation et des prévisions (p. ex., systèmes terrestres, phénomènes météorologiques, qualité de l’air et de l’eau, biodiversité et tendances climatiques à long terme) dans le temps, l’espace et les domaines environnementaux. Application de technologies en évolution (p. ex., intelligence artificielle) et d’outils analytiques pour intégrer plusieurs ensembles de données.

Changements climatiques

Améliorer en permanence le suivi et la déclaration des émissions de GES en s’efforçant d’intégrer les observations atmosphériques dans les inventaires d’émissions. Faire progresser les connaissances sur le climat et les systèmes terrestres, y compris les incidences sur l’environnement arctique, le cycle naturel du carbone et les rejets (p. ex., pergélisol, zones humides).

Modernisation de l’évaluation des risques

Traiter les questions préoccupantes par une science critique, intégrée et optimisée. Tirer parti de nouvelles approches pour établir des priorités dans l’évaluation des risques liés aux substances chimiques. Mieux comprendre l’incidence sur les populations et les environnements touchés de manière disproportionnée.

Recherche et surveillance de l’eau

Assurer la surveillance de la qualité de l’eau et de la santé des écosystèmes aquatiques. Mener des recherches sur les sciences de l’eau douce et fournir un soutien en laboratoire, y compris des analyses chimiques, biologiques, toxicologiques et génomiques spécialisées.

Géo-ingénierie

Comprendre les répercussions de la géo-ingénierie — vaste ensemble de méthodes et de technologies visant à modifier délibérément le système climatique — dans le contexte canadien en raison de l’intérêt croissant qu’elle suscite sur la scène nationale et internationale.

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