Comité consultatif autochtone : Composition
Membres
Le Comité consultatif autochtone fournit au gouvernement du Canada des conseils d'expert et participe à l'élaboration de politiques et d'orientations pour le système d'évaluation d'impact.
Le Comité comprend des membres des Premières Nations, des Inuits et des Métis. La représentation des trois différents peuples autochtones contribue à faire en sorte que le Comité apporte une perspective large et inclusive reflétant les droits, les intérêts, les priorités et la situation uniques des peuples autochtones au Canada.
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Rachel Olson (coprésidente)
Rachel Olson est citoyenne de la Première Nation des Tr'ondëk Hwëch'in du territoire du Yukon. Titulaire d'un doctorat en anthropologie sociale, Rachel est présidente et directrice fondatrice de The Firelight Group, où elle est également responsable technique de l'équipe d'étude portant sur les connaissances traditionnelles et leur utilisation, et elle se penche sur les processus d'évaluation environnementale avec les collectivités autochtones. Elle se concentre sur les systèmes de connaissances autochtones et l'utilisation traditionnelle des terres, et examine les pratiques exemplaires d'intégration de ces éléments dans les processus de recherche et d'évaluation environnementale pour les projets industriels tels que les pipelines, les parcs éoliens et les mines. Depuis plus de 20 ans, Rachel collabore avec les collectivités autochtones du Canada sur des questions liées aux connaissances autochtones, à la santé et à l'exploitation des ressources. Elle est l'auteur de rapports portant sur les connaissances traditionnelles et leur utilisation pour les collectivités des Premières Nations de la Colombie‑Britannique, de l'Alberta, de l'Ontario, du Yukon, des Territoires du Nord‑Ouest et du Nunavut. Elle a également témoigné lors d'audiences du Conseil de révision environnementale sur les méthodes, l'analyse et l'évaluation des connaissances autochtones.
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Kyle Vermette (coprésident)
Kyle Vermette (LL.B.) est un avocat et négociateur de la Nation métisse de Regina, en Saskatchewan, et conseiller spécial du Firelight Group. Il est l’un des fondateurs de CLASSIC, un organisme sans but lucratif qui gère un centre de consultation gratuit offrant des services juridiques aux personnes à faibles revenus qui vivent dans le centre-ville de Saskatoon, par le biais d’un cours offert par la faculté de droit de l’Université de la Saskatchewan. Il a déjà conseillé le Ralliement national des Métis et la Fédération des Métis du Manitoba sur des questions nationales et internationales relatives aux changements climatiques, à la biodiversité et à l’environnement. Il a également représenté la Nation métisse dans le cadre de la Convention‑cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et de la Convention sur la diversité biologique des Nations Unies. Négociateur formé à la faculté de droit de Harvard, il était auparavant conseiller juridique interne de la Water Security Agency (Saskatchewan). Il est coprésident du Comité consultatif autochtone de l’Agence d’évaluation d’impact du Canada.
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Walter Andreeff
Walter Andreeff vit dans la région 5 de la Métis Nation of Alberta (MNA). Il possède des connaissances et de l’expérience en matière d’évaluations de l’utilisation des terres menées par les Autochtones, une bonne connaissance de la gouvernance de la Métis Nation et une connaissance directe des pratiques exemplaires de participation et de collaboration des Autochtones et de partenariats avec eux dans le cadre d’évaluations environnementales et des impacts. Walter est titulaire d’un diplôme ès sciences en géologie environnementale et travaille avec des communautés autochtones de l’Alberta et de la Colombie-Britannique depuis 20 ans. Il est un membre reconnu de la communauté MNA.
Walter est coordonnateur de la consultation des Métis dans la région 5 de la MNA, à Slave Lake. Il est un membre actif du groupe de travail sur la restauration de l’habitat, du groupe de travail sur le suivi des populations et du cercle du savoir autochtone du Consortium national du savoir sur le caribou boréal. Il apporte actuellement son soutien en tant que membre du Cercle d’experts autochtones qui rédige un document sur l’élaboration des règlements relatifs aux accords de coopération avec les Autochtones. Walter a travaillé pendant de nombreuses années dans l’industrie pétrolière et gazière, où il a exercé plusieurs fonctions de liaison avec les communautés. Il possède une expertise en matière de droits autochtones des Métis, comprend leurs interactions avec les grands projets et leurs relations avec le fonctionnement de l’Agence d’évaluation d’impact du Canada et d’Environnement et Changement climatique Canada.
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Jennifer Campbell
Jennifer Campbell est une Métisse ainsi que la fondatrice et la directrice générale de la société de d’experts-conseils en environnement et enjeux sociaux Two Worlds Consulting. Elle possède deux décennies d’expérience en évaluations d’impact auprès des nations autochtones, du secteur privé et du gouvernement.
Jennifer a travaillé sur des projets dans des régions et des secteurs très variés. Elle est convaincue qu’il faut adopter plus d’une optique dans l’évaluation d’impact en s’appuyant sur les systèmes et les modes de connaissances occidentaux et autochtones. Jennifer est à la fois une professionnelle expérimentée de la gestion de projets et une professionnelle de l’environnement. Elle est titulaire d’une maîtrise en administration publique et d’un baccalauréat en géographie et en études environnementales. Elle est très engagée dans sa collectivité, notamment auprès des jeunes Autochtones itinérants.
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Florence Catholique
J’ai travaillé comme femme de chambre, plongeuse, employée de bureau, agente d’emploi, travailleuse Denesoline Yati, enseignante, directrice d’école, responsable du comité de la faune, des terres et de l’environnement (WLEC), traductrice, chercheuse, entrepreneuse, chef et conseillère. Ma famille vit toujours chez elle, à Lutselk'e, dans les Territoires du Nord-Ouest. Je suis une défenseuse des droits des Dénés et je crois fermement en mon « Ch'ani » (notre mode de vie), que je pratique. J’ai travaillé en collaboration avec les groupes suivants ou auprès d’eux -:
- Fraternité des Indiens des T.N.-O., aujourd’hui appelée Nation Déné
- Femmes autochtones du Canada
- Femmes autochtones des T.N.-O.
- Société du Traité no 8 des T.N.-O.
- Conseil de surveillance environnementale de Diavik
- Conseil consultatif indépendant de surveillance environnementale de BHP
- Accords socio-économiques et environnementaux de Diavik et DeBeers (Snap Lake)
- Ententes sur les avantages des répercussions de BHP, Diavik et DeBeers (Snap Lake)
- Chef et conseillère de la Première Nation Déné de Lutselk'e
- Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord
- Comité de sélection de l’Akaitcho
- Conseil de surveillance des eaux et des océans de l’Akaitcho
- Office des terres et des eaux de la vallée du Mackenzie
- MiningWatch Canada
- Mine Training Society
- Et de nombreux autres comités
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Jocelyn Gosselin
Jocelyn Gosselin est une Métisse qui entretient des liens ancestraux avec la rivière Rouge. Depuis la fin de ses études postsecondaires, Jocelyn a élu domicile dans la région des sables bitumineux de l’Alberta, avant de revenir récemment à ses racines dans le nord-ouest de l’Ontario. Elle possède une connaissance et une expérience approfondies du programme de surveillance Canada-Alberta des sables bitumineux et de la consultation sur les évaluations d’impact. Elle sert sa nation en offrant ses services consultatifs pour soutenir les initiatives des communautés, et elle est active au sein de divers comités multilatéraux en tant que représentante métisse nommée par sa nation. Elle est titulaire d’un baccalauréat ès sciences en gestion de l’environnement de l’Université Royal Roads et d’un diplôme en environnement sur le terrain et en laboratoire du Niagara College. Jocelyn s’intéresse à l’équilibre entre le savoir traditionnel et la science moderne, et fournit des conseils politiques et techniques aux gouvernements autochtones et occidentaux. Jocelyn pratique la récolte traditionnelle, ce qui renforce son lien avec la communauté et la terre.
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Paul Jones
Paul Jones est Anishnabek du territoire de la Nation Saugeen Ojibway; sa réserve est Neyaashiinigmiing et il appartient au clan Ngig (Otter). Paul a été conseiller de bande pour les Chippewas de Nawash de 1991 à 2017. À ce titre, Paul a agi en tant que liaison principale avec le conseil et a joué un rôle essentiel dans les négociations avec les gouvernements fédéral et provinciaux dans les domaines des droits des traités autochtones, des questions environnementales, ainsi que de l'exploitation des ressources, de l'énergie et des infrastructures. Il a plus de 30 ans d'expérience auprès de professionnels, d'universitaires (des biologistes aux philosophes en passant par les physiciens nucléaires) et des gardiens du savoir. Paul a siégé à divers comités nationaux sur les droits ancestraux et issus de traités, en particulier sur la participation des systèmes de connaissances autochtones à la science. Paul est un pêcheur commercial depuis des décennies. Il a concilié son travail de défense des droits avec l'exercice durable de ses droits autochtones.
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Julia Kennedy-Francis
Julia Kennedy-Francis est une femme autochtone d'origine wolastoq et mi'gmaq, qui occupe actuellement le poste de directrice de la gestion des terres et de l'élaboration des politiques pour sa collectivité natale de Sitanisk. Outre son rôle actuel, elle compte à son actif plus de 25 ans d'expérience en gestion des terres autochtones et des ressources halieutiques, en établissement de relations fructueuses entre les Autochtones et la Couronne, en facilitation et en gestion de consultation auprès des Autochtones et de processus d'accommodement à l'intention des promoteurs et de la Couronne, en fourniture de conseils sur les évaluations environnementales et en gestion de ces dernières. Dans le cadre de ses fonctions dans le domaine des pêches, elle a surtout mis l'accent sur l'élaboration de processus internes de mobilisation et de consultation de la collectivité, de concert avec diverses collectivités et organisations autochtones, afin d'obtenir des commentaires sur les impacts potentiels de projets proposés par la Couronne ou les promoteurs. Elle a aussi mené d'autres activités, dont des discussions et des négociations pour financer et mener des études sur le savoir autochtone en vue d'offrir de l'orientation et d'appuyer les discussions sur la consultation et l'accommodement avec la Couronne ou les promoteurs. Dans le cadre de sa plus récente fonction dans le domaine des pêches, elle a géré les négociations avec Pêches et Océans Canada (MPO) et la province du Nouveau-Brunswick pour financer une étude à l'échelle de la province sur le savoir autochtone lié aux bassins versants. Dans le cadre de ses fonctions liées aux pêches et à la gestion des terres, Julia a fourni des conseils sur plusieurs évaluations environnementales et en a assuré la gestion, et, au cours des dernières années, a fait de même pour des évaluations d'impact de divers projets. Dans le cadre de ces activités, Julia a toujours préconisé la reconnaissance sur le même pied d'égalité des études sur le savoir autochtone et leur intégration aux processus d'évaluation internes du MPO et ceux menés en vertu de la Loi sur l'évaluation d'impact.
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Melody Lepine
Melody Lepine fait partie de la Première Nation crie Mikisew (PNCM) de Fort Chipewyan, en Alberta. Motivée dès son jeune âge par les enseignements traditionnels en matière d'intendance environnementale, Melody a poursuivi ses études en sciences de la conservation de l'environnement à l'Université de l'Alberta et à l'Université Royal Roads. Cet équilibre d'enseignement à la fois dans les connaissances traditionnelles en matière d'environnement et dans les sciences occidentales est devenu un atout majeur dans la carrière de Melody. À titre de directrice des relations avec le gouvernement et l'industrie de la PNCM, elle est responsable de la supervision de toutes les consultations menées par le gouvernement et l'industrie en matière de développement des ressources sur le territoire cri des Mikisew. Au cours des 16 dernières années, elle a géré des centaines de dossiers de consultation auprès des gouvernements et de l'industrie, dont plusieurs comportaient des évaluations d'impact environnemental des sables bitumineux, des interventions réglementaires lors d'audiences et une partie de l'élaboration de protocoles de consultation, des études sur les connaissances autochtones, des évaluations de l'impact sur la culture, des négociations d'ententes sur les répercussions et les avantages, et la création d'un programme communautaire de surveillance de l'environnement au sein de sa collectivité.
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André Michel
André Michel est né et a grandi dans la communauté de Uashat mak Mani-utenam. Il est Innu et parle couramment l’Innu-aimun, sa langue maternelle. Biologiste de formation (B. Sc.), il s’intéresse à toutes les sciences depuis son enfance. Néanmoins, il est très fier de ses racines autochtones. En effet, son grand-père paternel, Alexandre Michel, est l’un des derniers Innus à avoir porter la fameuse « bosse de canot » qui témoigne du passé nomade de son peuple. Son grand-père maternel, Jean-Baptiste Jean-Pierre, était quant à lui, un grand joueur de tambour sacré innu (Teueikan). Il se souvient que ses grands-parents l’ont toujours encouragé à poursuivre ses études.
André Michel a travaillé pour plusieurs firmes en environnement après la fin de ses études universitaires. En 2004, il retourne travailler pour sa communauté en tant que conseiller en environnement. Il est vite mandaté pour s’occuper du dossier de la rivière Moisie et participe grandement à l’essor de la Mishta-shipu, la Grande Rivière. Monsieur Michel a aussi travaillé pour la Nation Innue du Québec en tant qu’expert biologiste sur différents enjeux environnementaux et en particulier sur le dossier caribou qu’il maitrise parfaitement. Il conseille aussi les chefs innus sur le sujet du saumon atlantique.
Toujours là pour défendre les activités traditionnelles innues, la culture et le patrimoine innue, il utilise ses connaissances scientifiques pour la préservation et la pérennité des traditions. Il faut combattre le feu par le feu est une de ses devises favorites. Il sensibilise aussi ses confrères innus à la conservation et la préservation des différentes espèces animales et végétales lorsque nécessaire.
Aujourd’hui, il est Directeur Environnement et Territoire pour ITUM et les Innus de Uashat mak Mani-utenam. Il continue toujours à vouloir faire avancer sa communauté dans le domaine de l’environnement et est toujours aussi passionné par son travail et les sciences.
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Stanley Oliver
Stanley Oliver est né et a grandi au Labrador. Stan est un Inuit passionné de chasse, de pêche et de plein air. Il occupe actuellement le poste de directeur chez Trades NL : Indigenous Skilled Trades Office (Bureau des métiers spécialisés autochtones). Il a travaillé dans le domaine/secteur des ressources naturelles dans la région du Labrador et de l’Atlantique pendant plus de 37 ans . Il a occupé plusieurs postes de haute direction et de leadership au sein du gouvernement du Nunatsiavut, du Conseil communautaire NunatuKavut et du Congrès des Premières Nations de l’Atlantique. Il détient un diplôme de technicien en ressources de l’Université Memorial, est technicien en génie certifié auprès de l’Association des ingénieurs de Terre-Neuve-et-Labrador et possède de nombreux certificats en gouvernance et administration autochtones.
La vaste gamme de formations, d’expériences professionnelles et de connaissances locales de Stan lui permet de s’adapter à des environnements de travail complexes. Sa connaissance approfondie des droits des peuples autochtones de Terre-Neuve-et-Labrador est souvent sollicitée à l’échelle locale, provinciale et nationale. Il siège actuellement au Comité consultatif autochtone de l’Agence d’évaluation d’impact du Canada et a été membre du Cercle d’experts sur les droits des Autochtones de l’AEIC , du Comité consultatif sur les réserves naturelles et écologiques de la province de Terre-Neuve-et-Labrador, de la Société pour la nature et les parcs du Canada – section Terre-Neuve-et-Labrador, de Prévisions T.-N.-L. avec l’Université Memorial et du Comité consultatif communautaire sur la santé de Happy Valley Goose Bay.
Il vous dira que sa philosophie consiste à « créer des environnements de travail libres et axés sur les détails, qui mettent l’accent sur des partenariats collaboratifs positifs avec le gouvernement et les entreprises sans perdre de vue les préoccupations locales ».
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Angel Ransom
Angel Ransom est une fière membre du clan Kwun Ba Whut'en (Caribou) de la Première Nation Nak'azdli Whut'en. En grandissant dans sa communauté natale de Fort Saint James, en Colombie-Britannique, Angel a développé son appréciation de l'importance de la communauté et sa passion pour le plein air, non seulement comme terrain de jeu, mais aussi pour son utilisation et sa gestion durables. Détentrice d'un baccalauréat en planification environnementale et de sa propre société de conseil, Angel a passé plus d'une décennie à créer des changements dans le domaine de la planification de l'utilisation des terres autochtones à l'échelle locale, provinciale et nationale.
En tant que femme autochtone experte en planification des Premières Nations, Angel se consacre à promouvoir et à faire avancer des projets et des processus dirigés et conçus par les Autochtones qui sont axés sur les droits, la culture et le bien-être des communautés autochtones. En outre, elle s'efforce d'inspirer les jeunes autochtones en leur montrant qu'ils ont le potentiel d'influencer le monde qui les entoure et d'y apporter des changements. Sa quête personnelle et professionnelle de l'excellence est motivée par ses valeurs fondamentales de respect, de responsabilité, de confiance et de communication, ainsi que par son dévouement envers la collaboration et le développement communautaire par son travail et son bénévolat.
Lorsqu'elle n'est pas en déplacement dans le cadre de son travail ou de son bénévolat, Angel aime consacrer ses vacances à sa détente et à la découverte de nouvelles terres, de nouvelles personnes et de nouvelles cultures. Mais surtout, après sa journée de travail, un voyage professionnel ou des vacances, elle est toujours heureuse d'aller retrouver et gâter ses petites bêtes poilues.
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Chevaun Toulouse
Aanii, Chevaun Toulouse nindizhinikaaz, Sagamok Anishinawbek First Nation nindonjibaa, Ginoozhe nindoodem.
Je m’appelle Chevaun Toulouse, je viens de la Première Nation Sagamok Anishinabek et je fais partie du clan du brochet. La Première Nation Sagamok Anishinabek est établie sur la rive nord du lac Huron, en face de l’île Manitoulin, la plus grande île d’eau douce au monde.
Je suis diplômée de la technique en conservation des poissons et de la faune du Sault College. J’ai reçu la certification du programme de maître naturaliste de l’Ontario d’Ontario Nature et de l’Université Lakehead. Je termine actuellement mes études de premier cycle en biologie et en sciences autochtones de l’environnement à l’Université de Trent.
J’ai travaillé dans le domaine de la conservation de l’environnement pendant de nombreuses années comme technicienne des espèces en péril pour le zoo de Toronto, la Première Nation Magnetawan, la Première Nation Sagamok, le Ministère des richesses naturelles et des Forêts (MRNF) et le Centre des sciences forestières de l’Ontario.
Récemment, j’ai été recherchiste pour le documentaire Great Lakes Untamed, ce qui m’a permis de découvrir une nouvelle facette de la conservation de l’environnement qui met en lumière nos grands lacs et les défis qui se posent à eux au moyen d’un film.
La sensibilisation à la conservation auprès des Premières Nations et la défense de l’environnement ont été les expériences les plus gratifiantes de ma vie.
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