Lettre de recommandations pour l’audit des contrôles de base de l’Agence de la consommation en matière financière du Canada
Mai 2018
Bureau du contrôleur général
Lettre de recommandations
La présente lettre de recommandations est présentée à la direction de l’Agence de la consommation en matière financière du Canada. Elle contient les constatations détaillées et les recommandations pour chaque critère évalué et met les recommandations en correspondance avec les critères auxquels elles se rapportent.
Les transactions ont été sélectionnées à partir de l’exercice financier s’étalant du 1er avril au 31 décembre 2016.
Pour donner suite à l’audit, l’Agence de la consommation en matière financière du Canada devra élaborer un plan d’action de la direction afin de répondre aux recommandations formulées dans la présente lettre de recommandations.
Je vous remercie à l’avance de votre coopération en temps opportun.
Mike Milito, MBA, CIA, CRMA
Contrôleur général adjoint
Secteur de la vérification interne
Bureau du contrôleur général du Canada
Constatations détaillées et recommandations
Légende des seuils de conformitéNote de bas de page 1
Respecté – Conforme dans une proportion d’au moins 98 %
Respecté en partie – Conforme dans une proportion d’au moins 80 %, mais de moins de 98 %
Non respecté – Conforme dans une proportion inférieure à 80 %
Critères |
Constatations |
Conformité |
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i) Délégation des pouvoirs financiers pour les dépenses. Les instruments de délégation des pouvoirs sont adéquats et à jour, et ils ont été approuvés conformément à la Directive. |
La matrice de délégation des pouvoirs de signature des documents financiers a été approuvée par le commissaire le 4 décembre 2015 et a été approuvée par le ministre des Finances. Bien que l’approbation du ministre des Finances n’ait pas été datée, l’ACFC a reçu l’approbation le 11 février 2016, ce qui était au cours de la période de 90 jours requise suivant l’arrivée du nouveau ministre. De plus, la matrice de délégation des pouvoirs de signature des documents financiers cadre avec la Directive sur les dépenses de voyages, d’accueil, de conférences et d’événements. Elle s’harmonise aussi avec les limites prévues dans la Politique sur les marchés. De plus, les contrôles de cartes de signature ont fait l’objet d’un examen en fonction des cartes de signature qui faisaient partie de l’échantillon. On a relevé les exceptions suivantes :
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Non respecté |
ii) Apprentissage, formation et perfectionnement. Les employés reçoivent la formation requise, en conformité avec les exigences applicables à la gestion financière, à la passation de marchés et aux ressources humaines. |
Dans le cas de 9 des 23 dossiers applicables examinés, les employés avaient reçu la formation appropriée sur les délégations. On a relevé les exceptions suivantes :
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Non respecté |
Recommandation 1. L’Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) devrait veiller à ce que les processus opérationnels de délégation soient améliorés et qu’ils soient toujours exécutés conformément à la Directive sur la délégation des pouvoirs financiers pour les dépenses du Conseil du Trésor. L’ACFC devrait aussi veiller à ce que les documents pertinents à cet égard soient conservés au dossier afin de confirmer que :
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Conformité globale : Non respecté |
Critères |
Constatations |
Conformité |
---|---|---|
(i) Le ministère a établi pour la gestion financière une solide structure de gouvernance qui favorise une gérance prudente des ressources publiques dans le cadre de l’exécution du mandat de l’organisation. |
Le ministère a établi pour la gestion financière une solide structure de gouvernance qui favorise une gérance prudente des ressources publiques dans le cadre de l’exécution du mandat de l’organisation. Le budget organisationnel a été établi pour l’exercice 2016-2017; il cadre avec le plan d’entreprise et se rapporte directement au résultat stratégique de l’ACFC. Le budget pour l’exercice 2016-2017 a été approuvé dans le cadre du plan d’entreprise de l’ACFC. L’Agence élabore son plan d’entreprise triennal, qui indique les priorités, les stratégies et les mesures stratégiques. En fonction du plan d’entreprise, les directions élaborent leurs produits livrables, les activités connexes et les budgets. Le budget est réparti par centre de responsabilité ministérielle et est subdivisé par poste de dépense. Les écarts entre les montants réels et budgétés sont analysés par chaque centre de responsabilité, et l’analyse des écarts mensuels est transmise au dirigeant principal des finances (DFP). Au milieu de l’exercice, un budget révisé en fonction des chiffres réels et des besoins prévus à la fin de l’exercice est présenté pour approbation au commissaire. L’ACFC utilise également un outil de prévisions salariales qui répartit les salaires par centre de responsabilité et par équivalent temps plein. Les risques ministériels sont examinés périodiquement de manière informelle et de façon formelle tous les ans dans le contexte du cadre de gestion des risques de l’entreprise et en vue de son exercice de planification organisationnelle. |
Respecté |
Recommandation : Aucune |
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Conformité globale : Respecté |
Critères |
Constatations |
Conformité |
---|---|---|
i) L’attribution des cartes d’achat fait l’objet de contrôles, et les détenteurs de carte ont reconnu par écrit leurs obligations et responsabilités. |
Dans le cas d’une transaction de titulaire de carte examinée, il n’y avait aucun formulaire de demande de carte d’achat au dossier et il n’y avait aucun document pour démontrer que le titulaire de carte d’achat reconnaissait les responsabilités et les obligations avant de recevoir la carte d’acquisition du coordonnateur. |
Non respecté |
ii) La disponibilité des fonds au titre des engagements est certifiée par une personne dûment autorisée, et ce, avant l’engagement des dépenses d’après la valeur prévue (article 32 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Dans le cas de 23 des 29 transactions applicables examinées, la disponibilité des fonds au titre des engagements avait été certifiée par une personne dûment autorisée, avant l’engagement des dépenses à la valeur prévue. On a relevé les exceptions suivantes :
Veuillez voir la recommandation 7 |
Non respecté |
iii) La vérification des comptes est assurée par une personne dûment autorisée et est effectuée en temps opportun afin de vérifier l’exactitude des demandes de paiement (article 34 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Dans le cas de 38 des 40 transactions applicables, la vérification des comptes avait été exécutée par une personne dûment autorisée, effectuée en temps opportun, et l’exactitude des demandes de paiement avait été vérifiée. On a relevé les exceptions suivantes :
Veuillez voir la recommandation 8 |
Respecté en partie |
iv) Le paiement et le règlement sont effectués par une personne dûment autorisée, pour le montant exact et sont versés au bon fournisseur en temps opportun (article 33 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Ce critère n’a pas été évalué puisqu’il a été effectué par le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF). |
Sans objet |
v) Les cartes doivent servir exclusivement aux achats de biens et services autorisés dans le cadre des activités gouvernementales et aux frais d’accueil préalablement approuvés. |
Dans le cas de 38 des 40 transactions applicables examinées, les cartes servaient exclusivement aux achats de biens et services autorisés dans le cadre des activités gouvernementales et aux frais d’accueil préalablement approuvés. L’exception suivante a été relevée :
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Respecté en partie |
Recommandation 2. L’ACFC devrait veiller à ce que les documents pertinents concernant les cartes d’achat soient conservés au dossier, permettant ainsi, d’une part, de justifier l’émission, l’approbation et la modification de ces cartes ainsi que la reconnaissance des responsabilités par le détenteur de la carte d’achat et, d’autre part, de prouver que les achats effectués au moyen de ces cartes sont des dépenses engagées dans le cadre d’activités gouvernementales. |
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Conformité globale : Critère respecté en partie |
Un total de 37 dossiers d’approvisionnement a été examiné. Parmi ceux-ci, huit étaient non concurrentiels, trois étaient concurrentiels, 20 dossiers d’approvisionnement se rapportaient à l’utilisation des offres à commandes, des arrangements en matière d’approvisionnement de Services publics et Approvisionnement Canada ou ont été attribués à Services partagés Canada et six dossiers étaient sans contrat payé par une carte d’achat. |
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Critères |
Constatations |
Conformité |
---|---|---|
i) Stratégie d’acquisition non concurrentielle (le mode d’approvisionnement englobe le marché à fournisseur unique) La documentation figurant au dossier justifie le recours à des marchés non concurrentiels conformément à l’article 6 du Règlement sur les marchés de l’État. |
Dans le cas de 1 des 8 dossiers de contrats non concurrentiels examinés, le dossier comportait des documents à l’appui de la justification de l’approvisionnement non concurrentiel conformément à la section 6 du Règlement sur les marchés de l’État. Certains dossiers avaient de multiples problèmes de conformité :
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Non respecté |
ii) Stratégie d’acquisition (les modes d’approvisionnement englobent les marchés, les offres à commande et les arrangements en matière d’approvisionnement). Des procédures d’appel d’offres appropriées sont employées dans les bonnes circonstances. |
Dans le cas de 28 des 37 dossiers de passation de marchés examinés, le processus d’appel d’offres approprié pour les soumissions avait été employé dans les bonnes circonstances. L’exception suivante a été relevée :
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Non respecté |
iii) Stratégie d’acquisition concurrentielle (les modes d’approvisionnement englobent les marchés, les offres à commande et les arrangements en matière d’approvisionnement). Les critères d’évaluation des soumissions sont communiqués dans les documents de la demande de propositions et servent à sélectionner les entrepreneurs selon une approche ouverte, équitable et transparente. |
Dans le cas de 2 des 3 dossiers de passation de marchés concurrentiels applicables examinés, les critères d’évaluation des soumissions avaient été fournis dans les demandes de propositions (DDP), et avaient permis de sélectionner l’entrepreneur de manière ouverte, juste et transparente. L’exception suivante a été relevée :
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Non respecté |
iv) Engagement des dépenses : La disponibilité des fonds au titre des engagements est certifiée par une personne dûment autorisée, et ce, avant l’engagement des dépenses d’après la valeur prévue (article 32 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Dans le cas de 31 des 35 dossiers de passation de marchés applicables examinés, la disponibilité des fonds au titre des engagements avait été certifiée par une personne dûment autorisée, avant l’engagement des dépenses, et ce, à la valeur prévue. On a relevé les exceptions suivantes :
Veuillez voir la recommandation 7 |
Respecté en partie |
v) Gestion des marchés : Les marchés et les modifications aux marchés sont approuvés avant la réception des biens ou des services et l’expiration du marché d’origine, et des pièces justificatives sont conservées dans les dossiers. |
Dans le cas de 23 des 31 dossiers de passation de marchés applicables examinés, le marché et les modifications faisaient l’objet d’une approbation avant la réception de biens ou de services, ou encore avant l’expiration du marché initial. De plus, des documents à l’appui avaient été conservés dans le dossier. Certains dossiers avaient de multiples problèmes de conformité :
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Non respecté |
vi) La vérification des comptes est exécutée par une personne dûment autorisée, est effectuée en temps opportun et vérifie l’exactitude des demandes de paiement (article 34 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Dans le cas de 29 des 36 dossiers de passation de marchés applicables examinés, la vérification des comptes avait été exécutée par une personne dûment autorisée, appuyée par une preuve d’exécution et effectuée en temps opportun. Certains dossiers avaient de multiples problèmes de conformité :
Veuillez voir la recommandation 8 Veuillez noter que, selon l’audit, deux transactions ont été approuvées par une personne qui avait assumé des tâches incompatibles. Pour les modifications à la passation de marchés et aux marchés, il a été noté deux cas dans lesquels la personne dûment autorisée à passer des marchés avait effectué la vérification de comptes, ce qui a entraîné un manque de séparation des tâches selon la Directive sur la délégation des pouvoirs financiers pour les dépenses. L’ACFC a déclaré qu’en raison de la taille de l’organisation et de la limite des rôles et des responsabilités, l’Agence avait une responsabilité de disponibilité pour le gestionnaire des Services administratifs en cas d’urgence afin de s’assurer de la continuité des activités. L’ACFC a également surveillé tous les ans ces conflits associés à la séparation des tâches et a préparé des déclarations annuelles. Il n’y a aucune incidence sur la conformité; toutefois, une recommandation a été incluse afin de régler le conflit de tâches. |
Non respecté |
vii) Le paiement et le règlement sont effectués par une personne dûment autorisée, pour le montant exact et sont versés au bon fournisseur en temps opportun (article 33 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Ce critère n’a pas été évalué puisqu’il a été effectué par le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF). |
Sans objet |
viii) Divulgation proactive : Les marchés dont la valeur est supérieure à 10 000 $ font l’objet d’une divulgation publique. |
Dans le cas de 17 des 19 dossiers de passation de marchés applicables examinés, les marchés (y compris les modifications) dont la valeur était supérieure à 10 000 $ avaient fait l’objet d’une divulgation publique. On a relevé les exceptions suivantes :
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Respecté en partie |
ix) Créditeurs à la fin de l’exercice (CAFE) : Un CAFE a dûment été mis en place et la transaction a été identifiée à cet effet. |
Les CAFE n’ont pas été évalués parce que l’audit ne couvrait que la période du 1er avril au 31 décembre 2016. |
Sans objet |
Recommandation 3. L’ACFC devrait veiller à ce que les processus opérationnels de passation de marchés soient améliorés et soient toujours exécutés conformément à la Politique sur les marchés du Conseil du Trésor, et que les documents pertinents à cet égard soient conservés au dossier afin de confirmer que :
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Conformité globale : Non respecté |
Critères |
Constatations |
Conformité |
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i) La gestion des frais de déplacement en service commandé respecte des pratiques équitables, raisonnables et modernes. |
Dans le cas de 20 des 29 transactions examinées, la gestion des frais de déplacement en service commandé respectait des pratiques équitables, raisonnables et modernes. On a relevé les exceptions suivantes :
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Non respecté |
ii) La disponibilité des fonds au titre des engagements est certifiée par une personne dûment autorisée, et ce, avant l’engagement des dépenses d’après la valeur prévue (article 32 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Dans le cas de toutes les 29 transactions applicables examinées, la disponibilité des fonds au titre des engagements avait été certifiée par une personne dûment autorisée, avant l’engagement des dépenses à la valeur prévue. |
Respecté |
iii) La vérification des comptes est assurée par une personne dûment autorisée et est effectuée en temps opportun afin de vérifier l’exactitude des demandes de paiement (article 34 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Dans le cas de toutes les 30 transactions examinées, la vérification des comptes avait été exécutée par une personne dûment autorisée, effectuée en temps opportun, et l’exactitude des demandes de paiement avait été vérifiée. |
Respecté |
iv) Le paiement et le règlement sont effectués par une personne dûment autorisée, pour le montant exact et sont versés au bon fournisseur en temps opportun (article 33 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Ce critère n’a pas été évalué puisqu’il a été effectué par le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF). |
Sans objet |
v) Tous les frais de déplacement des hauts fonctionnaires fédéraux désignés font l’objet d’une divulgation proactive. |
Dans le cas de toutes les 10 transactions applicables examinées, les frais de voyage des hauts fonctionnaires fédéraux désignés avaient été consignés de manière adéquate et ils avaient fait l’objet d’une divulgation proactive. |
Respecté |
vi) Le montant total des dépenses annuelles de voyages pour le ministère est divulgué sur son site Web, y compris une brève explication des principaux écarts par rapport aux dépenses réelles de l’exercice précédent. |
Le montant total des frais de voyages annuels pour le ministère avait été divulgué sur son site Web, y compris une brève explication des principaux écarts relativement aux dépenses réelles de l’exercice précédent. |
Respecté |
vii) Le recours aux chèques de voyage et aux avances se fait lorsque les circonstances le justifient. |
Aucune des transactions sélectionnées ne comportait de chèque ou d’avance de voyage. |
Sans objet |
Recommandation 4. L’ACFC devrait veiller à ce que les processus opérationnels de traitement des voyages soient améliorés et soient toujours exécutés conformément à la Directive sur les voyages du Conseil national mixte, et que les documents pertinents à cet égard soient conservés au dossier afin de confirmer que :
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Conformité globale : Critère respecté en partie |
Critères |
Constatations |
Conformité |
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i) Les événements d’accueil sont planifiés et exécutés dans un souci d’économie et d’efficacité dans le but de favoriser les activités de l’État en tenant compte des circonstances entourant chaque activité. |
Dans le cas de 2 des 9 transactions examinées, les événements d’accueil avaient été planifiés et exécutés dans un souci d’économie et d’efficacité afin de faciliter les activités de l’État en tenant compte des circonstances entourant chaque activité. On a relevé les exceptions suivantes :
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Non respecté |
ii) La disponibilité des fonds au titre des engagements est certifiée par une personne dûment autorisée, et ce, avant l’engagement des dépenses d’après la valeur prévue (article 32 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Dans le cas de 4 des 9 transactions applicables examinées, la disponibilité des fonds au titre des engagements avait été certifiée par une personne dûment autorisée, avant l’engagement des dépenses à la valeur prévue. Certaines transactions ont eu plusieurs problèmes de conformité :
Veuillez voir la recommandation 7 |
Non respecté |
iii) La vérification des comptes est assurée par une personne dûment autorisée et est effectuée en temps opportun afin de vérifier l’exactitude des demandes de paiement (article 34 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Dans le cas de 4 des 9 transactions applicables examinées, la vérification des comptes avait été exécutée par une personne dûment autorisée, effectuée en temps opportun, et l’exactitude des demandes de paiement avait été vérifiée. On a relevé les exceptions suivantes :
Veuillez voir la recommandation 8 |
Non respecté |
iv) Le paiement et le règlement sont effectués par une personne dûment autorisée, pour le montant exact et sont versés au bon fournisseur en temps opportun (article 33 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Ce critère n’a pas été évalué puisqu’il a été effectué par le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF). |
Sans objet |
v) Les frais d’accueil des hauts fonctionnaires fédéraux désignés sont adéquatement consignés et font l’objet d’une divulgation proactive. |
Dans le cas de 3 des 6 transactions applicables examinées, les frais d’accueil des hauts fonctionnaires fédéraux désignés avaient été consignés de manière adéquate et avaient fait l’objet d’une divulgation proactive. L’exception suivante a été relevée :
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Non respecté |
vi) Le montant total des dépenses annuelles d’accueil pour le ministère est divulgué sur son site Web, y compris une brève explication des principaux écarts par rapport aux dépenses réelles de l’exercice précédent. |
Le montant total des frais d’accueil annuels pour le ministère avait été divulgué sur son site Web, y compris une brève explication des principaux écarts relativement aux dépenses réelles de l’exercice précédent. |
Respecté |
Recommandation 5. L’ACFC devrait veiller à ce que les processus opérationnels de traitement des dépenses d’accueil soient améliorés et soient toujours exécutés conformément à la Directive sur les dépenses de voyages, d’accueil, de conférences et d’événements, et que les documents pertinents à cet égard soient conservés au dossier afin de confirmer que :
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Conformité globale : Non respecté |
Critères |
Constatations |
Conformité |
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Employés occasionnels |
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i) Employés occasionnels (non-EX) Les principales modalités applicables aux employés occasionnels sont administrées correctement. |
Dans le cas des trois dossiers d’employés occasionnels examinés, les principales modalités applicables aux employés occasionnels avaient été administrées correctement. |
Respecté |
ii) Les contrôles de sécurité des employés sont gérés correctement et assujettis aux délégations appropriées. |
Dans le cas de tous les dossiers d’employé occasionnel examinés, les enquêtes de sécurité des employés avaient été gérées de manière adéquate et avaient été assujetties aux délégations appropriées. |
Respecté |
Rémunération au rendement |
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Rémunération au rendement iii) La rémunération au rendement est gérée correctement et approuvée par une personne dûment autorisée. |
Sans objet. L’ACFC est un employeur distinct et n’est pas assujetti aux directives pertinentes du Conseil du Trésor. |
Sans objet |
Tous les dossiers d’administration de la paye |
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iv) Engagement des dépenses : La disponibilité des fonds au titre des engagements est certifiée par une personne dûment autorisée, et ce, avant l’engagement des dépenses d’après la valeur prévue (article 32 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Dans le cas de 15 des 18 transactions applicables examinées, la disponibilité des fonds au titre des engagements avait été attestée par une personne dûment autorisée, avant l’engagement des dépenses à la valeur prévue. Les engagements ont été enregistrés à la valeur prévue au début de l’exercice. On a relevé les exceptions suivantes :
Veuillez voir la recommandation 7 |
Respecté en partie |
v) La vérification des comptes est assurée par une personne dûment autorisée et est effectuée en temps opportun afin de vérifier l’exactitude des demandes de paiement (article 34 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Dans le cas de 17 des 19 transactions applicables examinées, la vérification des comptes avait été effectuée par une personne dûment autorisée en temps opportun, et l’exactitude des demandes de paiement avait été vérifiée. L’exception suivante a été relevée :
Veuillez voir la recommandation 8 |
Respecté en partie |
vi) Le paiement et le règlement sont effectués par une personne dûment autorisée, pour le montant exact et sont versés au bon fournisseur en temps opportun (article 33 de la Loi sur la gestion des finances publiques). |
Dans le cas des 24 transactions applicables examinées, le paiement et le règlement avaient été effectués au montant exact et avaient été versés au bon fournisseur. Notez que les sous-critères se rapportant à une personne détenant un pouvoir délégué et à la rapidité d’exécution n’ont pas été évalués, car les responsabilités prévues à l’article 33 sont assumées par la Commission canadienne des droits de la personne (CCDP). |
Respecté |
vii) Les responsabilités dans l’administration de la paye, telles que l’assurance que la garde et la distribution des chèques et dépôts directs sont définies de manière à assurer une séparation adéquate des tâches. |
Une séparation adéquate des tâches existe dans les rôles liés à l’administration de la paye. |
Respecté |
viii) Les formalités de départ établies par le ministère sont respectées. |
Dans le cas de deux transactions applicables examinées, les procédures de départ pour le ministère n’ont pas été suivies, car aucun formulaire de départ signé par toutes les parties concernées avant le départ de l’organisation ne figurait pas au dossier. |
Non respecté |
Recommandation 6. L’ACFC doit veiller à ce que les formulaires de départ soient dûment remplis par les personnes détenant les pouvoirs nécessaires et conservés au dossier. |
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Conformité globale : Critère respecté en partie |
Critères |
Constatations |
Conformité |
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i) Les mécanismes ministériels en place assurent l’utilisation adéquate des comptes débiteurs. |
Des mécanismes ministériels existent pour veiller à l’utilisation appropriée des comptes clients. Des mécanismes de mesure axés sur les résultats n’ont pas été instaurés et surveillés. Des rapports périodiques sur les activités financières et non financières du portefeuille, y compris les rapports vieillissants sur les comptes clients, ont été préparés et ont été distribués à la direction. La séparation des tâches relatives au recouvrement des fonds, aux radiations, à la tenue des registres comptables, ainsi qu’à la manipulation et au rapprochement de l’argent est appropriée. |
Respecté |
ii) Le ministère conclut une entente avec chaque débiteur afin de déterminer les types de produits et de services qui peuvent être offerts à crédit, cherche à obtenir des garanties pour les créances exigibles et informe le débiteur de ses obligations en vertu des lois et règlements applicables. |
Les débiteurs ont été avisés de leurs obligations prévues dans les lois et les règlements applicables. Des procédures consignées fournissent des détails sur la façon dont les premières transactions de comptes client ainsi que les paiements en espèces subséquents et les règlements finaux, pour tous les types de recettes doivent être consignés dans le système financier. Les procédures exposant en détail le calcul et la notification des intérêts sur les comptes en souffrance pour tous les types de recettes sont consignées. Les procédures pour la perception des pénalités monétaires administratives sont aussi consignées. |
Respecté |
iii) Les opérations des comptes débiteurs sont enregistrées avec exactitude et sont accompagnées des pistes complètes d’audit. |
Dans le cas de 46 des 47 transactions examinées, les comptes clients ont été enregistrés avec exactitudes et étaient accompagnés d’une piste d’audit complète. L’exception suivante a été relevée :
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Respecté |
Recommandation : Aucune |
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Conformité globale : Respecté |
Critères |
Constatations |
Conformité |
---|---|---|
i) La disponibilité des fonds au titre des engagements est certifiée par une personne dûment autorisée, et ce, avant l’engagement des dépenses d’après la valeur prévue. |
Dans le cas de 102 des 120 transactions examinées, la disponibilité des fonds au titre des engagements était certifiée par une personne dûment autorisée, et ce, avant l’engagement des dépenses d’après la valeur prévue. Les résultats de ces constatations représentent un résumé des résultats des constatations de l’engagement des dépenses obtenus en vertu des documents suivants :
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Respecté en partie |
Recommandation 7. L’ACFC doit veiller à ce que l’engagement des dépenses (approbation préalable et engagement) soit documenté convenablement et effectué par une personne ayant le pouvoir délégué approprié avant que les dépenses ne soient engagées, plus particulièrement en ce qui concerne les achats effectués au moyen d’une carte d’achat, les dépenses d’accueil, les mesures de passation de marchés et d’administration de la paye. |
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Conformité globale : Critère respecté en partie |
Critères |
Constatations |
Conformité |
---|---|---|
i) La vérification des comptes est assurée par une personne dûment autorisée et est effectuée en temps opportun afin de vérifier l’exactitude des demandes de paiement. |
Dans le cas de 118 des 134 transactions examinées, la vérification des comptes avait été assurée par une personne dûment autorisée, effectuée en temps opportun, et l’exactitude des demandes de paiement avait été vérifiée. Les résultats de ces constatations représentent un résumé des résultats des constatations de vérifications de comptes obtenus en vertu des documents suivants :
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Respecté en partie |
ii) Le paiement et le règlement sont effectués par une personne dûment autorisée, pour le montant exact et sont versés au bon fournisseur en temps opportun. |
Dans le cas des 24 transactions examinées, le paiement et le règlement avaient été effectués par une personne dûment autorisée, au montant exact, et le paiement avait été versé au bon fournisseur en temps opportun. Les résultats de ces constatations représentent un résumé des résultats des constatations de paiement et de règlement obtenus en vertu des documents suivants :
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Respecté |
Recommandation 8. L’ACFC doit veiller à ce que la vérification des comptes soit effectuée en temps opportun par la personne dûment autorisée, et qu’elle soit justifiée par une documentation complète (preuve d’exécution et du montant des frais), plus particulièrement en ce qui concerne les achats effectués au moyen d’une carte d’achat, les dépenses d’accueil, les mesures de passation de marchés et d’administration de la paye. |
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Conformité globale : Critère respecté en partie |
Annexe 1 : Politiques et directives examinées
Politiques et directives examinées
Directive sur la délégation des pouvoirs financiers pour les dépenses (examinée)
Politique sur la gouvernance en matière de gestion financière (examinée)
Directive sur les prêts et les garanties d’emprunts
Directive sur les pertes de fonds et de biens
Directive sur les demandes de paiement et le contrôle des chèques
Directive sur les comptes bancaires ministériels
Directive sur l’engagement des dépenses et le contrôle des engagementsNote de bas de page 2 (examinée)
Directive sur la gestion des comptes débiteurs (examinée)
Directive sur les comptes à fins déterminées
Directive sur la vérification des comptesNote de bas de page 3 (examinée)
Directive sur la gestion du parc automobile : Véhicules légers
Directive sur les cartes d’achat (examinée)
Directive sur les avances comptables
Directive sur l’enregistrement des créditeurs en fin d’exercice
Politique sur les marchés (examinée)
Directive sur les voyages du Conseil national mixte (examinée)
Directive sur les dépenses de voyages, d’accueil, de conférences et d’événements
Administration de la rémunération au rendementNote de bas de page 4
Directive sur les congés et les modalités de travail spéciales
Directive sur la gestion financière de l’administration de la paye (examinée)
Politique sur les paiements de transfert
Directive sur les paiements de transfert
Politique sur l’emploi pour une période déterminée (employés occasionnels)
Directive sur les conditions d’emploi (employés occasionnels)
Annexe 2 : Classement des recommandations en fonction du risque
Le tableau qui suit présente les recommandations ainsi que le niveau de priorité qui leur est attribuée. Le classement a été déterminé en fonction de l’importance relative des recommandations et de leur potentiel d’incitation à un changement à long terme et de réduction des risques au sein de l’Agence de la consommation en matière financière du Canada.
Recommandations |
Priorité |
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1. L’Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) devrait veiller à ce que les processus opérationnels de délégation soient améliorés et qu’ils soient toujours exécutés conformément à la Directive sur la délégation des pouvoirs financiers pour les dépenses du Conseil du Trésor. L’ACFC devrait aussi veiller à ce que les documents pertinents à cet égard soient conservés au dossier afin de confirmer que :
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Élevée |
2. L’ACFC devrait veiller à ce que les documents pertinents concernant les cartes d’achat soient conservés au dossier, permettant ainsi, d’une part, de justifier l’émission, l’approbation et la modification de ces cartes ainsi que la reconnaissance des responsabilités par le détenteur de la carte d’achat et, d’autre part, de prouver que les achats effectués au moyen de ces cartes sont des dépenses engagées dans le cadre d’activités gouvernementales. |
Moyenne |
3. L’ACFC devrait veiller à ce que les processus opérationnels de passation de marchés soient améliorés et soient toujours exécutés conformément à la Politique sur les marchés du Conseil du Trésor, et que les documents pertinents à cet égard soient conservés au dossier afin de confirmer que :
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Élevée |
4. L’ACFC devrait veiller à ce que les processus opérationnels de traitement des voyages soient améliorés et soient toujours exécutés conformément à la Directive sur les voyages du Conseil national mixte, et que les documents pertinents à cet égard soient conservés au dossier afin de confirmer que :
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Moyenne |
5. L’ACFC devrait veiller à ce que les processus opérationnels de traitement des dépenses d’accueil soient améliorés et soient toujours exécutés conformément à la Directive sur les dépenses de voyages, d’accueil, de conférences et d’événements, et que les documents pertinents à cet égard soient conservés au dossier afin de confirmer que :
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Élevée |
6. L’ACFC doit veiller à ce que les formulaires de départ soient dûment remplis par les personnes détenant les pouvoirs nécessaires et conservés au dossier. |
Faible |
7. L’ACFC doit veiller à ce que l’engagement des dépenses (approbation préalable et engagement) soit documenté convenablement et effectué par une personne ayant le pouvoir délégué approprié avant que les dépenses ne soient engagées, plus particulièrement en ce qui concerne les achats effectués au moyen d’une carte d’achat, les dépenses d’accueil, les mesures de passation de marchés et d’administration de la paye. |
Moyenne |
8. L’ACFC doit veiller à ce que la vérification des comptes soit effectuée en temps opportun par la personne dûment autorisée, et qu’elle soit justifiée par une documentation complète (preuve d’exécution et du montant des frais), plus particulièrement en ce qui concerne les achats effectués au moyen d’une carte d’achat, les dépenses d’accueil, les mesures de passation de marchés et d’administration de la paye. |
Moyenne |
Annexe 3 : Liens vers les lois, les politiques et les directives applicables
Lois, politiques et directives applicables – Hyperliens (liens à jour en date du 12 janvier 2016)
- Loi sur la gestion des finances publiques
- Politique sur le contrôle interne
- Directive sur la délégation des pouvoirs financiers pour les dépenses
- Politique en matière d’apprentissage, de formation et de perfectionnement
- Politique sur la gouvernance en matière de gestion financière
- Directive sur les prêts et les garanties d’emprunts
- Directive sur les pertes de fonds et de biens
- Directive sur les demandes de paiement et le contrôle des chèques
- Directive sur les comptes bancaires ministériels
- Directive sur l’engagement des dépenses et le contrôle des engagements
- Directive sur les comptes à fins déterminées
- Directive sur la vérification des comptes
- Directive sur la gestion du parc automobile : Véhicules légers
- Directive sur les cartes d’achat
- Directive sur les avances comptables
- Règlement sur les avances comptables
- Directive sur l’enregistrement des créditeurs en fin d’exercice
- Politique sur les marchés
- Règlement sur les marchés de l’État
- Plan de gestion des événements de cybersécurité
- Lignes directrices sur la divulgation proactive des marchés
- Directive sur les voyages du Conseil national mixte
- Autorisations spéciales de voyager
- Document d’orientation : Divulgation proactive des frais de voyage et d’accueil (non disponible sur le domaine public)
- Directive sur les cartes de voyage et les chèques de voyage
- Directive sur les dépenses de voyages, d’accueil, de conférences et d’événements
- Politique de gestion des cadres supérieurs
- Directive sur la rémunération des cadres supérieurs
- Politique sur l’administration de la rémunération au rendement de certains niveaux supérieurs exclus non compris dans la catégorie de la gestion
- Directive sur le Programme de gestion du rendement (PGR) pour les cadres supérieurs
- Directive sur les conditions d’emploi de certains employés exclus/ou non représentés
- Directive sur les congés et les modalités de travail spéciales
- Directive sur la gestion financière de l’administration de la paye
- Loi sur l’emploi dans la fonction publique
- Convention collective pour les services des programmes et de l’administration
- Politique sur les paiements de transfert
- Directive sur les paiements de transfert
- Politique sur l’emploi pour une période déterminée
- Directive sur les conditions d’emploi
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