Mise à jour POLAIRE numéro 11, printemps 2019

Mise à jour POLAIRE, printemps 2019

Processus de financement concurrentiel POLAIRE

En février 2019, Savoir polaire Canada (POLAIRE) a lancé un appel de demandes de financement pour son processus de financement concurrentiel 2020-2023 à l'appui de ses programmes de sciences et technologies du Nord et d'application des connaissances polaires. La date limite est le 30 avril 2019 pour présenter une demande de financement à l'appui des thèmes clés des deux programmes. Cliquez ici pour plus d'informations ou pour postuler.

POLAIRE offre des visites guidées du campus de la SCREA

En février, POLAIRE a commencé à offrir des visites guidées du campus de la SCREA pour présenter aux visiteurs les aires publiques du bâtiment de recherche principal et mettre en valeur les magnifiques œuvres d'art inuites. Depuis février 2018, il y a eu plus de 75 visites de groupe et individuelles, et plus de 800 personnes ont ainsi visité le campus de la SCREA. Si vous êtes à Cambridge Bay et aimeriez voir l'intérieur de cette installation remarquable, les visites ont lieu tous les mercredis entre 14 h et 16 h. Les visites à l'improviste sont les bienvenues, mais les groupes sont priés de réserver à l'avance à tours@polar-polaire.gc.ca. Si vous n'êtes pas à Cambridge Bay, vous pouvez faire une visite virtuelle du bâtiment principal de recherche du campus de la SCREA sur le site Web de POLAIRE.

POLAIRE accueille l'événement Women in Northern Science

POLAIRE a été l'hôte d'une table ronde et d'une activité de réseautage célébrant les contributions des femmes à la science nordique, lors de la réunion scientifique annuelle d'ArcticNet de 2018 à Ottawa en décembre dernier. L'événement a débuté par une allocution de l'honorable Carolyn Bennett, ministre des Relations Couronne-Autochtones, suivie de discussions sur les progrès en matière d'équité et d'inclusion dans les sciences nordiques et d'exploration de solutions aux obstacles auxquels font face les communautés marginalisées. Les panélistes comprenaient Madeleine Redfern, mairesse d'Iqaluit, Dr Donna Kirkwood, scientifique en chef à Ressources naturelles Canada, Andrew Dunford, directeur du Secrétariat du changement climatique du gouvernement du Nunavut, et les professeurs de géographie Dr Jackie Dawson (université d'Ottawa) et Dr Melissa Lafrenière (université Queen's).

Tournée de sensibilisation communautaire à Pilimmaksaivik

En janvier, POLAIRE s'est joint à d'autres ministères fédéraux, à des organisations autochtones et au gouvernement du Nunavut dans le cadre de la Tournée de sensibilisation communautaire et du Salon de l'emploi itinérant de Pilimmaksaivik. Pilimmaksaivik est le centre d'excellence du gouvernement fédéral pour l'emploi des Inuits au Nunavut. La tournée comprenait des visites dans les collectivités de Qikiqtarjuaq, de Clyde River, de Pond Inlet et d'Arctic Bay, dans l'est du Nunavut, afin de promouvoir l'emploi et l'éducation. Le personnel de POLAIRE s'est entretenu avec de jeunes Inuits et d'autres membres de la collectivité afin de les sensibiliser aux carrières possibles et aux possibilités d'éducation liées aux sciences, à la technologie, au génie et aux mathématiques. POLAIRE a également fait la promotion de ses activités de recrutement d'étudiants et de ses activités scientifiques au salon de l'emploi Pilimmaksaivik, qui a eu lieu en mars à Iqaluit.

Un nouveau modèle numérique de topographie de l'Arctique stimule la recherche sur l'écosystème POLAIRE

Un nouveau modèle altimétrique numérique aide les chercheurs de POLAIRE à comprendre les écosystèmes près de Cambridge Bay, dans la région du Nunavut. À l'aide des données du Polar Geospatial Center de l'Université du Minnesota, le personnel de POLAIRE a travaillé avec des partenaires d'Environnement et Changement climatique Canada et de l'Agence spatiale canadienne pour produire un modèle altimétrique numérique du bassin hydrographique du lac Greiner. Le modèle est basé sur des données satellitaires optiques haute résolution de Worldview et, avec une précision verticale de près de 50 cm, il est beaucoup plus précis que les modèles précédents pour le bassin versant. Il aidera les chercheurs de POLAIRE à modéliser et à cartographier les écosystèmes de la toundra, à déterminer les limites du bassin hydrographique et à comprendre comment les cours d'eau et les lacs sont reliés - une information essentielle pour comprendre le fonctionnement des écosystèmes arctiques et prévoir comment ils pourraient changer à l'avenir. Grâce à ses partenariats avec l'Agence spatiale canadienne, la NASA, la British Antarctic Survey et des universités américaines, POLAIRE sera en mesure d'ajouter plus de détails à ce modèle au cours des prochaines années.

Il s'agira notamment d'accroître la précision de l'élévation grâce à des données provenant d'un levé aérien utilisant la technologie LIDAR, qui utilise un radar aéroporté pour fournir des mesures d'élévation très précises.

New digital model of arctic topography boosts POLAR’s ecosystem research

POLAIRE accueille l'atelier du groupe de travail du Conseil de l'Arctique sur la protection du milieu marin de l’Arctique sur le campus de la SCREA

En mars, le groupe de travail du Conseil de l'Arctique sur la protection du milieu marin de l'Arctique (PMMA) (en anglais) a tenu un atelier sur le campus de la Station canadienne de recherche dans l’Extrême-Arctique (SCREA) à Cambridge Bay, au Nunavut. L'un des six groupes de travail du Conseil de l'Arctique, la PMMA offre un forum de collaboration en matière de protection et d'utilisation durable du milieu marin arctique. L'atelier du campus de la SCREA, présidé par Pêches et Océans Canada, a réuni des représentants autochtones et communautaires et des experts en aires marines protégées, afin de déterminer comment les peuples autochtones et les collectivités locales peuvent participer, à titre de contributeurs égaux, au processus d'identification, de planification et de gestion des aires marines protégées dans l'Arctique. Les discussions ont souligné l'importance de prendre le temps d'établir des relations entre les chercheurs, les organisations autochtones et les communautés.

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