Le programme canadien de surveillance des infections nosocomiales (PCSIN) : Rapport sommaire sur les données de surveillance des infections associées aux soins de santé (IASS), la résistance aux antimicrobiens (RAM) et l’utilisation des antimicrobiens (UAM) du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2017
Organisation: Agence de la santé publique du Canada
Publiée : mai 2019
Cat. : HP37-30F-PDF
ISBN : 2562-5659
Pub. : 190007
Table des matières
- Introduction
- Méthodes
- Faits saillants
- Résultats
- Infection à Clostridioides difficile (ICD)
- Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM)
- Entérocoques résistants à la vancomycine (ERV)
- Entérobactéries productrices de carbapénémases (EPC) et Acinetobacter producteur de carbapénémases (APC)
- Antibiogramme sur la bactérie Escherichia coli (E. coli)
- Utilisation des antimicrobiens (UAM)
- Annexe A : Hôpitaux participant au Programme canadien de surveillance des infections nosocomiales, en date de décembre 2017
- Annexe B : Résumé des hôpitaux participant au PCSIN, 2017
- Annexe C : Définitions de cas et critères d’inclusion utilisés pour la surveillance de 2017
- Annexe D : Antibiotiques inclus dans les catégories de classe d’antibiotiques
Introduction
Le présent rapport, intitulé Programme canadien de surveillance des infections nosocomiales (PCSIN) : Rapport sommaire des données de surveillance des infections associées aux soins de santé (IASS), la résistance aux antimicrobiens (RAM) et l’utilisation des antimicrobiens (UAM) du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2017, a été créé par le Centre de la lutte contre les maladies transmissibles et les infections (CLMTI) de l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC). Le rapport fournit un examen des données accessibles sur les IASS, RAM et UAM au sein du milieu canadien des soins de santé.
L’ASPC recueille des données nationales sur diverses infections associées aux soins de santé et sur l’UAM par l’intermédiaire du programme canadien de surveillance des infections nosocomiales (PCSIN), d’un effort de collaboration du CLMTI, du Laboratoire national de microbiologie (LNM) et d’hôpitaux sentinelles canadiens membres du Comité canadien d’épidémiologistes hospitaliers (CCEH), un sous-comité de l’Association pour la microbiologie médicale et l’infectiologie (AMMI) Canada. Nous sommes reconnaissants de leur contribution continue à la surveillance des IASS à l’échelle nationale.
Le CLMTI coordonne la collecte des données, en plus d’être responsable de la gestion des données, de l’analyse et de la production de rapports associés au présent rapport sommaire. Le CLMTI est favorable à l’utilisation de ces données pour éclairer la santé publique et les actions politiques.
La surveillance du PCSIN permet d’obtenir des renseignements fondamentaux qui serviront à établir des programmes et des politiques fédéraux, provinciaux, territoriaux et locaux de prévention et de contrôle des infections et de gestion des antimicrobiens. Lorsqu’elle est effectuée de façon uniforme, la surveillance permet de mesurer le fardeau de la maladie, d’établir des points de référence en vue d’une comparaison interne et externe, de cerner les facteurs de risque potentiels et d’évaluer des interventions précises. La surveillance des IASS est considérée comme étant un élément important de la qualité des soins dispensés aux patients.
Méthodes
Ce rapport fournit le nombre de cas et les taux basés sur les données recueillies du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2017. Tous les taux présentés dans ce rapport représentent les infections ou les colonisations décelées chez les patients admis (patients hospitalisés) dans les hôpitaux du PCSIN. Dans la mesure du possible, les taux sont fournis par région et incluent les régions de l'Ouest (Colombie-Britannique, Alberta, Saskatchewan et Manitoba), du Centre (Ontario et Québec) et de l'Est (Nouvelle-Écosse, Nouveau-Brunswick, Île-du-Prince-Édouard et Terre-Neuve-et-Labrador). Les territoires ne soumettent actuellement aucunes données à l'ASPC.
Les taux d'infection nationaux et régionaux sont fondés sur le nombre total de cas déclarés diviser par le nombre total d’hospitalisations (multiplié par 1 000) ou par le nombre total de jours-patients (multiplié par 10 000). La caractérisation moléculaire et les tests de résistance aux antimicrobiens sont effectués par le Laboratoire national de microbiologie (LNM) sur tous les isolats liés aux patients reçus pour ICD, SARM, ERV, EPC et APC pour lequel une sélection des résultats sont présentés dans ce rapport. Les définitions de cas et les critères d'admissibilité pour 2017 pour ces programmes de surveillance sont fournis à l'annexe C.
Le présent rapport remplace les données des rapports précédents du PCSIN. La version la plus récente du rapport doit être considérée comme étant la plus précise. Les données de surveillance sont dynamiques et les résultats peuvent changer à mesure que des données plus actualisées sont mises à disposition par les hôpitaux participants. Il convient de noter que pour l’ensemble des années, seuls les hôpitaux ayant soumis un numérateur et un dénominateur ont été pris en compte pour le calcul des taux.
Si vous avez des questions ou souhaitez obtenir de plus amples renseignements sur ces méthodes, taux, ou encore pour obtenir un exemplaire du rapport de surveillance le plus récent, veuillez contacter le PCSIN par courriel à l’adresse suivante : phac.cnisp-pcsin.aspc@canada.ca.
Faits saillants
Infection à Clostridioides difficile (ICD)
- De 2013 à 2017, les taux d’ICD associés aux soins de santé (ICD-SS)Note de bas de page 1 ont considérablement diminué de 25%.
- Environ un tiers des cas d'ICDsNote de bas de page2 de 2015 à 2017 étaient associés à la communauté.
- Le nombre de décès attribuable à l'ICD au cours de la période d'étude de deux mois variait chaque année de 12 (3,0 % en 2016) à 22 (4,3 % en 2014)Note de bas de page 3.
- Parmi les souches ICD associées aux soins de santé de 2013 à 2017, le NAP1 a diminué de manière significative par 44%, tandis que le NAP4 et le NAP11 continuent d'augmenter de 17,4 % à 21,6 % et de 6,4 % à 13,7 % respectivement. Une tendance similaire est observée de 2015 à 2017 parmi les souches de C. difficile associées à la communauté.
- Une proportion significativement plus grande de souches NAP1 sont identifiées parmi les isolats ICD-SS (50,6 %) par rapport aux isolats ICD-AC (9,9 %).
Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM)
- Il y a eu une augmentation graduelle mais significative des taux d'infection à SARM total (incluant les infections sanguines et non sanguines) depuis 2013. Cette augmentation des taux total est principalement due à l'augmentation des taux d'infections à SARM d'origine communautaire (SARM-AC). Les taux d’infection associés aux soins de santé (SAR-HA) ont continué à diminuer progressivement depuis 2013.
- Depuis 2015, le type de souche SARMC10 (la souche associée au SARM d'origine communautaire) est le type de souche prédominant identifié. Avant 2015, SARMC2 (la souche associée au SARM-AC) représentait la plus grande proportion des types de souche identifiés.
- Il y a eu une diminution significative de la mortalité toutes causes confondues chez les patients identifiés avec une bactériémie SARM de 26% en 2013 à 16 % en 2017.
- De 2013 à 2017, il y a eu une diminution significative de la résistance à la clindamycine (84 % à 42 %) parmi tous les isolats de SARM testés (sanguins et non sanguins).
Entérocoques résistants à la vancomycine (ERV)
- De 2015 à 2017, les taux de bactériémies à ERV ont augmenté de manière constante mais néanmoins significative (environ 28 % par an), la plus forte augmentation ayant été enregistrée dans la région du centre du Canada.
- De 2016 à 2017, on a observé une augmentation significative du nombre d'isolats de bactériémies ERV non-typable à l'aide de MLST (de 9,8 % à 62,1 %).
- Parmi les isolats liés aux bactériémies ERV, une augmentation significative de la résistance à la nitrofurantoïne (18,7 % à 44,8 %) et à la Gentamicine-niveau élevé (17,3 % à 38,8 %) a été identifiée de 2013 à 2017.
Entérobactéries productrices de carbapénémases (EPC) et Acinetobacter producteur de carbapénémases (APC)
- Les taux d'infection par les ECP ont restés stables de 2013 à 2017 (0,03 par 10 000 jours-patients). Cependant, les taux de colonisation par les EPC ont considérablement augmenté de 2014 (0,03 par 10 000 jours de patients) à 2017 (0,14 par 10 000 jours de patients), cette augmentation totale est principalement attribuée à une augmentation de nombre de cas de colonisation dans le centre du Canada.
- Les taux d’APC au Canada demeurent extrêmement bas, à l'exception d'une épidémie de 2013 attribuée à un hôpital de la région centrale.
- Parmi les EPC, le KPC et le NDM continue à être les carbapénémases prédominantes tandis que l'OXA-23 continue à être la carbapénémase prédominante d’APC.
Antibiogramme sur la bactérie E. coli
- En 2015, le PCSIN a lancé un projet pilote visant à évaluer la faisabilité de la collecte de données d'antibiogramme hospitalier pour Escherichia coli (E. coli). En 2016, une surveillance utilisant une collecte de données d'antibiogramme normalisée a été réalisée. Ces données sont présentées pour la première fois dans ce présent rapport et indiquent des changements minimes dans les profils de résistance à E. coli entre 2015 et 2016.
Utilisation des antimicrobiens (UAM)
- L'utilisation d'antimicrobiens chez les patients adultes hospitalisés dans les unités de soins intensifs est considérablement plus élevée que l'utilisation d'antimicrobiens dans les autres services hospitaliers; les doses journalières définies d'antibiotiques sont 2,5 à 3 fois plus élevées dans les unités de soins intensifs que dans les unités de soins non-intensifs.
- Parmi les patients adultes hospitalisés, les céphalosporines constituaient la classe d'antibiotiques la plus courante et représentaient environ le quart de toutes les doses quotidiennes définies.
Résultats
1. Infection à Clostridioides difficile (ICD)
1a. Infection à Clostridioides difficile aux soins de santé (ICD-SS)
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
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National | |||||
Nombre de cas d’ICD-SS | 3 160 | 2 870 | 2 895 | 2 814 | 2 721 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 3,99 | 3,43 | 3,30 | 3,13 | 2,99 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 5,19 | 4,39 | 4,28 | 4,05 | 3,85 |
Nombre d’hôpitaux répondants | 54 | 60 | 62 | 63 | 64 |
Ouest | |||||
Nombre de cas d’ICD-SS | 1 198 | 1 121 | 1 303 | 1 254 | 1 180 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 3,61 | 3,10 | 3,31 | 3,10 | 2,91 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 4,82 | 4,10 | 4,36 | 4,05 | 3,82 |
Centre | |||||
Nombre de cas d’ICD-SS | 1 732 | 1 506 | 1 3382 | 1 290 | 1 237 |
Nombre de cas d’ICD-SS | 4,56 | 3,89 | 3,39 | 3,22 | 3,00 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 6,07 | 5,13 | 4,56 | 4,35 | 3,97 |
Est | |||||
Nombre de cas d’ICD-SS | 230 | 243 | 254 | 270 | 304 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 2,86 | 2,75 | 2,89 | 2,90 | 3,27 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 3,07 | 2,81 | 3,03 | 3,07 | 3,57 |
Figure 1.1 - Équivalent du texte
Année | Région | Taux |
---|---|---|
2013 | Ouest | 4,82 |
2013 | Centre | 6,07 |
2013 | Est | 3,07 |
2013 | National | 5,19 |
2014 | Ouest | 4,10 |
2014 | Centre | 5,13 |
2014 | Est | 2,81 |
2014 | National | 4,39 |
2015 | Ouest | 4.36 |
2015 | Centre | 4,56 |
2015 | Est | 3,03 |
2015 | National | 4,28 |
2016 | Ouest | 4,05 |
2016 | Centre | 4,35 |
2016 | Est | 3,07 |
2016 | National | 4,05 |
2017 | Ouest | 3,82 |
2017 | Centre | 3,97 |
2017 | Est | 3,57 |
2017 | National | 3,85 |
Année | Nombre de décèsNote de bas de page 4 | Taux de mortalité (%) |
---|---|---|
2013 | 21 | 3,9 |
2014 | 22 | 4,3 |
2015 | 16 | 3,8 |
2016 | 12 | 3,0 |
2017 | 14 | 3,2 |
Type de souche | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | |
NAP4 | 90 (17,5) | 92 (19,1) | 103 (20,6) | 91 (20,1) | 107 (21,6) |
NAP1 | 152 (29,6) | 114 (23,6) | 115 (23,0) | 53 (11,8) | 83 (16,7) |
NAP11 | 33 (6,4) | 62 (12,9) | 50 (10,0) | 73 (16,2) | 68 (13,7) |
Autres types de la souche NAPNote de bas de page 6 | 91 (17,8) | 84 (17,4) | 94 (18,8) | 72 (16,0) | 88 (17,7) |
Autre, non déterminé | 147 (28,7) | 130 (27,0) | 138 (27,6) | 162 (35,9) | 150 (30,2) |
Total | 513 | 482 | 500 | 451 | 496 |
Antibiotiques | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | |
Clindamycine | 156 (30,5) | 209 (43,1) | 122 (24,4) | 99 (22,0) | 104 (21,0) |
Moxifloxacine | 166 (32,4) | 137 (28,2) | 138 (27,6) | 72 (16,0) | 89 (17,9) |
Rifampicine | 13 (2,5) | 5 (1,0) | 10 (2,0) | 7 (1,6) | 13 (2,6) |
Total des isolats analysés | 512 | 482 | 500 | 451 | 496 |
Remarque: Toutes les souches de C. difficile soumises au LNM de 2013 à 2017 étaient sensibles au métronidazole, à la tigécycline et à la vancomycine.
1b. Infection à Clostridioides difficile acquise dans la collectivité (ICD-AC)
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
National | |||||
Nombre des cas d'ICD-AC | N/A | N/A | 1 035 | 961 | 1 053 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | N/A | N/A | 1,56 | 1,39 | 1,49 |
Taux pour 10 000 jours-patients | N/A | N/A | 2,03 | 1,81 | 1,91 |
Nombre d'hôpitaux répondants | N/A | N/A | 49 | 51 | 53 |
Ouest | |||||
Nombre des cas d'ICD-AC | N/A | N/A | 254 | 243 | 287 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | N/A | N/A | 1,15 | 1,07 | 1,24 |
Taux pour 10 000 jours-patients | N/A | N/A | 1,55 | 1,44 | 1,65 |
Centre | |||||
Nombre des cas d'ICD-AC | N/A | N/A | 675 | 613 | 634 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | N/A | N/A | 1,91 | 1,64 | 1,65 |
Taux pour 10 000 jours-patients | N/A | N/A | 2,57 | 2,22 | 2,18 |
Est | |||||
Nombre des cas d'ICD-AC | N/A | N/A | 106 | 105 | 132 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | N/A | N/A | 1,20 | 1,15 | 1,45 |
Taux pour 10 000 jours-patients | N/A | N/A | 1,27 | 1,19 | 1,55 |
Type de souche | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | |
NAP4 | N/A | N/A | 49 (17,4) | 49 (19.,4) | 48 (22,7) |
NAP11 | N/A | N/A | 40 (14,2) | 28 (11,1) | 37 (17,5) |
NAP1 | N/A | N/A | 35 (12,4) | 25 (9,9) | 14 (6,6) |
Autres types de la souche NAPNote de bas de page6 | N/A | N/A | 50 (17,7) | 51 (20,2) | 32 (15,2) |
Autre, non déterminé | N/A | N/A | 108 (38,3) | 99 (39,3) | 80 (37,9) |
Total | N/A | N/A | 282 | 252 | 211 |
Antibiotiques | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
No.(%) | No. (%) | No. (%) | No. (%) | No. (%) | |
Clindamycine | N/A | N/A | 73 (25,9) | 60 (23,8) | 40 (19,0) |
Moxifloxacine | N/A | N/A | 40 (14,2) | 25 (9,9) | 18 (8,5) |
Rifampine | N/A | N/A | 3 (1,1) | 1 (0,4) | 1 (0,5) |
Total des isolats analysés | N/A | N/A | 282 | 252 | 211 |
2. Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM)
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
National | |||||
Nombre d’infections à SARM | 1 849 | 1 969 | 2 049 | 2 237 | 2 313 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 2,12 | 2,12 | 2,18 | 2,30 | 2,35 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 2,83 | 2,89 | 2,93 | 3,11 | 3,17 |
Nombre d’hôpitaux répondants | 53 | 58 | 59 | 61 | 62 |
Ouest | |||||
Nombre d’infections à SARM | 898 | 949 | 1 117 | 1 268 | 1 303 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 2,48 | 2,33 | 2,63 | 2,88 | 2,95 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 3,40 | 3,29 | 3,54 | 3,90 | 4,06 |
Centre | |||||
Nombre d’infections à SARM | 739 | 801 | 732 | 784 | 851 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 1,79 | 1,91 | 1,75 | 1,82 | 1,94 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 2,48 | 2,68 | 2,47 | 2,60 | 2,68 |
Est | |||||
Nombre d’infections à SARM | 212 | 219 | 200 | 185 | 159 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 2,15 | 2,19 | 2,03 | 1,77 | 1,53 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 2,34 | 2,33 | 2,24 | 1,98 | 1,74 |
Figure 2.1 - Équivalent du texte
Année | Région | Taux |
---|---|---|
2013 | Ouest | 3,40 |
2013 | Centre | 2,48 |
2013 | Est | 2,34 |
2013 | National | 2,83 |
2014 | Ouest | 3,29 |
2014 | Centre | 2,68 |
2014 | Est | 2,33 |
2014 | National | 2,89 |
2015 | Ouest | 3,54 |
2015 | Centre | 2,47 |
2015 | Est | 2,24 |
2015 | National | 2,93 |
2016 | Ouest | 3,90 |
2016 | Centre | 2,60 |
2016 | Est | 1,98 |
2016 | National | 3,11 |
2017 | Ouest | 4,06 |
2017 | Centre | 2,68 |
2017 | Est | 1,74 |
2017 | National | 3,17 |
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
National | |||||
Nombre d’infections à SARM-SS | 1 141 | 1 171 | 1 193 | 1 206 | 1 202 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 1,31 | 1,26 | 1,27 | 1,24 | 1,22 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 1,75 | 1,72 | 1,70 | 1,67 | 1,65 |
Nombre d’hôpitaux répondants | 53 | 58 | 59 | 61 | 62 |
Ouest | |||||
Nombre d’infections à SARM-SS | 554 | 535 | 631 | 676 | 637 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 1,53 | 1,31 | 1,48 | 1,54 | 1,44 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 2,10 | 1,86 | 2,00 | 2,07 | 1,99 |
Centre | |||||
Nombre d’infections à SARM-SS | 404 | 459 | 405 | 381 | 447 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,98 | 1,09 | 0,97 | 0,89 | 1,02 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 1,36 | 1,53 | 1,37 | 1,26 | 1,41 |
Est | |||||
Nombre d’infections à SARM-SS | 183 | 177 | 157 | 149 | 118 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 1,85 | 1,77 | 1,59 | 1,43 | 1,14 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 2,02 | 1,89 | 1,76 | 1,59 | 1,29 |
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
National | |||||
Nombre d’infections à SARM-AC | 547 | 653 | 729 | 921 | 993 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,63 | 0,70 | 0,77 | 0,94 | 1,01 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,84 | 0,96 | 1,04 | 1,28 | 1,36 |
Nombre d’hôpitaux répondants | 53 | 58 | 59 | 61 | 62 |
Ouest | |||||
Nombre d’infections à SARM-AC | 321 | 380 | 449 | 569 | 637 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,89 | 0,93 | 1,06 | 1,29 | 1,44 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 1,21 | 1,32 | 1,42 | 1,75 | 1,99 |
Centre | |||||
Nombre d’infections à SARM-AC | 205 | 241 | 245 | 322 | 324 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,50 | 0,57 | 0,59 | 0,75 | 0,74 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,69 | 0,81 | 0,83 | 1,07 | 1,02 |
Est | |||||
Nombre d’infections à SARM-AC | 21 | 32 | 35 | 30 | 32 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,21 | 0,32 | 0,35 | 0,29 | 0,31 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,23 | 0,34 | 0,39 | 0,32 | 0,35 |
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
National | |||||
Nombre de bactériémies à SARM | 365 | 450 | 490 | 605 | 608 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,42 | 0,48 | 0,52 | 0,62 | 0,62 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,56 | 0,66 | 0,70 | 0,84 | 0,83 |
Nombre d’hôpitaux répondants | 53 | 58 | 59 | 61 | 62 |
Ouest | |||||
Nombre de bactériémies à SARM | 131 | 166 | 215 | 278 | 282 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,36 | 0,41 | 0,51 | 0,63 | 0,64 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,50 | 0,58 | 0,68 | 0,85 | 0,88 |
Centre | |||||
Nombre de bactériémies à SARM | 191 | 240 | 224 | 281 | 278 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,46 | 0,57 | 0,54 | 0,65 | 0,63 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,64 | 0,80 | 0,76 | 0,93 | 0,88 |
Est | |||||
Nombre de bactériémies à SARM | 43 | 44 | 51 | 46 | 48 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,44 | 0,44 | 0,52 | 0,44 | 0,46 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,48 | 0,47 | 0,57 | 0,49 | 0,52 |
Figure 2.2 - Équivalent du texte
Année | Région | Taux |
---|---|---|
2013 | Ouest | 0,50 |
2013 | Centre | 0,64 |
2013 | Est | 0,48 |
2013 | National | 0,56 |
2014 | Ouest | 0,58 |
2014 | Centre | 0,80 |
2014 | Est | 0,47 |
2014 | National | 0,66 |
2015 | Ouest | 0,68 |
2015 | Centre | 0,76 |
2015 | Est | 0,57 |
2015 | National | 0,70 |
2016 | Ouest | 0,85 |
2016 | Centre | 0,93 |
2016 | Est | 0,49 |
2016 | National | 0,84 |
2017 | Ouest | 0,88 |
2017 | Centre | 0,88 |
2017 | Est | 0,52 |
2017 | National | 0,83 |
Année | Nombre de décèsNote de bas de page 11 | Taux de mortalité toutes causes confondues pour 100 cas de bactériémies à SARM |
---|---|---|
2013 | 93 | 25,5 |
2014 | 103 | 24,4 |
2015 | 95 | 20,3 |
2016 | 111 | 19,0 |
2017 | 99 | 16,3 |
Type de souche | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | |
SARM 10 | 214 (36,5) | 266 (38,7) | 303 (42,3) | 408 (46,2) | 398 (45,2) |
SARM 2 | 278 (47,4) | 302 (43,9) | 266 (37,2) | 279 (31,6) | 284 (32,3) |
SARM 7 | 24 (4,1) | 41 (6,0) | 48 (6,7) | 72 (8.1) | 68 (7,7) |
Autres types de soucheNote de bas de page 13 | 65 (11,1) | 70 (10,2) | 76 (10,6) | 92 (10,4) | 88 (10,0) |
Non déterminée | 6 (1,0) | 9 (1,3) | 23 (3,2) | 33 (3,7) | 42 (4,8) |
Total | 587 | 688 | 716 | 884 | 880 |
Antibiotiques | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | |
Érythromycine | 495 (88,7) | 535 (84,4) | 576 (80,9) | 624 (78,0) | 689 (79,8) |
Ciprofloxacine | 479 (85,8) | 228 (84,1)Note de bas de page 14 | 85 (81,7)Note de bas de page 14 | 609 (76,1) | 659 (76,3) |
Clindamycine | 349 (83,5)Note de bas de page 15 | 374 (65,4)Note de bas de page 15 | 385 (54,1) | 335 (41,9) | 361 (41,8) |
Acide fusidique | 57 (10,2) | 91 (14,4) | 126 (17,7) | 148 (18,5) | 174 (20,1) |
Mupirocine – résistance élevée | 15 (2,7) | 30 (4,7) | 40 (6,6)Note de bas de page 16 | Aucun test en 2016 | Aucun test en 2016 |
Tétracycline | 25 (4,5) | 34 (5,4) | 37 (5,2) | 54 (6,8) | 56 (6,5) |
TMP/SMX | 25 (4,5) | 14 (2,2) | 14 (2,0) | 20 (2,5) | 12 (1,4) |
Rifampicine | 3 (0,5) | 3 (0,5) | 3 (0,4) | 10 (1,3) | 10 (1,2) |
Tigécycline | 25 (4,5) | 17 (2,7) | 6 (0,8) | 0 (0,0) | 0 (0,0) |
Daptomycine | 2 (0,4) | 2 (0,3) | 5 (0,7) | 5 (0,6) | 5 (0,6) |
Total | 558 | 634 | 712 | 800 | 864 |
Remarque : Tous les isolats de SARM envoyés au LNM de 2013 à 2017 étaient sensibles au linézolide et à la vancomycine.
3. Entérocoques résistants à la vancomycine (ERV)
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
National | |||||
Nombre d’infections à ERV | 322 | 297 | 271 | 299 | 387 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,39 | 0,33 | 0,30 | 0,32 | 0,42 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,52 | 0,45 | 0,41 | 0,43 | 0,57 |
Nombre d’hôpitaux répondants | 48 | 56 | 53 | 56 | 56 |
Ouest | |||||
Nombre d’infections à ERV | 154 | 153 | 142 | 146 | 181 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,52 | 0,45 | 0,40 | 0,40 | 0,51 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,72 | 0,65 | 0,56 | 0,54 | 0,71 |
Centre | |||||
Nombre d’infections à ERV | 161 | 143 | 127 | 145 | 201 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,37 | 0,32 | 0,29 | 0,31 | 0,42 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,51 | 0,44 | 0,41 | 0,45 | 0,61 |
Est | |||||
Nombre d’infections à ERV | 7 | 1 | 2 | 8 | 5 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,08 | 0,01 | 0,02 | 0,08 | 0,05 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,08 | 0,01 | 0,02 | 0,09 | 0,05 |
Figure 3.1 - Équivalent du texte
Année | Région | Taux |
---|---|---|
2013 | Ouest | 0,72 |
2013 | Centre | 0,51 |
2013 | Est | 0,08 |
2013 | National | 0,52 |
2014 | Ouest | 0,65 |
2014 | Centre | 0,44 |
2014 | Est | 0,01 |
2014 | National | 0.45 |
2015 | Ouest | 0,56 |
2015 | Centre | 0,41 |
2015 | Est | 0,02 |
2015 | National | 0,41 |
2016 | Ouest | 0,54 |
2016 | Centre | 0,45 |
2016 | Est | 0,09 |
2016 | National | 0,43 |
2017 | Ouest | 0,71 |
2017 | Centre | 0,61 |
2017 | Est | 0,05 |
2017 | National | 0,57 |
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
National | |||||
Nombre d’infections à ERV | N/A | 274 | 258 | 272 | 356 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | N/A | 0,31 | 0,29 | 0,29 | 0,38 |
Taux pour 10 000 jours-patients | N/A | 0,42 | 0,39 | 0,39 | 0,52 |
Nombre d’hôpitaux répondants | N/A | 56 | 53 | 56 | 56 |
Ouest | |||||
Nombre d’infections à ERV | N/A | 143 | 138 | 131 | 165 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | N/A | 0,42 | 0,39 | 0,35 | 0,47 |
Taux pour 10 000 jours-patients | N/A | 0,61 | 0,54 | 0,48 | 0,64 |
Centre | |||||
Nombre d’infections à ERV | N/A | 130 | 118 | 133 | 186 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | N/A | 0,29 | 0,27 | 0,28 | 0,39 |
Taux pour 10 000 jours-patients | N/A | 0,40 | 0,38 | 0,41 | 0,56 |
Est | |||||
Nombre d’infections à ERV | N/A | 1 | 2 | 8 | 5 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | N/A | 0,01 | 0,02 | 0,08 | 0,05 |
Taux pour 10 000 jours-patients | N/A | 0,01 | 0,02 | 0,09 | 0,05 |
De 2014 à 2017, 94,3 % des infections à ERV ont été signalées comme étant associées aux soins de santé, tandis que seulement 5,7 % étaient des infections associées à la communauté.
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
National | |||||
Nombre de bactériémies à ERV | 98 | 94 | 89 | 121 | 157 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,12 | 0,10 | 0,10 | 0,13 | 0,17 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,16 | 0,14 | 0,14 | 0,18 | 0,23 |
Nombre d’hôpitaux répondants | 48 | 56 | 53 | 56 | 56 |
Ouest | |||||
Nombre de bactériémies à ERV | 31 | 36 | 35 | 45 | 48 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,11 | 0,10 | 0,10 | 0,12 | 0,14 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,15 | 0,15 | 0,14 | 0,17 | 0,19 |
Centre | |||||
Nombre de bactériémies à ERV | 67 | 58 | 53 | 75 | 108 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,15 | 0,13 | 0,12 | 0,16 | 0,23 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,21 | 0,18 | 0,17 | 0,23 | 0,33 |
Est | |||||
Nombre de bactériémies à ERV | 0 | 0 | 1 | 1 | 1 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,00 | 0,00 | 0,01 | 0,01 | 0,01 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,00 | 0,00 | 0,01 | 0,01 | 0,01 |
Figure 3.2 - Équivalent du texte
Année | Région | Taux |
---|---|---|
2013 | Ouest | 0,15 |
2013 | Centre | 0,21 |
2013 | Est | 0,00 |
2013 | National | 0.16 |
2014 | Ouest | 0,15 |
2014 | Centre | 0,18 |
2014 | Est | 0,00 |
2014 | National | 0,14 |
2015 | Ouest | 0,14 |
2015 | Centre | 0,17 |
2015 | Est | 0,01 |
2015 | National | 0,14 |
2016 | Ouest | 0,17 |
2016 | Centre | 0,23 |
2016 | Est | 0,01 |
2016 | National | 0,18 |
2017 | Ouest | 0,19 |
2017 | Centre | 0,33 |
2017 | Est | 0,01 |
2017 | National | 0,23 |
Type d’isolat | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | |
vanA, Enterococcus faecium | 72 (96,0) | 70 (100,0) | 75 (100,0) | 88 (96,7) | 111 (95,7) |
vanB, Enterococcus faecium | 3 (4,0) | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 3 (3,3) | 5 (4,3) |
Total | 75 | 70 | 75 | 91 | 116 |
Typage génomique | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | |
ST117 | 26 (34,7) | 16 (22,9) | 13 (17,3) | 23 (25,3) | 11 (9,5) |
ST18 | 15 (20,0) | 20 (28,6) | 11 (14,7) | 14 (15,4) | 3 (2,6) |
ST412 | 14 (18,7) | 7 (10,0) | 12 (16,0) | 12 (13,2) | 5 (4,3) |
ST203 | 1 (1,3) | 5 (7,1) | 6 (8,0) | 5 (5,5) | 7 (6,0) |
ST734 | 4 (5,3) | 2 (2,9) | 13 (17,3) | 4 (4,4) | 8 (6,9) |
AutresNote de bas de page 18 | 13 (17,3) | 20 (28,6) | 16 (21,3) | 23 (25,3) | 10 (8,6) |
Non typable | 2 (2,7) | 0 | 4 (5,3) | 10 (11,0) | 72 (62,1) |
Total | 75 | 70 | 75 | 91 | 116 |
Antibiotiques | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | |
Ampicillin | 75 (100) | 70 (100) | 75 (100) | 91 (100) | 116 (100) |
Lévofloxacine | 75 (100) | 70 (100) | 75 (100) | 91 (100) | 116 (100) |
Pénicilline | 75 (100) | 70 (100) | 75 (100) | 91 (100) | 116 (100) |
VancomycineNote de bas de page19 | 75 (100) | 70 (100) | 74 (98,7) | 88 (96,7) | 111 (95,7) |
Gentamicine - Niveau élevé | 13 (17,3) | 7 (10,0) | 6 (8,0) | 13 (14,3) | 45 (38,8) |
Streptomycine - Niveau élevé | 28 (37,3) | 29 (41,4) | 27 (36,0) | 32 (35,2) | 39 (33,6) |
Nitrofurantoïne | 14 (18,7) | 15 (21,4) | 25 (33,3) | 35 (38,5) | 52 (44,8) |
Chloramphénicol | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 2 (2,2) | 11 (9,5) |
DaptomycineNote de bas de page20 | 5 (6,7) | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 7 (7,7) | 10 (8,6) |
Linezolide | 1 (1,3) | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 1 (1,1) | 0 (0,0) |
Tigécycline | 0 (0,0) | 2 (2,9) | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 0 (0,0) |
Total des isolats analysés | 75 | 70 | 75 | 91 | 116 |
4. Entérobactéries productrices de carbapénémases (EPC) et Acinetobacter producteur de carbapénémases (APC)
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
National | |||||
Nombre d’infections par les EPC | 19 | 22 | 17 | 20 | 17 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,02 | 0,02 | 0,02 | 0,02 | 0,02 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,03 | 0,03 | 0,03 | 0,03 | 0,03 |
Nombre d’hôpitaux répondants | 45 | 58 | 58 | 58 | 59 |
Ouest t | |||||
Nombre d’infections par les EPC | 9 | 10 | 10 | 6 | 11 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,03 | 0,03 | 0,03 | 0,02 | 0,03 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,05 | 0,04 | 0,03 | 0,02 | 0,04 |
Centre | |||||
Nombre d’infections par les EPC | 9 | 12 | 5 | 14 | 5 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,02 | 0,03 | 0,01 | 0,03 | 0,01 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,03 | 0,04 | 0,02 | 0,04 | 0,02 |
Est | |||||
Nombre d’infections par les EPC | 1 | 0 | 2 | 0 | 1 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,01 | 0,00 | 0,02 | 0,00 | 0,01 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,01 | 0,00 | 0,02 | 0,00 | 0,01 |
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
National | |||||
Nombre de colonisations EPC | 23 | 20 | 33 | 69 | 92 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,03 | 0,02 | 0,04 | 0,07 | 0,10 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,04 | 0,03 | 0,05 | 0,10 | 0,14 |
Nombre d'hôpitaux répondants | 45 | 58 | 58 | 58 | 59 |
Ouest | |||||
Nombre de colonisations EPC | 12 | 2 | 9 | 15 | 18 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,05 | 0,01 | 0,02 | 0,04 | 0,05 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,06 | 0,01 | 0,03 | 0,05 | 0,07 |
Centre | |||||
Nombre de colonisations EPC | 11 | 18 | 24 | 54 | 74 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,03 | 0,04 | 0,06 | 0,12 | 0,16 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,04 | 0,06 | 0,08 | 0,17 | 0,23 |
Est | |||||
Nombre de colonisations EPC | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,00 | 0,00 | 0,00 | 0,00 | 0,00 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,00 | 0,00 | 0,00 | 0,00 | 0,00 |
Figure 4.1 - Équivalent du texte
Année | Classification | Taux |
---|---|---|
2013 | Infection | 0,03 |
2013 | Colonisation | 0,04 |
2014 | Infection | 0,03 |
2014 | Colonisation | 0,03 |
2015 | Infection | 0,03 |
2015 | Colonisation | 0,05 |
2016 | Infection | 0,03 |
2016 | Colonisation | 0,10 |
2017 | Infection | 0,03 |
2017 | Colonisation | 0,14 |
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
National | |||||
Nombre d’infections à APC | 9 | 3 | 2 | 9 | 3 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,012 | 0,003 | 0,002 | 0,010 | 0,003 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,016 | 0,005 | 0,003 | 0,013 | 0,004 |
Nombre d’hôpitaux répondants | 45 | 58 | 58 | 58 | 59 |
Ouest | |||||
Nombre d’infections à APC | 0 | 1 | 2 | 2 | 3 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,000 | 0,003 | 0,005 | 0,005 | 0,008 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,000 | 0,004 | 0,007 | 0,007 | 0,011 |
CentreNote de bas de page 21 | |||||
Nombre d’infections à APC | 9 | 2 | 0 | 7 | 0 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,022 | 0,005 | 0,000 | 0,016 | 0,000 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,030 | 0,006 | 0,000 | 0,022 | 0,000 |
Est | |||||
Nombre d’infections à APC | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,000 | 0,000 | 0,000 | 0,000 | 0,000 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,000 | 0,000 | 0,000 | 0,000 | 0,000 |
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
National | |||||
Nombre de colonisations APC | 17 | 0 | 3 | 5 | 7 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,022 | 0,000 | 0,003 | 0,005 | 0,007 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,029 | 0,000 | 0,004 | 0,007 | 0,010 |
Nombre d'hôpitaux répondants | 45 | 58 | 58 | 58 | 59 |
Ouest | |||||
Nombre de colonisations APC | 2 | 0 | 3 | 0 | 2 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,008 | 0,000 | 0,008 | 0,000 | 0,005 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,010 | 0,000 | 0,010 | 0,000 | 0,008 |
CentreNote de bas de page21 | |||||
Nombre de colonisations APC | 15 | 0 | 0 | 5 | 5 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,036 | 0,000 | 0,000 | 0,011 | 0,011 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,050 | 0,000 | 0,000 | 0,016 | 0,015 |
Est | |||||
Nombre de colonisations APC | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Taux pour 1 000 hospitalisations | 0,000 | 0,000 | 0,000 | 0,000 | 0,000 |
Taux pour 10 000 jours-patients | 0,000 | 0,000 | 0,000 | 0,000 | 0,000 |
Année | Nombre de décèsNote de bas de page 22 | Taux de mortalité toutes causes confondues pour 100 cas d'infection |
---|---|---|
2013 | 6 | 21,4 |
2014 | 5 | 20,0 |
2015 | 4 | 22,2 |
2016 | 3 | 10,7 |
2017 | 5 | 20,8 |
Agent Pathogène | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | |
Klebsiella pneumoniae | 27 (28,4) | 27 (38,0) | 30 (35,7) | 49 (35,8) | 44 (26,7) |
Escherichia coli | 5 (5,3) | 11 (15,5) | 22 (26,2) | 24 (17,5) | 42 (25,5) |
Complexe Enterobacter cloacaeNote de bas de page 24 | 4 (4,2) | 12 (17,0) | 10 (11,9) | 23 (16,8) | 37 (22,4) |
Acinetobacter baumannii | 37 (39,0) | 8 (11,3) | 9 (10,7) | 17 (12,4) | 14 (8,5) |
Serratia marcescens | 11 (11,6) | 6 (8,5) | 3 (3,6) | 3 (2,2) | 3 (1,8) |
AutresNote de bas de page25 | 11 (11,6) | 7 (9,9) | 10 (11,9) | 21 (15,3) | 25 (15,2) |
Total | 95 | 71 | 84 | 137 | 165 |
Antibiotiques | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | |
Piperacillin-Tazobactam | 52 (91,2) | 56 (88,9) | 69 (92,0) | 91 (76,5) | 126 (96,9)Note de bas de page 26 |
Céfotaxime | 46 (80,1) | 56 (88,9) | 68 (90,1) | 113 (95,0) | 140 (92,7) |
Méropénème | 53 (93,0) | 59 (93,7) | 66 (88,0) | 106 (89,1) | 139 (92,1) |
Ceftazidime | 46 (80,1) | 56 (88,9) | 66 (88,0) | 109 (91,6) | 137 (90,7) |
Trimethoprim-sulfamethoxazole | 39 (68,4) | 42 (66,7) | 57 (76,0) | 79 (66,4) | 94 (62,3) |
Ciprofloxacine | 29 (50,1) | 35 (55,6) | 49 (65,3) | 75 (63,0) | 93 (61,6) |
Tobramycine | 29 (50,9) | 40 (63,5) | 41 (54,7) | 62 (52,1) | 67 (44,4) |
Gentamicine | 26 (45,6) | 32 (50,8) | 39 (53,4) | 51 (42,9) | 55 (36,4) |
Amikacine | 18 (31,6) | 17 (27,0) | 23 (30,7) | 44 (37,0) | 32 (21,2) |
Tigécycline | 10 (17,5) | 11 (17,5) | 13 (17,3) | 28 (23,5) | 18 (11,9) |
Total des isolats analysés | 57 | 63 | 75 | 119 | 151 |
Tous les isolats étaient résistants à l'ampicilline et tous sauf un à la céfazoline. Tous les isolats d'OPC ont été criblés pour le gène de type mcr qui est un gène acquis associé à la résistance à la colistine
Antibiotiques | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | |
Céfotaxime | 35 (92,1) | 8 (100) | 9 (100) | 16 (88,9) | 13 (92,9) |
Ceftazidime | 36 (94,7) | 8 (100) | 9 (100) | 16 (88,9) | 13 (92,9) |
Ciprofloxacine | 36 (94,7) | 8 (100) | 9 (100) | 16 (88,9) | 13 (92,9) |
Piperacilline-Tazobactam | 37 (97,4) | 8 (100) | 9 (100) | 18 (100) | 13 (92,9) |
Méropénème | 36 (94,7) | 8 (100) | 9 (100) | 18 (100) | 12 (85,7) |
Trimethoprim-sulfamethoxazole | 35 (92,1) | 8 (100) | 7 (77,8) | 15 (83,3) | 11 (78,6) |
Gentamicine | 34 (89,5) | 8 (100) | 7 (77,8) | 14 (77,8) | 10 (71,4) |
Tobramycine | 32 (84,2) | 5 (62,5) | 7 (77,8) | 12 (66,7) | 9 (64,3) |
Tigécycline | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 1 (7,1) |
Amikacine | 5 (13,1) | 0 (0,0) | 3 (33,3) | 12 (66,7) | N/A |
Total des isolats analysés | 38 | 8 | 9 | 18 | 14 |
Tous les isolats étaient résistants à l’ampicilline, à l’amoxicilline/acide clavulanique, à la céfazoline et à la céfoxitine.
N/A = non applicable
Tous les isolats étaient résistants à l'ampicilline et tous sauf un à la céfazoline. Tous les isolats d'OPC ont été criblés pour le gène de type mcr qui est un gène acquis associé à la résistance à la colistine
Carbapénémase | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | |
KPC | 30 (52,6) | 31 (49,2) | 26 (34,7) | 62 (52,1) | 69 (45,7) |
NDM | 14 (24,6) | 17 (27,0) | 29 (38,7) | 38 (31,9) | 55 (36,4) |
OXA-48 | 6 (10,5) | 7 (11,1) | 14 (18,7) | 17 (14,3) | 23 (15,2) |
NMC/IMI | 1 (1,8) | 2 (3,2) | 0 (0,0) | 2 (1,6) | 4 (2,6) |
VIM | 0 (0,0) | 1 (1,6) | 1 (1,3) | 1 (0,8) | 3 (2,0) |
SME Note de bas de page 29 | 6 (10,5) | 5 (7,9) | 3 (4,0) | 1 (0,8) | 2 (1,3) |
GES-5 | 1 (1,8) | 1 (1,6) | 3 (4,0) | 0 (0,0) | 0 (0,0) |
IMP | 0 (0,0) | 1 (1,6) | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 0 (0,0) |
Total des isolats analysés | 57Note de bas de page 30 | 63Note de bas de page 30 | 75Note de bas de page 30 | 119Note de bas de page 30 | 151Note de bas de page 30 |
Carbapénémase | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|
Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | Nombre (%) | |
OXA-23 | 5 (13,2) | 5 (62,5) | 8 (88,9) | 6 (33,3) | 11 (78,6) |
NDM | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 1 (11,1) | 0 (0,0) | 2 (14,3) |
OXA-24 | 4 (10,5) | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 3 (16,7) | 1 (7,1) |
OXA-235 | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 9 (50,0) | 0 (0,0) |
OXA-58 | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 1(11,1) | 0 (0,0) | 0 (0,0) |
OXA-237 | 29 (76,3) | 3 (37,5) | 0 (0,0) | 0 (0,0) | 0 (0,0) |
IMP | 0 (0) | 0 (0) | 0 (0) | 0 (0) | 0 (0) |
Total des isolats analysés | 38 | 8 | 9Footnote 31 | 18 | 14 |
5. Antibiogramme sur la bactérie E. coli
National | ||||
---|---|---|---|---|
Tous types de patients et échantillionsNote de bas de page 32 | 2015Note de bas de page 33 | 2016 | ||
Antibiotiques | Nombre d'isolates testés (N) |
% non sensible |
Nombre d'isolates testés (N) |
% non sensible |
Pénicillines et combinaisons de pénicilline | ||||
Ampicilline | 66 756 | 43,7 | 47 411 | 43,6 |
Amoxicilline/Clavulanate | 56 200 | 16,8 | 40 174 | 16,5 |
Pipéracillin-tazobactame | 59 085 | 5,3 | 45 177 | 4,7 |
Céphalosporines | ||||
Céphalothine | N/A | 17 504 | 46,9 | |
Cefazolin (pour usage systémique) | 40 291 | 19,1 | 23 048 | 25,2 |
Cefazolin (marqueur à usage oral) | N/A | 19 300 | 22,7 | |
Cefuroxime | N/A | 496 | 7.0 | |
Céfoxitin | N/A | 26 162 | 9,4 | |
Ceftriaxone | 57 215 | 8,5 | 40 269 | 8,9 |
Céfotaxime (Pédiatrique) | N/A | 1 205 | 9,6 | |
Carbapenems | ||||
Ertapenem | N/A | 34 088 | 0,4 | |
Imipenem | N/A | 28 845 | 0,2 | |
Méropénem | 44 299 | 0,5 | 37 212 | 0,1 |
Fluoroquinolones | ||||
Ciprofloxacine | 64 548 | 18,4 | 47 404 | 18,6 |
Lévofloxacine | N/A | 10 550 | 19,4 | |
Les aminosides | ||||
Gentamicine | 51 714 | 7,7 | 47 419 | 7,9 |
Tobramycine | 40 654 | 7,4 | 44 102 | 8,9 |
Amikacin | N/A | 34 679 | 0,1 | |
Autres | ||||
TMP-SMX | 66 760 | 22,3 | 43 884 | 22,8 |
Nitrofurantoïn | 62 020 | 4,9 | 35 820 | 2,8 |
Nombre d'hôpitauxNote de bas de page 34 | 21 | 42 |
N/A Aucuns données collectées en 2015
Figure 5.1 - Équivalent du texte
2015 | 2016 | |
---|---|---|
Antibiotique | % d'isolats E. coli non sensible |
% d'isolats E. coli non sensible |
Ampicilline | 43,7 | 43,6 |
TMP-SMX | 22,3 | 22,8 |
Ciprofloxacine | 18,4 | 18,6 |
Amoxicilline Clavulanate | 16,8 | 16,5 |
Ceftriaxone | 8,5 | 8,9 |
Tobramycine | 7,4 | 8,9 |
Pipéracillin-tazobactame | 5,3 | 4,7 |
Nitrofurantoïn | 4,9 | 2,8 |
Ertapenem | 0 | 0,4 |
Méropénem | 0,5 | 0,1 |
6. Utilisation des antimicrobiens (UAM)
2014Note de bas de page 36 | 2015 | 2016 | |
---|---|---|---|
National | |||
DJD | 1,681,652 | 1 680 080 | 1 925 259 |
DJD pour 1 000 jours-patients | 534 | 482 | 555 |
Nombre d'hôpitaux répondants | 21 | 21 | 22 |
Ouest | |||
DJD | 631 443 | 692 567 | 726 943 |
DJD pour 1 000 jours-patients | 570 | 492 | 594 |
Nombre d'hôpitaux répondants | 5 | 7 | 6 |
Centre | |||
DJD | 852 196 | 809 677 | 1 020 994 |
DJD pour 1 000 jours-patients | 587 | 567 | 682 |
Nombre d'hôpitaux répondants | 12 | 11 | 13 |
Est | |||
DJD | 198 013 | 177 835 | 177 322 |
DJD pour 1 000 jours-patients | 453 | 466 | 453 |
Nombre d'hôpitaux répondants | 4 | 3 | 3 |
USINote de bas de page 37 | |||
DJD | 196 371 | 208 147 | 215 543 |
DJD pour 1 000 jours-patients | 1 282 | 1 320 | 1 353 |
Nombre d'hôpitaux répondants | 18 | 18 | 19 |
Non-USINote de bas de page 37 | |||
DJD | 1 485 281 | 1 471 930 | 1 597 835 |
DJD pour 1 000 jours-patients | 496 | 442 | 514 |
Nombre d'hôpitaux répondants | 21 | 21 | 21 |
Figure 6.1 - Équivalent du texte
DJD par 1 000 jours-patients | 2014 | 2015 | 2016 |
---|---|---|---|
Total | 534 | 482 | 555 |
Non-USI | 496 | 442 | 514 |
USI | 1 282 | 1 320 | 1 353 |
Figure 6.2 - Équivalent du texte
Classe d’antibiotique | 2014 DJD | 2015 DJD | 2016 DJD | 2014 jours-patients |
2015 jours-patients |
jours-patients |
2014 taux |
2015 taux |
2016 taux |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Céphalosporines | 446084 | 466860 | 494387 | 3149830 | 3485875 | 3470454 | 141,62 | 133,93 | 142,46 |
Inhibiteurs de la pénicilline et de la β-lactamase (combinaison) |
206871 | 210913 | 280422 | 3149830 | 3485875 | 3470454 | 65,68 | 60,51 | 80,80 |
Fluoroquinolones | 262753 | 245481 | 250603 | 3149830 | 3485875 | 3470454 | 83,42 | 70,42 | 72,21 |
Pénicillines | 204612 | 210983 | 243192 | 3149830 | 3485875 | 3470454 | 64,96 | 60,53 | 70,08 |
Glycopeptide | 126769 | 126221 | 141992 | 3149830 | 3485875 | 3470454 | 40,25 | 36,21 | 40,91 |
Carbapénèmes | 69611 | 76064 | 102828 | 3149830 | 3485875 | 3470454 | 22,10 | 21,82 | 29,63 |
Dérivés de nitroimidazole |
113109 | 99782 | 92120 | 3149830 | 3485875 | 3470454 | 35,91 | 28,62 | 26,54 |
Macrolide | 67543 | 67149 | 82297 | 3149830 | 3485875 | 3470454 | 21,44 | 19,26 | 23,71 |
Tétracyclines | 34891 | 37696 | 65850 | 3149830 | 3485875 | 3470454 | 11,08 | 10,81 | 18,97 |
Sulfamides et triméthoprime (combinaison) |
60819 | 57689 | 65196 | 3149830 | 3485875 | 3470454 | 19,31 | 16,55 | 18,79 |
Annexe A : Hôpitaux participant au Programme canadien de surveillance des infections nosocomiales (PCSIN), en date de décembre 2017
Hôpitaux participants dans la région de l’Ouest
- Vancouver General Hospital, Vancouver, BC
- Richmond General Hospital, Richmond, BC
- UBC Hospital, Vancouver, BC
- Lions Gate Hospital, Vancouver, BC
- Powell River Hospital, Powell River, BC
- Sechelt Hospital, Sechelt, BC
- Squamish Hospital, Squamish, BC
- Children’s and Women’s Health Centre, Vancouver, BC
- Royal Jubilee, Victoria, BC
- Nanaimo Regional General Hospital, Nanaimo, BC
- Victoria General Hospital, Victoria, BC
- Kelowna Hospital, Kelowna, BC
- University of Northern BC, Prince George, BC
- Peter Lougheed Hospital, Calgary, AB
- Rockyview General Hospital, Calgary, AB
- Foothills Hospital, Calgary, AB
- South Health Campus, Calgary, AB
- Alberta Children’s Hospital, Calgary, AB
- University of Alberta Hospital, Edmonton, AB
- Stollery Children’s Hospital, Edmonton, AB
- Royal University Hospital, Saskatoon, SK
- St. Paul’s Hospital, Saskatoon, SK
- Regina General Hospital, Regina, SK
- Pasqua Hospital, Regina, SK
- Health Sciences Centre, Winnipeg, MB
- Children’s Hospital, Winnipeg, MB
Hôpitaux participants dans la région du Centre
- Children’s Hospital of Western Ontario, London, ON
- Victoria Hospital, London, ON
- University Hospital, London, ON
- Toronto Western Hospital, Toronto, ON
- Toronto General Hospital, Toronto, ON
- Princess Margaret Hospital, Toronto, ON
- North York General Hospital, Toronto, ON
- The Hospital for Sick Children, Toronto, ON
- Mount Sinai Hospital, Toronto, ON
- Bridgepoint Active Healthcare, Toronto, ON
- Sunnybrook Health Sciences Centre, Toronto, ON
- Kingston General Hospital, Kingston, ON
- Hamilton Health Sciences Centre, McMaster, Hamilton, ON
- Hamilton Health Sciences Centre, Juravinski Site, Hamilton, ON
- Hamilton Health Sciences Centre, General Site, Hamilton, ON
- St Joseph’s Healthcare, Hamilton, ON
- The Ottawa Hospital, Civic Campus, Ottawa, ON
- The Ottawa Hospital, General Site, Ottawa, ON
- The Ottawa Hospital, Heart Institute, Ottawa, ON
- Children’s Hospital of Eastern Ontario, Ottawa, ON
- Health Sciences North, Sudbury, ON
- Jewish General Hospital, Montréal, QC
- Montréal Children’s Hospital, Montréal, QC
- Maisonneuve-Rosemont Hospital, Montréal, QC
- Montréal General Hospital, Montréal, QC
- Royal Victoria Hospital, Montréal, QC
- Montréal Neurological Hospital, Montréal, QC
- Hôtel-Dieu de Québec de CHUQ, Québec, QC
Hôpitaux participants dans la région de l’Est
- The Moncton Hospital, Moncton, NB
- Queen Elizabeth Hospital, Charlottetown, PEI
- Prince County Hospital, PEI
- QE II Health Sciences Centre, Halifax, NS
- IWK Health Centre, Halifax, NS
- Health Sciences Centre General Hospital, St. John’s, NL
- Janeway Children's Health and Rehabilitation Centre, St. John’s, NL
- St. Clare's Mercy Hospital, St. John’s, NL
- Burin Peninsula Health Centre, Burin, NL
- Carbonear General Hospital, Carbonear, NL
- Dr. G.B. Cross Memorial Hospital, Clarenville, NL
- Western Memorial Regional Hospital, NL
Nous tenons à souligner la contribution des médecins, des épidémiologistes, des professionnels en prévention des infections et du personnel des laboratoires de chacun des hôpitaux participants, ainsi que du personnel de l’Agence de la santé publique au sein du Centre de la lutte contre les maladies transmissibles et les infections et du Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg.
Annexe B : Résumé des hôpitaux participant au PCSIN, 2017
Région | Ouest | Centre | Est | National |
Nombre total d'hôpitaux | 26 | 28 | 12 | 66 |
Par type d'hôpital | ||||
---|---|---|---|---|
AdulteNote de bas de page 44 | 11 | 17 | 4 | 32 |
Mixtes | 12 | 7 | 7 | 26 |
Pédiatrique | 3 | 4 | 1 | 8 |
Pair taille d'hôpital | ||||
Petit (1-200 beds) | 7 | 6 | 5 | 18 |
Moyen (201-499 beds) | 13 | 16 | 6 | 35 |
Grand (500+ beds) | 6 | 6 | 1 | 13 |
Nombre total de lits | 8 840 | 9 610 | 3 097 | 21 547 |
Nombre total d'admissions | 452 390 | 475 375 | 103 644 | 1 031 409 |
Nombre total de jours-patients | 3 261 626 | 3 460 831 | 914 818 | 7 637 275 |
La surveillance des IASS dans les hôpitaux participants est considérée comme relevant du mandat des programmes hospitaliers de prévention et de contrôle des infections et ne constitue pas une recherche humaine. La possibilité pour un hôpital de participer à la surveillance des IASS du PCSIN dépend du financement, de la capacité du site en matière de collecte de données, de l’accès aux services de laboratoire de l’hôpital et de sa capacité opérationnelle de participer au cours d’une année donnée. Par conséquent, la variation du nombre d'hôpitaux déclarants chaque année reflète l'évolution du nombre d'hôpitaux participants, qui a généralement augmenté avec le temps.
Annexe C : Définitions de cas et critères d’inclusion utilisés pour la surveillance de 2017
1. Infection à Clostridioides difficile (ICD)
Un épisode « primaire » d’ICD est défini comme étant le premier épisode d’ICD que connaît le patient ou un nouvel épisode d’ICD qui survient plus de huit (8) semaines après le précédent cas d’ICD confirmé chez le même patient.
Un patient est dit atteint d’une ICD :
- s’il présente une diarrhée* ou de la fièvre, des douleurs abdominales et/ou un iléus ET une confirmation en laboratoire de résultat positif pour C. difficile à un essai de détection des toxines ou à une réaction en chaîne de la polymérase (PCR) (sans preuves raisonnables d’une autre cause de diarrhée);
OU
- s’il a un diagnostic de pseudomembranes à la sigmoïdoscopie ou à la colonoscopie (ou après la colectomie) ou un diagnostic histologique/pathologique d’ICD;
OU
- s’il a reçu un diagnostic de mégacôlon toxique (patients adultes uniquement).
* La diarrhée est définie par l’une ou l’autre manifestation suivante :
- Six (6) selles liquides ou plus sur une période de 36 heures;
- Trois (3) selles non moulées ou plus sur une période de 24 heures, si c’est nouveau ou inhabituel pour le patient (chez les patients adultes uniquement).
Exclusion
- Tous patients âgés de moins d’un an.
- Tous les patients pédiatriques (âgés de 1 an à moins de 18 ans) présentant une autre cause de diarrhée trouvée (rotavirus, norovirus, lavement, médicaments, etc.) sont exclus, même si le résultat du test de diagnostic du C. difficile est positif.
Veuillez noter qu'à partir de 2017, nous n'accepterons plus un cas asymptomatique identifié uniquement par une confirmation en laboratoire d'un dosage de toxine positif ou d'une PCR pour C. difficile. (c’est-à-dire qu’un patient doit avoir la diarrhée ou la fièvre, des douleurs abdominales et / ou un iléus ET une confirmation en laboratoire d’un dosage de toxine positif ou d’une PCR pour C. difficile pour qu’il soit identifié comme présentant une ICD)
Classification des cas ICD
Lorsque l’ICD est détectée chez un patient, le cas est considéré comme un cas associé aux soins de santé ou acquis dans la collectivité selon le meilleur jugement clinique du professionnel de la santé ou du professionnel en prévention et contrôle des infections et à partir des critèresNote de bas de page 45 suivants :
Définition de cas d’ICD associé aux soins de santé (des hôpitaux répondants du PCSIN uniquement)
- Relatif à l’hospitalisation en cours
- Les symptômes de l’ICD apparaissent dans votre établissement de santé trois jours ou plus (ou ≥ 72 heures) après l’admission du patient.
- Lié à une hospitalisation antérieure
- Patients hospitalisés : les symptômes d’ICD du patient se manifestent moins de 3 jours après l’admission actuelle (ou moins de 72 heures) ET le patient avait déjà été hospitalisé dans votre établissement de soins de santé et avait reçu son congé dans les 4 semaines précédentes.
- Patients ambulatoires : le patient présente des symptômes d'ICD à votre salle d'urgence ou à l'urgence et le patient a déjà été hospitalisé dans votre établissement de soins de santé et a obtenu son congé dans les 4 semaines précédentes.
- Lié à une précédente exposition à des soins de santéNote de bas de page 47 dans votre établissement
- Patients hospitalisés : les symptômes d’ICD du patient apparaissent moins de 3 jours après l’admission actuelle (ou moins de 72 heures) ET le patient a déjà été exposé à des soins de santé dans votre établissement au cours des 4 semaines précédentes.
- Patients ambulatoires : le patient présente des symptômes d'ICD à votre salle d'urgence ou à l'ambulatoireNote de bas de page 46 ET le patient a déjà été exposé à des soins de santéNote de bas de page 47
Définition de cas d’ICD acquise dans la collectivité
- Patients hospitalisés : les symptômes d’ICD du patient se manifestent moins de 3 jours (ou moins de 72 heures) après l’admission, sans antécédents d’hospitalisation ni d’exposition à des soins de santéNote de bas de page 47 au cours des 12 semaines précédentes.
- Patients ambulatoires : le patient présente des symptômes d'ICD à votre salle d'urgence ou à votre service ambulatoire sans antécédents d'hospitalisation ou de toute autre exposition aux soins de santé Note de bas de page 47 au cours des 12 semaines précédentes.
2. Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM)
Critères d’inclusion pour la surveillance du SARM
Définition de cas de SARM :
- Isolement de Staphylococcus aureus quel que soit le siège du prélèvement;
ET
- Résistance de l’isolat à l’oxacilline;
ET
- Patient admis à l’hôpitalNote de bas de page 48
ET
- Il s’agit d’un « cas récemment identifié de SARM » dans un hôpital du PCSIN au moment de l’admission du patient à l’hôpital ou d’un cas déterminé pendant l’hospitalisation
Plus précisément :
- Les infections à SARM diagnostiquées pour la première fois pendant cette hospitalisation
- Les infections déjà diagnostiquées dans d’autres hôpitaux non affiliés au PCSIN (puisque nous nous intéressons aux cas de SARM récemment diagnostiqués aux hôpitaux du PCSIN)
- Les infections déjà diagnostiquées dans votre établissement, mais qui constituent de nouveaux cas. Ces infections peuvent uniquement être déterminées si l’infection précédente découlait d’une souche différente. Autrement dit, le patient a de nouveau été exposé au SARM et a été infecté par une nouvelle souche d’une source différente (un nouveau code d’identification du patient doit être attribué uniquement lorsqu’on conforme qu’il s’agit d’une souche différente)
- Infection à SARM identifiée sur un nouveau site (différent) chez un patient atteint d'une infection à SARM identifiée au cours d'une année de surveillance (civile) antérieureNote de bas de page 49
ET
- Le cas répond aux critères d'infection à SARM tels que déterminés à l'aide des définitionsNote de bas de page 50 de surveillance du CDC / NHSN de janvier 2017 pour des infections particulières et conformément au meilleur jugement du professionnel de santé ou du professionnel en prévention et contrôle des infections.
Critères d’exclusion pour la surveillance du SARM :
- Les cas de SARM déjà diagnostiqués dans d’autres établissements affiliés au PCSIN
- Les cas provenant de l’urgence, de cliniques et les patients traités à l’externe qui ne sont pas admis à l’hôpital
- Les cas de SARM réhospitalisés (à moins qu’il ne s’agisse d’une nouvelle souche/nouveau site (différent).
Définition des cas associés aux soins de santé (SS) :
Lorsque le SARM est détecté chez un patient, le cas est considéré comme un cas associé aux soins de santé selon le meilleur jugement clinique du professionnel de la santé ou du professionnel en prévention des infections et à partir des critères suivants :
- Exposition à un milieu de soins de santé (y compris les établissements de soins de longue durée ou les cliniques) au cours des douze derniers moisNote de bas de page 51
OU
- Le patient en est au troisième jour civilNote de bas de page52 de son hospitalisation.
Définition des cas acquis dans la collectivité :
- SARM détecté lors de l’admission à l’hôpital (jour civil 1 = jour de l’admission à l’hôpital) ou le lendemain de l’admission (jour 2)
ET
- Aucun antécédent de portage de l’organisme
ET
- Aucune hospitalisation ou aucun séjour dans un établissement de soins de longue duréeNote de bas de page 52 au cours des douze derniers moisNote de bas de page 49
AND
- Aucune utilisation signalée de dispositifs médicaux.
Infection clinique à SARM
L'infection SARM est déterminée à l'aide des définitions de surveillance 2017 du CDC / NHSN pour des infections spécifiques et conformément au jugement des praticiens des soins de santé et / ou de l'IPC (PDF: 960 Ko, en analis seulement). Les critères d’infection CDC / NHSN peuvent être consultés à l’adresse
L’infection à SARM serait considérée comme étant associée aux soins de santé si tous les éléments des critères d’infection propres aux lieux du NHSN des CDC étaient présents à partir du troisième jour civil après l’admission à l’établissement (le jour d’admission à l’hôpital étant le premier jour civil). L’infection à SARM serait considérée comme étant acquise dans la collectivité si tous les éléments des critères d’infection propres aux lieux du NHSN des CDC étaient présents au cours des deux jours civils précédant le jour de l’admission, le premier jour de l’admission (jour 1) ou le lendemain de l’admission (jour 2) et sont consignés dans le dossier médical.
Infection du sang à SARM (bactériémie)
Pour que l’infection soit considérée comme étant une bactériémie à SARM, une culture positive pour le SARM (confirmée par laboratoire) doit avoir été détectée dans au moins une hémoculture.
3. Entérocoques résistants à la vancomycine (ERV)
Définition d’un cas d’infection à ERV :
- Isolement de la bactérie Enterococcus faecalis ou faecium
ET
- Concentration minimale inhibitrice de vancomycine > 8 μg/ml
ET
- Patient admis à l’hôpital
ET
- Il s’agit d’un cas « récemment » déterminé d’infection à ERV dans un établissement du PCSIN au moment de l’admission du patient à l’hôpital ou d’un cas déterminé pendant l’hospitalisation.
L’infection à ERV est déterminée au moyen des définitions et des critères de janvier 2017 relatifs aux infections établis par le National Healthcare Safety Network (NHSN) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), ainsi que conformément au meilleur jugement du professionnel en prévention et contrôle des infections. Ces critères doivent être remplis au moment de la culture qui a produit l’ERV ou dans les 72 heures qui suivent la culture.
Critères d’exclusion :
- Cas déjà déterminés dans d’autres établissements affiliés au PCSIN (afin d’éviter qu’ils soient signalés en double au PCSIN)
- Cas déterminés au service des urgences, en clinique ou dans d’autres services externes
- Cas d’ERV réhospitalisés (À MOINS qu’il ne s’agisse d’une nouvelle souche)
Les soins de santé associés sont définis comme des patients hospitalisés répondant aux critères suivants et conformes au meilleur jugement clinique du praticien de la santé et / ou de la prévention et du contrôle des infections:
- Exposition à un milieu de soins de santé (y compris les établissements de soins de longue durée ou les cliniques) au cours des douze derniers moisNote de bas de page 53
OU
- Le patient est au troisièmeNote de bas de page 54 jour civil de son hospitalisation
4. Carbapenemase-Producing Enterobacteriaceae (CPE) and Carbapenem-Producing Acinetobacter (CPA)
Tout patient admis dans un hôpital participant au PCSIN pour lequel il y a eu confirmation par le laboratoire de l’hôpital (et une confirmation ultérieure par le LNM) d’un résultat positif du test ou du dépistage pour au moins un bacille Enterobacteriaceae et Acinetobacter spp., présentant potentiellement une sensibilité réduite aux carbapénèmes, de tout siège du prélèvement qui remplit les critères du Clinical and Laboratory Standards Institute (CLSI) suivants.Note de bas de page 55
4.1 Critères selon CLSI pour les Entérobactéries et Acinetobacter
Au moins UN des suivants : |
Enterobacteriaceae : | |
---|---|---|
CMI (μg/ml) |
Diffusion avec disque (mm) |
|
Imipénème | ≥ 4 | ≤ 19 |
Méropénème | ≥ 4 | ≤ 19 |
Doripénème | ≥ 4 | ≤ 19 |
Ertapénème | ≥ 2 | ≤ 18 |
Au moins UN des suivants : |
Acinetobacter : | |
---|---|---|
CMI (μg/ml) |
Diffusion avec disque (mm) |
|
Imipénème | ≥ 8 | ≤ 18 |
Méropénème | ≥ 8 | ≤ 14 |
Doripénème | ≥ 8 | ≤ 14 |
Diffusion avec disque en utilisant un disque de 10 µg de l’antimicrobien approprié. |
Les carbapénèmes constituent une catégorie de bêta-lactamines à spectre large recommandés pour le traitement de première intention des infections graves causées par certains organismes Gram négatif, ainsi que pour le traitement dirigé des organismes résistants aux antibiotiques à spectre étroit.
La résistance aux carbapénèmes peut être attribuable à des changements de la perméabilité de l’organisme à l’antibiotique, à la régulation positive des systèmes de sortie qui « pompent » l’antibiotique hors de la cellule, en général concordante avec la présence d’une bêta-lactamase à spectre étendu (BLSE) acquise ou de l’enzyme AmpC, ou encore à l’hyperproduction de bêta-lactamases intrinsèques dans un chromosome. Plus récemment, la résistance est de plus en plus attribuable à l’acquisition d’enzymes qui décomposent les carbapénèmes : les carbapénémases (p. ex., NDM-1, OXA-48, KPC, VIM, IMP, etc.). Les organismes résistants à ces derniers sous-ensembles sont appelés organismes producteurs de carbapénémases (OPC) et sont en raison de concerne puisque la résistance peut être facilement transférée à différents genres et espèces de bactéries. Ils sont rapidement devenus un problème de santé publique, non seulement en raison de la capacité à causer des infections associées aux soins de santé, mais également en raison de la capacité potentielle de colonisation des patients hospitalisés et des patients externes à cause de la transmissibilité facile, créant ainsi un réservoir de résistance bactérienne.
Les données présentées dans ce rapport incluent Enterobacteriaceae spp. et Acinetobacter spp. qui sont résistants aux carbapénèmes par la production d'une carbapénémase. Le premier isolat positif provenant d'un patient hospitalisé identifié comme étant colonisé ou infecté par les EPC ou APC est éligible. Les isolats positifs ultérieurs provenant du même patient au cours de la même année civile sont éligibles si le patient présente un résultat positif pour une carbapénémase différente. Si le patient a été initialement colonisé et qu'il développe par la suite une infection avec le même gène, au cours de la même année civile, seule l'infection peut être incluse dans la surveillance. Les données des années précédentes incluses dans ce rapport ont été ajustées pour refléter ce changement.
5. Antibiogramme sur la bactérie E. coli
Admissibilité à participer
- Hôpitaux faisant partie du réseau du PCSIN ou affiliés à un site du PCSIN (et donc contribuant aux données antibiogrammes annuelles de cet établissement)
- Possibilité de soumettre des données d'antibiogramme annuel pour l'organisme cible E. coli (isolats de spécimens ne faisant pas l'objet d'un dépistage)
- Capable d'indiquer si les données d'antibiogramme appartiennent à l'une des catégories suivantes:
- Patients hospitalisés et ambulatoires combinés, c.-à-d. Patients hospitalisés et patients vus dans des cliniques hospitalières ou à l'urgence, qui pourraient avoir été admis ou non
- Patients hospitalisés seulement
- Patients Ambulatoires seulement
- Peut indiquer le type d’échantillon de données d’antibiogramme «Tous les types d’échantillon» ou «Toute l’urine».
Critères d’inclusion
- Tous les isolats bactériens d’E. coli (isolats d’échantillons de dépistage non triés dont les doublons ont été retirés) inclus dans les données annuelles de l’antibiogramme
- Un minimum de 30 isolats par antibiotique rapporté est requis pour pouvoir soumettre des données d'antibiogramme.
6. Utilisation des antimicrobiens (UAM)
Les hôpitaux participants fournissent une utilisation totale d'antimicrobiens pour adultes en milieu hospitalier, séparés par service ou par catégorie de service. Les données sur l'UAM chez l'adulte sont collectées à des doses journalières définies (DJD). Les hôpitaux fournissent en outre des données sur le dénominateur des jours-patients ventilées par catégories de services.
Critères d’inclusion :
- L'utilisation antibiotique aiguë chez les patients adultes comprend tous les antibactériens systémiques (J01), le métronidazole par voie orale (code ATC: P01AB01) et la vancomycine par voie orale (code ATC: A07AA10).
- Seuls les antibiotiques utilisés par des unités médicales, chirurgicales, combinées (médico-chirurgicales), en USI ou autres, composés de patients hospitalisés, sont inclus.
Variables collectées pour l'UMA chez les patients hospitalisés adultes:
- Nom du médicament générique - selon les critères d'inclusion
- Forme posologique ou voie d'administration (parentérale, orale ou par inhalation)
- Nombre total d’unités DJD ou DJD (c.-à-d. grammes, milligrammes ou millions d’unités)
- Jours de thérapie (DOT) si possible
- Programme, paroisse ou catégorie de paroisse
Calcul des doses journalières définies :
Pour l'UMA adulte, les quantités de DJD nationales, régionales et spécifiques aux quartiers (catégorie de service) ont été calculées par classe d'antibiotiques et d'antibiotiques. L'utilisation totale d'antibiotiques a été calculée. Les taux standardisés pour 1 000 jours-patients ont été calculés. Lorsque le site de l'hôpital ne fournissait pas de DJD, l'indice ATC / DJD 2016 de l'OMS était utilisé pour convertir les grammes en équivalents de DJD.
Les antimicrobiens suivants sont des cas spéciaux:
- Pour le co-trimoxazole (J01EE01), également appelé sulfaméthoxazole-triméthoprime, 1,6 g par DJD a été utilisé pour la conversion selon la base de données sur les produits pharmaceutiques de Santé Canada (l'OMS ne fournit pas de conversion de DJD).
- Pour la benzylpénicilline (J01ECE01), également appelée pénicilline G, et benzathine benzylpénicilline (J01CE08), les données reçues en millions d'unités (MU) ont été converties en grammes (où 0,6 g = 1 MU), avant d'être converties en DJD en utilisant les valeurs de l'OMS.
Annexe D: Antibiotiques inclus dans les catégories de classe d'antibiotiquesNote de bas de page 56Note de bas de page57
Céphalosporines | Combinaison d'inhibiteurs de la pénicilline et de la β -lactamase |
Fluoroquinolones | Pénicillines | Glycopeptides |
---|---|---|---|---|
Cefaclor | Amoxicilline et acide clavulanique |
Ciprofloxacine | Amoxicilline | Vancomycine |
Cefadroxil | Amoxicilline et autre inhibiteur d'enzymes |
Lévofloxacine | Ampicilline | |
Cefazolin | Ampicilline et inhibiteur d'enzymes |
Moxifloxacine | Combinaisons d'ampicilline |
|
Cefixime | Pipéracilline et inhibiteur d'enzymes |
Norfloxacine | Cloxacilline | |
Céfotaxime | Pipéracilline et tazobactam | Ofloxacine | Pénicilline g | |
Cefotetan | Ticarcilline et acide clavulanique |
Pénicilline v | ||
Céfoxitine | Ticarcilline et inhibiteur d'enzymes |
La pipéracilline | ||
Cefprozil | Ticarcillin | |||
Ceftazidime | ||||
Ceftobiprole | ||||
Ceftriaxone | ||||
Ceftriaxone combinations | ||||
Cefuroxime | ||||
Cephalexin |
Carbapénèmes | Dérivés de nitroimidazole | Macrolides | Tétracyclines | Comprimés sulfamides et triméthoprime |
---|---|---|---|---|
Doripénème | Métronidazole | Azithromycine | Combinaisons de tétracyclines | Sulfadiazine et tétroxoprim |
Ertapenem | Clarithromycine | Déméclocycline | Sulfadiazine et triméthoprime | |
imipénème | Érythromycine | Doxycycline | Sulfadimidine et triméthoprime | |
Imipénème et cilastatine | Éthylsuccinate d'érythromycine | Minocycline | Sulfaméthoxazole et triméthoprime | |
Méropénem | Tétracycline | Sulfamétrole et triméthoprime | ||
Tigécycline | Sulfamétrole et triméthoprime | |||
Sulfamétrole et triméthoprime |
Notes de bas de page
- Note de bas de page 1
-
ICD associées aux soins de santé (ICD-SS) selon les hôpitaux répondants du PCSIN uniquement : comprennent tous les cas détectés et potentiellement contractés dans un hôpital du PCSIN. ICD associée aux soins de santé conformément à la définition de cas à l'annexe C.
- Note de bas de page 2
-
Proportion calculée à partir des hôpitaux qui ont déclaré les deux cas, ICD associées aux soins de santé et ICD associées à la communauté.
- Note de bas de page 3
-
Données collectées en mars et avril de 2013 à 2017
- Note de bas de page 4
-
Décès liés directement ou indirectement à une ICD, 30 jours après la date du premier échantillon de laboratoire ou histopathologie positif. Les données sur la mortalité sont recueillies durant une période de deux mois (mars et avril chaque année) pour les adultes (âgés de 18 ans et plus) et toute l'année pour les enfants (âgés d'un an à moins de 18 ans). Chez les patients pédiatriques, aucun décès attribuable à une ICD-SS n'a été noté.
- Note de bas de page 5
-
Les isolats d'ICD sont recueillis durant une période de deux mois (mars et avril de chaque année) pour les adultes (âgés de 18 ans et plus) et toute l'année pour les enfants (âgés d'un an à moins de 18 ans uniquement chez les patients admis).
- Note de bas de page 6
-
Les autres types de la souche NAP comprennent NAP2, NAP3, NAP5, NAP6, NAP7, NAP8, NAP9, NAP10 et NAP12.
- Note de bas de page 7
-
ICD-AC selon les hôpitaux répondants du PCSIN uniquement à la définition de cas à l'annexe C.
- Note de bas de page 8
-
Comprend les infections décelées dans le sang ET les isolats cliniques, ainsi que les cas associés aux soins de santé et acquis dans la collectivité détectés chez les patients admis.
- Note de bas de page 9
-
Infections à SARM-SS : comprennent les cas décelés et potentiellement contractés dans les hôpitaux du PCSIN ou par une autre forme d’exposition aux soins de santé (hôpitaux non associés au PCSIN, cliniques, établissements de soins de longue durée, etc.) conformément à la définition à l’annexe C.
- Note de bas de page 10
-
Infections à SARM-AC comprennent tous les cas détectés chez les patients admis avec aucune antécédent de portage de l'organisme et aucune hospitalisation ou aucun séjour dans un établissement de soins de longue durée au cours des douze derniers mois et aucune utilisation signalée de dispositifs médicaux conformément à la définition de cas à l'annexe C.
- Note de bas de page 11
-
Le taux de mortalité toutes causes confondues est fondé sur le nombre de cas avec des données connexes sur les résultats après 30 jours.
- Note de bas de page 12
-
Les isolats de SARM provenant d’échantillons non sanguins (urine, voies respiratoires, plaie et site opératoire) sont recueillis de janvier à mars chaque année, tandis que les isolats provenant d’échantillons sanguins sont recueillis toute l’année.
- Note de bas de page 13
-
Les autres souches de 2013 à 2017 comprennent les suivantes : SARMC-1, SARMC-3/6, SARMC-4, SARMC-5, SARMC-8, ST72, ST88, ST97, ST398, ST772, ainsi que les souches américaines 700, 1000 et 1100 et des souches européennes.
- Note de bas de page 14
-
Nombre total d'isolats testés pour la ciprofloxacine = 271 (2014) 104 (2015)
- Note de bas de page 15
-
Nombre total d'isolats testés pour la clindomycine = 418 (2013), 572 (2014)
- Note de bas de page 16
-
Nombre total d'isolats testés pour la Mupirocine - résistance élevée = 608 (2015)
- Note de bas de page 17
-
Infections à ERV associées aux soins de santé : Comprennent tous les cas repérés par les hôpitaux participant au PCSIN et attribuable à une exposition dans tout autre milieu de soins de santé (hôpital ne participant pas au PCSIN, clinique, établissement de soins de longue durée, etc.), conformément à la définition de cas à l'annexe C.
- Note de bas de page 18
-
Les autres comprennent les suivants: ST16, ST17, ST78, ST80, ST154, ST252, ST262, ST282, ST414, ST494, ST584, ST664, ST665, ST734, ST736, ST772, ST787, ST835, ST836, ST912, ST982, ST983, ST984, ST992, ST1032, ST1112, ST1113, ST1265.
- Note de bas de page 19
-
Certains isolats sont sensibles ou modérément sensibles à la vancomycine, mais ils contenaient tous vanA ou vanB.
- Note de bas de page 20
-
La daptomycine n’a pas de point de cassure en ce qui concerne être modérément sensible ou résistante. Par conséquent, ces isolats ne sont pas sensibles.
- Note de bas de page 21
-
Le plus grand nombre d’infections déclaré dans la région du Centre est en grande partie attribué à un seul hôpital en 2013 et à un autre hôpital en 2016.
- Note de bas de page 22
-
Les taux de mortalité sont fondés sur les cas d’infection lorsque des données sur les résultats et la classification étaient accessibles.
- Note de bas de page 23
-
Comprennent les données pour tous les isolats soumis
- Note de bas de page 24
-
Le complexe Enterobacter cloacae comprend Enterobacter cloacae et autres Enterobacter spp., sauf E. aerogenes
- Note de bas de page 25
-
Les autres comprennent les suivants : Acinetobacter spp., Citrobacter spp., Klebsiella oxytoca, Kluyvera cryocrescens, Morganella morganii, Providencia rettgeri, Raoutella spp.
- Note de bas de page 26
-
Le dénominateur de cette antibiotique était de 130 car les valeurs de CMI n'étaient pas fournies dans tous les cas en raison des algorithmes vitek Tous les isolats étaient résistants à l'ampicilline et tous sauf un à la céfazoline.
- Note de bas de page 27
-
Comprennent les données pour tous les isolats APC soumis
- Note de bas de page 28
-
Comprennent les données pour tous les isolats EPC soumis
- Note de bas de page 29
-
On trouve cet enzyme uniquement dans Serratia marcescens
- Note de bas de page 30
-
Un isolat en 2013, deux isolats en 2014, un isolat en 2015, deux isolats en 2016 et 5 isolats en 2017 contenaient à la fois NDM et OXA-48
- Note de bas de page 31
-
Un isolat en 2015 contenait OXA-58 et NDM
- Note de bas de page 32
-
Tous les types de patients incluent les patients hospitalisés et les patients ambulatoires, tous les types de spécimens comprennent l'urine, le sang et toute autre source par ex. plaie et respiratoire etc.
- Note de bas de page 33
-
La collecte de données sur l'antibiogramme était un projet pilote en 2015
- Note de bas de page 34
-
Comprennent les hôpitaux qui participent ou non au PCSIN
- Note de bas de page 35
-
Comprend uniquement les DJD et les jours-patients adultes
- Note de bas de page 36
-
Dans un hôpital, les données soumises pour 2014 proviennent de l'exercice financier. Dans un hôpital, seules des données disponibles sur 9 mois étaient disponibles
- Note de bas de page 37
-
Les comptes qui combinent des USI et non-USI ont été exclus
- Note de bas de page 38
-
Comprend uniquement les jours DJD adultes et les jours-patients adultes.
- Note de bas de page 39
-
Les comptes des hôpitaux qui ne séparent pas les USI et non-USI ont été exclus des types de services USI et non-USI.
- Note de bas de page 40
-
En 2014: sur un site, les données soumises pour 2014 proviennent de l'exercice financier; sur un site, seulement 9 mois de données étaient disponibles.
- Note de bas de page 41
-
Les classes d'antibiotiques présentées représentent 94 à 95 % des DJD annuelles. La classification par classe d'antibiotiques est basée sur le système de classification anatomique, thérapeutique et chimique établi par le Centre collaborative de l’OMS 2016; voir l'annexe D pour les antimicrobiens inclus dans chaque catégorie.
- Note de bas de page 42
-
En 2014: sur un site, les données soumises pour 2014 proviennent de l'exercice financier; sur un site, seulement 9 mois de données étaient disponibles.
- Note de bas de page 43
-
Pour les glycopeptides et les dérivés de nitroimidazole, la classe d’antibiotiques ne comprend qu’un seul antibiotique (vancomycine et métronidazole, respectivement).
- Note de bas de page 44
-
Sept hôpitaux classés adultes sont des hôpitaux pour adultes dotés d'une USIN
- Note de bas de page 45
-
Adapté à partir des pratiques exemplaires recommandées par SHEA/IDSA « Strategies to Prevent Clostridium difficile Infections in Acute Care Hospitals: 2014 Update », qu’on trouve à l’adresse http://www.jstor.org/stable/10.1086/676023?origin=JSTOR-pdf
- Note de bas de page 46
-
Ceci inclut toutes vos cliniques externes (oncologie [y compris chimiothérapie ou radiothérapie], dialyse, chirurgie d'un jour, hôpital de jour, clinique de transfusion, radiologie interventionnelle), mais peut ne pas être exhaustif.
- Note de bas de page 47
-
Exposition liée aux soins de santé: le patient a eu au moins deux visites à l’un des endroits suivants (oncologie [y compris chimiothérapie ou radiothérapie], dialyse, chirurgie d’un jour, hôpital de jour, centre de transfusion, radiologie interventionnelle ou service d’urgence) OU a effectué une seule visite à l’urgence qui a durée plus de ou égal à 24 heures.
- Note de bas de page 48
-
Comprend les urgences et les patients ambulatoires dont le test de dépistage du SARM a été positif, puis admis par la suite ou admis, mais toujours aux urgences en attente d'un lit dans un pavillon.
- Note de bas de page 49
-
Par exemple, patient identifié en 2014 avec une infection respiratoire à SARM. Même patient admis en 2017 et identifié avec une infection à SARM ISO. Le patient serait considéré comme une nouvelle infection en 2017
- Note de bas de page 50
-
L'infection SARM est déterminée à l'aide des définitions de surveillance 2017 du CDC / NHSN pour des infections spécifiques et conformément au jugement des praticiens des soins de santé et / ou de l'IPC. Les critères d’infection CDC / NHSN peuvent être consultés à l’adresse https://www.cdc.gov/nhsn/PDFs/pscManual/17pscNosInfDef_current.pdf.
- Note de bas de page 51
-
Il faut tenir compte de la fréquence et de la nature de l’exposition dans un milieu de soins de santé. Par exemple, les patients pédiatriques qui ont visité une clinique au cours des douze derniers mois peuvent être considérés ou non comme des cas associés aux soins de santé.
- Note de bas de page 52
-
Le premier jour civil est le jour de l’admission à l’hôpital.
- Note de bas de page 53
-
Il faut tenir compte de la fréquence et de la nature de l'exposition dans un établissement de santé. Par exemple, les patients pédiatriques ayant eu des visites à la clinique pour otite moyenne, asthme, bébé en bonne santé, etc. au cours des 12 derniers mois peuvent être considérés ou non comme des AH, alors que les patients pédiatriques ayant des visites à la clinique impliquant des procédures invasives ou une chirurgie d'un jour risquent davantage être considéré comme HA.
- Note de bas de page 54
-
Le premier jour du calendrier est le jour de l'admission à l'hôpital.
- Note de bas de page 55
-
Clinical and Laboratory Standards Institute. 2016. Performance standards for antimicrobial susceptibility testing; 25th informational supplement, M100-S27 (December 2016). Clinical and Laboratory Standards, Wayne, PA.
- Note de bas de page 56
-
Source: Indice ATC / DJD de l'OMS 2016
- Note de bas de page 57
-
Le tableau ne comprend que les dix principales classes d'antibiotiques en 2016
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