Évaluation de substance dangereuse - Acide acétique

Identification

Nom chimique :

Acide acétique

N° CAS :

64-19-7

Composition chimique :

CH₃COOH

Synonymes :

Acide méthanecarboxylique; acide de vinaigre; acide éthanoïque monomère.

N° ONU :

2789 pour l’acide glacial ou l’acide à plus de 80 % en poids ^{Note de bas de page 1}; 2790 pour la solution à plus de 10 % mais pas à plus de 80 % en poids ^{Note de bas de page 1}.

Pictogrammes :

Figure 1 - Description du texte

Le symbole à l’intérieur du pictogramme représente un contenant duquel s’écoule un liquide sur une pièce de métal et un autre contenant duquel s’écoule un liquide sur une main. Ce symbole indique que les produits dangereux affichant ce pictogramme peuvent :

• endommager ou détruire le métal
• causer des lésions cutanées irréversibles (par exemple, brûlures, ampoules, cicatrices)
• produire une lésion des tissus oculaires ou une perte de la vue qui est irréversible ou qui n’est pas totalement réversible dans les 21 jours suivants

Figure 2 - Description du texte

Le symbole à l’intérieur du pictogramme représente une flamme au-dessus d’un trait. Ce symbole indique que les produits dangereux affichant ce pictogramme peuvent s’enflammer facilement et brûler rapidement s’ils ne sont pas entreposés et manipulés correctement.

Figure 3 - Description du texte

Le symbole dans le pictogramme est un crâne humain avec 2 tibias croisés derrière. Le symbole indique que les produits dangereux avec ce pictogramme peuvent causer la mort ou l’empoisonnement.

Classification du SIMDUT

Dangers pour la santé :

Toxicité aiguë (par inhalation) – catégorie 3

Corrosion cutanée – catégorie 1

Lésions oculaires graves – catégorie 1

Dangers physiques :

Liquides inflammables – catégorie 3

Dangers pour la santé

Toxicité aiguë (voie orale) :

Ne répond pas aux critères

Dose létale médiane (DL₅₀) : 3 530 mg/kg (rat)^{note de bas de page 2}.

Les données existantes ne répondent pas aux critères de classification pour la Toxicité aiguë (voie orale).

Toxicité aiguë (voie cutanée) :

Ne répond pas aux critères

Une DL₅₀ de 1 060 mg/kg (lapin) a été rapportée ^{note de bas de page 3}; cependant, cette donnée provient d’une source secondaire dans laquelle aucun détail de l’étude n’est fourni. Cette donnée est donc insuffisante pour la classification.

Les données disponibles ne répondent pas aux critères de classification pour la Toxicité aiguë (voie cutanée).

Toxicité aiguë (par inhalation – gaz) :

Sans objet

L’acide acétique n’est pas un gaz. Les critères de classification de pour la Toxicité aiguë (par inhalation – gaz) ne s’appliquent pas à cette substance.

Toxicité aiguë (par inhalation - vapeurs) :

Catégorie 3

Concentration létale médiane (CL₅₀) : >8,5 mg/L, 4 heures (rat mâle)^{note de bas de page 4}.

Dans une étude conforme à la ligne directrice n° 403 de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), la CL₅₀ a été rapportée comme étant de >8,5 à <9,9 mg/L chez les rats mâles exposés à des vapeurs pendant 4 heures (d’après le résumé de l’étude ^{note de bas de page 4}). Les auteurs ont noté une corrosion des voies respiratoires.

Les données existantes répondent aux critères de classification de la catégorie Toxicité aiguë (par inhalation – vapeurs) – catégorie 3 [8.1.1(1) du RPD].

Toxicité aiguë (par inhalation – poussières et brouillards) :

Aucune donnée disponible.

Corrosion cutanée / irritation cutanée :

Catégorie 1

Données chez l’humain : Dans un test épicutané de 4 heures sur des humains, l’acide acétique à 10 % était légèrement irritant pour la peau intacte et abrasée ^{note de bas de page 4}. Les observations comprenaient un érythème faible à modéré accompagné d’un œdème et d’effets de surface comme un aspect luisant et la desquamation. Aucun dommage cutané grave et irréversible n’a été constaté.

Données chez les animaux : Dans des études menées de manière similaire à la ligne directrice n° 404 de l’OCDE, l’application de 0,5 ml d’acide acétique à 60 %, 70 % et 80 % sur de la peau intacte de lapin dans des conditions semi-occlusives pendant 4 heures a entraîné la formation d’escarres qui ont persisté jusqu’au 14e jour, avec un léger relâchement des bords de la croûte^{note de bas de page 5note de bas de page 6note de bas de page 7}. Dans une autre étude, l’acide acétique glacial (équivalent à 95 % d’acide acétique) a provoqué la destruction complète de la peau de cobayes après 24 heures de contact (d’après le résumé de l’étude^{note de bas de page 3}). Dans une autre étude menée de manière similaire à la ligne directrice n° 404 de l’OCDE, dans laquelle l’acide acétique a été appliqué sur la peau de lapins à 20 % et 25 % pendant 4 heures, l’acide acétique à 20 % était modérément irritant (d’après le résumé de l’étude^{note de bas de page 4}); cependant, les cotes moyennes (24-48-72 heures) de <2,3/4 pour l’érythème et l’œdème ne répondent pas aux critères de classification de la catégorie 2. À 25 %, on a observé un érythème grave, avec une cote moyenne de 3,92/4, et un œdème grave, avec une cote moyenne de 2,83/4. On a observé des lésions et la formation d’escarres chez 3/3 des animaux, ce qui satisfait aux critères de classification de la catégorie 1. Les informations disponibles étaient insuffisantes pour une sous-catégorisation. Dans une autre étude, une exposition de 4 heures à des solutions aqueuses d’acide acétique à 3,3 % et 10 % sur la peau de lapins n’était pas irritante^{note de bas de page 8}.

Des données animales générées à dessein démontrent que l’acide acétique à une concentration supérieure à 20 % est une substance corrosive pour la peau. L’acide acétique à une concentration de ≤ 20 % ne satisfait pas aux critères de classification pour l’irritation cutanée.

Les données disponibles répondent aux critères de classification de la catégorie Corrosion cutanée - catégorie 1 [RPD 8.2.2(2)].

Lésions oculaires graves / Irritation oculaire :

Catégorie 1

Données chez l’humain : Des lésions oculaires graves et permanentes ont été signalées chez des humains qui ont utilisé par erreur de l’acide acétique au lieu des gouttes prescrites ^{note de bas de page 9}. Le vinaigre, qui contient 4 à 10 % d’acide acétique, a été signalé comme provoquant des douleurs, une hyperémie conjonctivale et parfois une opacité permanente de la cornée humaine^{note de bas de page 10}.

Données chez les animaux : Dans une étude menée de manière similaire à la ligne directrice n° 405 de l’OCDE, l’administration de 0,1 ml de solutions d’acide acétique à 3 % et 10 % dans les yeux de lapins a entraîné une corrosion ^{note de bas de page 10}. Dans une autre étude préalable à une directive menée sur des lapins, un excès d’une solution d’acide acétique à 1 % a provoqué une nécrose visible après coloration, couvrant les 3/4 de la cornée, et une nécrose plus grave couvrant une zone plus petite de la cornée, avec une dose aussi faible que 0,005 mL^{note de bas de page 2}. Une dose de 0,1 ml d’acide acétique à 5 % a produit un pannus dans les yeux non rincés de 2/9 lapins et dans les yeux rincés de 3/9 lapins ^{note de bas de page 11}.

Les données disponibles répondent aux critères de classification de la catégorie Lésions oculaires graves - catégorie 1 [RPD 8.3.2(1)].

Sensibilisation respiratoire :

Aucune donnée disponible.

Sensibilisation cutanée :

Aucune donnée disponible

Mutagénicité sur les cellules germinales :

Ne répond pas aux critères

In vivo : Il n’existe aucune donnée disponible sur l’acide acétique. Un essai de micronoyau sur les érythrocytes de mammifères s’est révélé négatif pour l’anhydride acétique, le produit de déshydratation de l’acide acétique, lorsqu’il a été testé sur des rats par inhalation (d’après le résumé de l’étude^{note de bas de page 4}).

In vitro : Dans un essai d’Ames réalisé de manière similaire à la ligne directrice n° 471 de l’OCDE, des résultats négatifs ont été obtenus dans des cellules bactériennes de Salmonella typhimurium, souches TA97, TA1535, TA100, TA1537 et TA98, avec et sans activation métabolique ^{note de bas de page 12 note de bas de page 13}. Dans un essai d’aberration chromosomique réalisé de manière similaire à la ligne directrice n° 473 de l’OCDE, des résultats négatifs ont été obtenus dans des cellules d’ovaires de hamster chinois avec de l’acide acétique, à la fois en présence et en l’absence d’activation métabolique^{note de bas de page 14}. L’acide acétique s’est révélé négatif lors d’un test d’aberration chromosomique mené de manière similaire à la ligne directrice n° 473 de l’OCDE sur des cellules de fibroblastes pulmonaires de hamster chinois en l’absence d’activation métabolique ^{note de bas de page 13}.

Les données existantes ne répondent pas aux critères de classification de la classe de danger Mutagénicité sur les cellules germinales.

Cancérogénicité :

Ne répond pas aux critères

Une étude de 8 mois sur des rats gavés avec de l’acide acétique à 3 % n’a pas révélé d’induction de tumeurs ^{note de bas de page 15}.

Une application cutanée hebdomadaire d’acide acétique chez des souris à 667 µmol pendant 32 semaines n’a pas entraîné de réponse cancérogène significative (réponse tumorale maximale de 0,73 papillomes/souris). Les animaux ont pu tolérer des doses élevées lorsqu’ils avaient suffisamment de temps (1 semaine) pour se rétablir entre les doses. On a conclu que l’acide acétique était un faible promoteur potentiel de tumeurs; cependant, il est impossible d’établir une corrélation claire entre la stimulation de la synthèse macromoléculaire ou de l’hyperplasie et la promotion des tumeurs en comparant les esters de phorbol (12,13-ditetradecanoate de phorbol, un faible promoteur de tumeurs) et l’acide acétique^{note de bas de page 16}. Comme d’autres facteurs interviennent dans la promotion des tumeurs, ces données sont insuffisantes pour une classification.

L’acide acétique n’a pas été examiné par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), le National Toxicology Program (NTP) ou l’American Conference of Governmental Industrial Hygienists (ACGIH).

Les données existantes ne répondent pas aux critères de classification de la classe de danger Cancérogénicité.

Toxicité pour la reproduction :

Ne répond pas aux critères

Une étude conçue de manière similaire à la méthode UE B.31 (étude de toxicité pour le développement prénatal) a été menée chez des souris, des rats et des lapins exposés à 0, 16, 74,3, 345 ou 1600 mg/kg/jour d’acide acétique (aux jours 6-15 de la gestation chez les souris et les rats et aux jours 6-18 chez les lapins) pendant 13 jours consécutifs. Aucun signe significatif de toxicité maternelle ou fœtale n’a été signalé (d’après les résumés des études ^{note de bas de page 3}).

Les données existantes ne répondent pas aux critères de classification de la classe de danger Toxicité pour la reproduction.

Toxicité pour certains organes cibles – exposition unique :

Ne répond pas aux critères

Exposition par voie orale : Chez l’homme, l’acide acétique à 80-100 % a provoqué de graves lésions corrosives des voies gastro-intestinales et respiratoires^{note de bas de page 17note de bas de page 18note de bas de page 19note de bas de page 20note de bas de page 21}. Les effets secondaires consécutifs à l’ingestion de concentrations industrielles/commerciales d’acide acétique comprennent une acidose métabolique, entraînant une nécrose du foie, une hémolyse, un infarctus du myocarde et des lésions rénales. L’acide acétique étant une substance corrosive pour la peau, les effets peuvent être secondaires en sus de sa nature corrosive. Les données existantes ne répondent pas aux critères de classification.

Exposition par voie cutanée : Aucune donnée disponible

Exposition par inhalation : L’inhalation accidentelle de fortes concentrations d’acide acétique sur un lieu de travail a provoqué une gêne nasale, notamment des brûlures, une irritation ou un écoulement nasal^{note de bas de page 22}. D’autres incidents d’exposition accidentelle montrent des patients présentant une irritation de la gorge, une hyperréactivité des voies respiratoires, un essoufflement, une toux, une respiration sifflante et des lésions pulmonaires réversibles lors d’une exposition accidentelle à l’acide acétique glacial^{note de bas de page 23note de bas de page 24}. L’exposition par inhalation chez les souris et les cobayes a provoqué une irritation réversible des voies respiratoires supérieures^{note de bas de page 25note de bas de page 26}. Comme l’acide acétique est une substance corrosive pour la peau, les effets peuvent être secondaires en sus de sa nature corrosive.

Les données existantes ne répondent pas aux critères de classification de la classe de danger Toxicité pour certains organes cibles – exposition unique.

Toxicité pour certains organes cibles – expositions répétées :

Ne répond pas aux critères

Exposition par voie orale : Dans une étude non conforme aux bonnes pratiques de laboratoire et aux lignes directrices, dont l’objectif principal était de signaler les effets préventifs possibles du vinaigre alimentaire sur la pression artérielle, des rats mâles souffrant d’hypertension ont reçu un régime alimentaire contenant environ 290 mg/kg de vinaigre pendant 8 semaines (d’après le résumé de l’étude^{note de bas de page 4}). Aucun effet nocif n’a été observé. La substance testée a fait baisser de manière significative la pression sanguine. Les données existantes ne répondent pas aux critères de classification.

Exposition par voie cutanée : Aucune donnée disponible

Exposition par inhalation : 5 travailleurs ont été exposés à 82 et 265 ppm (cités comme pouvant atteindre 0,200 et 0,650 mg/L) d’acide acétique au cours de phases de travail particulières pendant 7 à 12 ans^{note de bas de page 27}. Une bronchite chronique (de type asthmatique dans 3 cas et emphysème dans 1 cas) a été observée. À des expositions à 5 ppm ou 10 ppm d’acide acétique, aucune preuve d’un effet irritant sur la fonction pulmonaire, le gonflement nasal ou la résistance des voies aériennes nasales n’a été trouvée dans une autre étude sur des humains (d’après le résumé de l’étude^{note de bas de page 4}). Aucune donnée sur les animaux n’est disponible. Il n’y a pas suffisamment de données probantes chez les humains pour satisfaire aux critères de classification.

Les données existantes ne répondent pas aux critères de classification de la classe de danger Toxicité pour certains organes cibles – expositions répétées.

Danger par aspiration :

Aucune donnée disponible

Il n’existe aucune donnée sur l’humain pour l’acide acétique. Cette substance n’est pas un hydrocarbure liquide.

Matières infectieuses présentant un danger biologique :

Sans objet.

L’acide acétique n’est ni un micro-organisme, ni protéine ni acide nucléique.

Dangers physiques

Matières et objets explosibles :

Non évalués*

* Les explosifs sont exclus de la LPD et de ses règlements. Les matières explosives sont réglementées aux termes de la Loi sur les explosifs. Pour plus de plus amples renseignements, visitez le site Ressources naturelles Canada.

Gaz inflammables :

Sans objet

L’acide acétique n’est pas un gaz. Les critères de classification des Gaz inflammables ne s’appliquent pas à cette substance.

Aérosols (inflammables) :

Non évalué

La classification d’un produit dangereux dans la classe de danger Aérosols inflammables ou Aérosols dépend du produit.

Gaz comburants :

Sans objet

L’acide acétique n’est pas un gaz. Les critères de classification des Gaz comburants ne s’appliquent pas à cette substance.

Gaz sous pression :

Sans objet.

L’acide acétique n’est pas un gaz. Les critères de classification des Gaz sous pression ne s’appliquent pas à cette substance.

Liquides inflammables :

Catégorie 3

L’acide acétique a un point d’éclair de 39 °C, en vase clos ^{note de bas de page 1}.

Les données existantes répondent aux critères de classification de la catégorie Liquides inflammables – catégorie 3 [RPD 7.6.1(2)].

Matières solides inflammables :

Sans objet

L’acide acétique n’est pas un solide. Les critères de classification des Matières solides inflammables ne s’appliquent pas à cette substance.

Matières autoréactives :

Ne répond pas aux critères

L’acide acétique a une température d’auto-inflammation de 465 °C ^{note de bas de page 1}. Les matières autoréactives doivent présenter une température de décomposition auto-accélérée (TDAA) de ≤75 °C pour satisfaire aux critères minimaux de classification dans cette classe de danger.

Les données existantes ne répondent pas aux critères de classification des Matières autoréactives.

Liquides pyrophoriques :

Ne répond pas aux critères

L’acide acétique a une température d’auto-inflammation de 465 °C ^{note de bas de page 1}. Les liquides pyrophoriques réagissent à la température ambiante.

Les données existantes ne répondent pas aux critères de classification des Liquides pyrophoriques.

Matières solides pyrophoriques :

Sans objet

L’acide acétique n’est pas un solide. Les critères de classification des Matières solides pyrophoriques ne s’appliquent pas à cette substance.

Matières auto-échauffantes :

Ne répond pas aux critères

L’acide acétique a une température d’auto-inflammation de 465 °C ^{note de bas de page 1}, ce qui est bien supérieur à la température maximale d’inflammation spontanée de 140 °C pour la classification.

Les données existantes ne répondent pas aux critères de classification de la classe de danger Matières auto-échauffantes.

Matières qui, au contact de l’eau, dégagent des gaz inflammables :

Sans objet

L’acide acétique présente une structure chimique qui ne contient pas de métaux ni de métalloïdes et, par conséquent, n’a pas besoin d’être classé [7.12.1(1) du RPD].

Liquides comburants :

Sans objet

L’alinéa 7.13.1(1)(b) du RPD exclut de la classification tout liquide organique qui contient de l’oxygène, du fluor ou du chlore si ces éléments sont chimiquement liés uniquement au carbone ou à l’hydrogène. L’acide acétique contient de l’oxygène qui n’est chimiquement lié qu’au carbone et à l’hydrogène.

Matières solides comburantes :

Sans objet

L’acide acétique n’est pas un solide. Les critères de classification des Matières solides comburantes ne s’appliquent pas à cette substance.

Peroxydes organiques :

Sans objet

L’acide acétique n’est pas un peroxyde organique. Les critères de classification des Peroxydes organiques ne s’appliquent pas à cette substance.

Matières corrosives pour les métaux :

Aucune donnée disponible

Aucune donnée n’est disponible pour déterminer si l’acide acétique répond aux critères de classification de la classe de danger Matières corrosives pour les métaux; cependant, il est recommandé d’entreposer l’acide acétique glacial dans des récipients en aluminium et en acier inoxydable^{note de bas de page 1}.

Poussières combustibles :

Sans objet

L’acide acétique n’est pas un solide. Les critères de classification des Poussières combustibles ne s’appliquent pas à cette substance.

Asphyxiants simples :

Sans objet

L’acide acétique n’est pas un gaz. Les critères de classification des Asphyxiants simples ne s’appliquent pas à cette substance.

Gaz pyrophoriques :

Sans objet

L’acide acétique n’est pas un gaz. Les critères de classification des Gaz pyrophoriques ne s’appliquent pas à cette substance.

Produits chimiques sous pression

Non évalué

La classification d’un produit dangereux dans la classe de danger Produits chimiques sous pression dépend du produit.

Renseignements sur la réglementation et autres renseignements

Renseignements sur la réglementation :

Les évaluations des substances dangereuses sont préparées par Santé Canada en tant que ressources éducatives et informatives. En vertu de la LPD, les fournisseurs de produits dangereux doivent, lors de la vente ou de l’importation d’un produit dangereux, fournir une étiquette et une fiche de données de sécurité qui répondent aux exigences énoncées dans le RPD.

Autres renseignements :

Les données et les classifications contenues dans ces évaluations des substances dangereuses sont basées sur des sources accessibles au public, telles que la littérature évaluée par des pairs ou les rapports d’organismes internationaux. De nouvelles données, y compris des informations exclusives, pourraient avoir un impact sur la classification des substances ou des produits dangereux qui les contiennent. Il est de la responsabilité du fournisseur de s’assurer de l’exactitude, de la suffisance et de la fiabilité de ses classifications de produits dangereux.

Dernière mise à jour :

2022

Préparé par :

Bureau des matières dangereuses utilisées au travail, Santé Canada