Guide sur la partie VII de la Loi sur les langues officielles : Appui aux communautés et promotion du français et de l’anglais
Attention : cet outil est en révision pour refléter les changements à la partie VII dans la Loi sur les langues officielles modernisée. Veuillez diriger vos questions à OLCEInformationCELO@tbs-sct.gc.ca
Sur cette page
- L'article 41 de la Loi sur les langues officielles
- Mise en contexte des langues officielles au Canada
- Les obligations des institutions fédérales
- Renseignements
- Liens connexes
- Outils et ressources sur les langues officielles
Le présent guide permet d'expliquer les obligations et le rôle des institutions fédérales pour favoriser le développement et l'épanouissement des communautés de langue officielle en situation minoritaire (CLOSM ou communautés) ainsi que promouvoir la pleine reconnaissance et l'usage du français et de l'anglais dans la société canadienne, comme prévu dans le cadre de la partie VII de la Loi sur les langues officielles.
Avis aux lecteurs
Le présent document vise à aider les institutions fédérales à identifier, dans le cadre de leur mandat, des pistes d’action liées à la mise en œuvre de l’Article 41 de la Loi sur les langues officielles. Il ne constitue pas un avis juridique. Pour obtenir un tel avis, veuillez consulter les services juridiques de votre institution fédérale, qui, au besoin, pourront communiquer avec la Direction des langues officielles de Justice Canada.
Questions ou commentaires:
portail41-gateway41@pch.gc.ca
L'article 41 de la Loi sur les langues officielles
En vertu de l'article 41 (partie VII de la Loi sur les langues officielles), le gouvernement du Canada s'engage :
- à favoriser l'épanouissement des communautés francophones et anglophones en situation minoritaire au Canada
- à appuyer leur développement
- à promouvoir la pleine reconnaissance et l'usage du français et de l'anglais dans la société canadienne
Cet engagement vise toutes les institutions fédérales, qui doivent veiller à ce que soient prises des mesures positives pour le mettre en œuvre. Les institutions fédérales doivent tenir compte de cet engagement durant tout leur cycle d'activités :
- lors de la planification stratégique
- lors de l'élaboration de politiques et de programmes
- lors de la mise en œuvre et de l'évaluation des politiques et des programmes
Dans tous les cas, les institutions fédérales doivent s'assurer :
- de demeurer à l'écoute des communautés de langue officielle en situation minoritaire
- de déterminer si leurs actions ont une incidence sur ces communautés ou sur la promotion des 2 langues officielles
Vue d'ensemble de l'article 41 dans le contexte de la Loi sur les langues officielles
Figure 1 : Diagramme présentant une vue d'ensemble de l'article 41 dans le contexte de la Loi sur les langues officielles

Description de la figure 1 : Diagramme présentant une vue d'ensemble de l'article 41 dans le contexte de la Loi sur les langues officielles
Sous la forme d'un diagramme, l'illustration présente une vue d'ensemble qui permet de mettre en contexte l'article 41 par rapport aux autres éléments de la Loi sur les langues officielles.
La Loi sur les langues officielles compte notamment les 10 parties suivantes :
- Partie I : Débats et travaux parlementaires
- Partie II : Actes législatifs et autres
- Partie III : Administration de la justice
- Partie IV : Communications avec le public et prestation des services
- Partie V : Langue de travail
- Partie VI : Participation des Canadiens d'expression française et d'expression anglaise
- Partie VII : Promotion du français et de l'anglais
- Partie VIII : Attributions et obligations du Conseil du Trésor en matière de langues officielles
- Partie IX : Commissaire aux langues officielles
- Partie X : Recours judiciaire
La Partie VII de la Loi traite de la promotion du français et de l'anglais et comporte les articles suivants :
- Article 41 : Engagement et obligations des institutions fédérales
- Article 42 : Coordination (Patrimoine canadien)
- Article 43 : Mise en œuvre et consultation (Patrimoine canadien)
- Article 44 : Rapport annuel (Patrimoine canadien)
- Article 45 : Consultation et négociations avec les provinces
L'article 41 présente les engagements et les obligations des institutions fédérales, dont les paragraphes suivants :
- 41(1) Engagement du gouvernement : Le gouvernement fédéral s'engage à favoriser l'épanouissement des minorités francophones et anglophones du Canada et à appuyer leur développement, ainsi qu'à promouvoir la pleine reconnaissance et l'usage du français et de l'anglais dans la société canadienne.
- 41(2) Obligations des institutions fédérales : Il incombe aux institutions fédérales de veiller à ce que soient prises des mesures positives pour mettre en œuvre cet engagement. Il demeure entendu que cette mise en œuvre se fait dans le respect des champs de compétence et des pouvoirs des provinces.
- 41(3) Règlements : Le gouverneur en conseil peut, par règlement visant les institutions fédérales autres que le Sénat, la Chambre des communes, la bibliothèque du Parlement, le bureau du conseiller sénatorial en éthique, le bureau du commissaire aux conflits d'intérêts et à l'éthique, le Service de protection parlementaire ou le bureau du directeur parlementaire, fixer les modalités d'exécution des obligations que la présente partie leur impose.
La partie X qui porte sur les recours judiciaires comporte notamment le paragraphe 77(1) qui se lit comme suit :
- Quiconque a saisi le commissaire [aux langues officielles] d'une plainte visant une obligation ou un droit prévus aux articles 4 à 7 et 10 à 13 ou aux parties IV, V ou VII, ou fondée sur l'article 91, peut former un recours devant le tribunal sous le régime de la présente partie.
Pour en apprendre davantage, veuillez consulter :
Mise en contexte des langues officielles au Canada
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Aperçu de l'évolution de la politique canadienne sur les langues officielles
- 1969 : Première Loi sur les langues officielles
- Fait du français et de l'anglais les langues officielles du Canada pour tout ce qui relève du Parlement et du gouvernement du Canada
- 1982 : Charte canadienne des droits et libertés – Articles 16 à 23
- Accorde le statut de langues officielles du Canada au français et à l'anglais
- Offre des garanties linguistiques sur le plan parlementaire, législatif et judiciaire et en matière de prestation de services et de communications avec le public
- Accorde le droit à l'instruction dans la langue de la minorité francophone et anglophone
- 1988 : Nouvelle Loi sur les langues officielles
- Reflète et met en œuvre les garanties linguistiques de la Charte
- Présente l'engagement du gouvernement du Canada à favoriser l'épanouissement et le développement des minorités francophones et anglophones et à promouvoir la reconnaissance et l'usage du français et de l'anglais dans la société canadienne tel qu'énoncé dans la partie VII de la Loi sur les langues officielles
- 2005 : Loi modifiant la Loi sur les langues officielles
- Oblige toutes les institutions fédérales à prendre des mesures positives pour mettre en œuvre l'engagement du gouvernement du Canada énoncé au paragraphe 41(1)
Les langues officielles au Canada en 2016
Province ou territoire | Population de langue française | Population de langue anglaise | Population bilingue (français et anglais) |
---|---|---|---|
Terre-Neuve et Labrador | 2 428 (0,5 %) | 512 523 (99,4 %) | 25 940 (5 %) |
Île-du-Prince-Édouard | 4 665 (3,3 %) | 135 130 (95,8 %) | 17 840 (12,7 %) |
Nouvelle-Écosse | 29 368 (3,2 %) | 880 348 (96,5 %) | 95 380 (10,5 %) |
Nouveau-Brunswick | 234 055 (31,8 %) | 499 970 (67,9 %) | 249 955 (33,9 %) |
Québec | 6 890 305 (85,4 %) | 1 103 475 (13,7 %) | 3 586 410 (44,5 %) |
Ontario | 550 595 (4,1 %) | 12 440 795 (93,4 %) | 1 490 395 (11,2 %) |
Manitoba | 40 978 (3,2 %) | 1 204 798 (95,5 %) | 108 455 (8,5 %) |
Saskatchewan | 14 440 (1,3 %) | 1 061 110 (98 %) | 51 360 (4,7 %) |
Alberta | 79 838 (2 %) | 3 888 983 (96,6 %) | 264 715 (6,6 %) |
Colombie-Britannique | 64 323 (1,4 %) | 4 382 328 (95,3 %) | 314 925 (6,8 %) |
Yukon | 1 635 (4,6 %) | 33 785 (95 %) | 4 900 (13,8 %) |
Territoires du Nord-Ouest | 1 240 (3 %) | 39 950 (96,5 %) | 4 275 (10,3 %) |
Nunavut | 630 (1,8 %) | 33 040 (92,6 %) | 1 525 (10,3 %) |
Total | 7 914 498 (22,8 %) | 26 216 233 (75,4 %) | 6 216 075 (17,9 %) |
Remarque : Les populations de langue française et anglaise ont été calculées selon la définition de la première langue officielle parlée établie dans le Règlement sur les langues officielles — Communications avec le public et prestation des services (DORS/92-48).
Source : Direction générale des langues officielles de Patrimoine canadien, novembre 2017. D'après les données du recensement du Canada de 2016, Statistique Canada, échantillon de 100 %.
Les communautés de langue officielle en situation minoritaire
De façon générale, on entend par « communautés de langue officielle en situation minoritaire » (ou CLOSM), les anglophones du Québec et les francophones du reste du Canada.
Ces communautés sont souvent représentées par des organisations nationales et régionales telles que :
- la Fédération des communautés francophones et acadienne du Canada
- le Quebec Community Groups Network
Elles s'efforcent de faire connaître, entre autres :
- la réalité de leurs communautés
- leurs priorités en matière de développement
- les formes d'appui dont elles ont besoin
Elles sont représentées à l'échelle du pays dans des secteurs prioritaires comme :
- la culture
- la santé
- le développement économique
- l'immigration
- les communications
Voici, à titre d'exemples, des organismes des communautés de langue officielle en situation minoritaire représentant divers secteurs d'activités :
- Association de la presse francophone (APF)
- Association des juristes d'expression anglaise du Québec
- Corporation d'employabilité et de développement économique communautaire (CEDEC)
- English-Language Arts Network (ELAN)
- Fédération culturelle canadienne-française (FCCF)
- Fédération de la jeunesse canadienne-française (FJCF)
- Fédération des aînées et aînés francophones du Canada (FAAFC)
- Fédération des associations de juristes d'expression française de common law inc. (FAJEFCL)
- Réseau communautaire de santé et de services sociaux (RCSSS/CHSSN)
- Réseau de développement économique et d'employabilité (RDÉE Canada)
- Société Santé en français (SSF)
Les obligations des institutions fédérales
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Toutes les institutions fédérales doivent prendre des mesures positives en vue de favoriser le développement des communautés de langue officielle en situation minoritaire ainsi que de promouvoir la reconnaissance et l'utilisation du français et de l'anglais dans la société canadienne.
La Cour d'appel fédérale, dans l’affaire Fédération des francophones de la Colombie-Britannique c. Canada (Emploi et Développement social), 2022 CAF 14, a conclu que la prise de mesures positives se prête à une analyse en deux temps. Les institutions fédérales doivent d’abord être sensibles à la situation particulière des diverses minorités de langues officielles du pays et déterminer l’impact des décisions et des initiatives qu’elles sont appelées à prendre les concernant. Ensuite, dans la mise en œuvre de leurs décisions et initiatives, agir afin de favoriser l’épanouissement de ces minorités ou, dans la mesure où l’impact est négatif, pallier ou atténuer à ces répercussions négatives.
Tout au long du cycle des activités d’une institution, que ce soit lors de la planification stratégique, l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation de politiques et programmes, ou la reddition de comptes, l’institution devrait démontrer les incidences d’une initiative sur l’épanouissement des minorités de langues officielles. Si une décision avait des effets négatifs, l’institution fédérale devra pallier ces effets ou les atténuer, dans la mesure du possible.
Prendre des mesures positives
La Loi sur les langues officielles ne définit pas l'expression « mesure positive ». La mise en œuvre de mesures positives prend des formes diverses en fonction du mandat de chaque institution fédérale. Les intervenants de votre institution devraient avoir une compréhension commune de vos obligations aux termes de la Loi sur les langues officielles.
Votre institution peut établir que toute mesure qui contribue à l'épanouissement des communautés de langue officielle en situation minoritaire et à la reconnaissance des 2 langues officielles est une mesure positive. En demeurant à l'écoute des communautés et en faisant preuve de leadership, votre institution sera apte à déterminer des mesures positives. Il faut que votre institution soit sensible à la situation des diverses CLOSM au pays et détermine l'impact que ses décisions et ses initiatives peuvent avoir sur ces communautés. Cela signifie également que les institutions fédérales doivent, lorsqu'elles prennent des décisions et mettent en œuvre leurs initiatives, agir de manière à favoriser l'épanouissement de ces communautés ou, lorsque ces décisions et initiatives sont susceptibles d'avoir des répercussions négatives, agir de manière à contrer ou à atténuer ces répercussions négatives.
L’obligation de favoriser l’épanouissement des CLOSM fait appel à des gestes concrets. Si une décision est susceptible d’avoir des effets négatifs sur les CLOSM, des mesures doivent être prises afin d’atténuer ces effets négatifs. Cette obligation est continue. Cela veut dire que l’analyse avec la lentille langue officielle doit se faire au fil des décisions qui sont prises.
De plus, vous devriez optimiser le plein potentiel (services, politiques, programmes, expertise, installations, etc.) dont votre institution dispose pour remplir son mandat. Il pourrait s'agir de créer ou de modifier des programmes existants pour tenir compte des besoins des communautés ou examiner la possibilité de recourir à des organismes communautaires de la minorité pour la prestation de certains services ou programmes (ce qu'on appelle le « par et pour »).
Exploiter le plein potentiel de votre institution
Pour optimiser la contribution d'une institution et obtenir des résultats, il faut :
- connaître ses obligations
- maintenir le dialogue avec les communautés de langue officielle en situation minoritaire
- réseauter pour mieux se concerter
- déterminer son potentiel selon son mandat :
- services
- politiques
- programmes
- règlements
- commandites
- expertise
- installation
- recherche et développement
- autres initiatives
- établir des liens avec les priorités des communautés de langue officielle en situation minoritaire
- trouver des occasions de promouvoir la reconnaissance et l'usage des 2 langues officielles dans la société canadienne
Comment faciliter la mise en œuvre de l'article 41
Les institutions fédérales peuvent notamment agir dans les sphères d'activités suivantes :
- Sensibilisation et amélioration des connaissances
- Activités internes visant à informer les employés et les cadres à accroître leurs connaissances en ce qui a trait à la mise en œuvre de l'article 41 de la Loi sur les langues officielles.
- Consultations
- Mise en commun d'idées et d'information entre l'institution fédérale et les communautés afin qu'elles comprennent mieux leur mandat et leurs priorités respectives et puissent trouver des possibilités de développement des communautés.
- Communications
- Transmission d'information destinée à l'externe pour promouvoir le caractère bilingue du Canada, et transmission d'information aux communautés de langue officielle en situation minoritaire au sujet des activités, des programmes et des politiques des institutions fédérales qui pourraient les intéresser.
- Coordination et liaison
- Activités de réseautage, de coopération et de liaison (recherches conjointes, réunions, etc.), au sein de l'institution fédérale, avec d'autres institutions fédérales ou avec d'autres ordres de gouvernement.
- Financement et services
- Prestation de programmes et de services (ressources, contributions en nature, conseils, etc.), et financement à l'intention des communautés de langue officielle en situation minoritaire, par l'institution fédérale seule ou en collaboration.
- Intégration des besoins des communautés dans la planification des programmes et des services des institutions fédérales.
- Reddition de comptes
- Élaboration des plans d'action et des bilans sur les langues officielles, évaluations internes, et examens des politiques et des processus ministériels de l'institution fédérale.
Quelques exemples pour mettre en œuvre l'article 41
Voici quelques exemples de mesures positives prises par les institutions fédérales en appui à la mise en œuvre de l'article 41 selon leurs mandats respectifs :
- Le Plan d'action pour les langues officielles 2018-2023 : Investir dans notre avenir comporte une série d'initiatives représentant des exemples concrets de mesures positives.
- Dans le domaine de l'immigration, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada appuie les Réseaux en immigration francophone (RIF), un regroupement de près de 300 organismes et institutions partenaires. Ces réseaux sont issus des communautés francophones et acadienne et sont des acteurs de première ligne pour attirer, recruter, accueillir et intégrer les nouveaux arrivants d'expression française.
- Santé Canada finance le programme de formation linguistique Dialogue McGill offert par l'Université McGill pour améliorer la capacité des fournisseurs des services de santé à mieux desservir la population d'expression anglaise au Québec.
- Des mécanismes sont mis en place (comités consultatifs, tables rondes, groupes de travail, etc.) afin d'entretenir un dialogue soutenu avec les communautés de langue officielle en situation minoritaire et pouvoir ainsi connaître leurs priorités pour en tenir compte lors de l'élaboration de nouveaux programmes et services.
- D'autres institutions fédérales créent des partenariats avec des universités et des collèges de la langue de la minorité pour permettre à des étudiants canadiens et étrangers d'obtenir de l'expérience de travail et des occasions de recherches dans la langue de la minorité.
Pour d'autres exemples, vous pouvez également consulter les Rapports annuels de Patrimoine canadien sur les langues officielles.
Aide pour les institutions fédérales
L'article 42 précise que le ministre du Patrimoine canadien, en consultation avec les autres ministres fédéraux, suscite et encourage la coordination de la mise en œuvre, par les institutions fédérales, de l'engagement du gouvernement tel que décrit à l'article 41.
À l'échelle nationale, la Direction générale des langues officielles de Patrimoine canadien assume le rôle de coordination et de liaison avec les institutions fédérales. À cet égard, elle travaille avec l'ensemble des institutions fédérales à la mise en œuvre de l'article 41.
Dans chaque province et territoire, Patrimoine canadien compte sur une personne responsable de la coordination interministérielle dont le rôle est de faciliter les relations entre les institutions fédérales et les communautés de langue officielle en situation minoritaire en région.
La Direction générale des langues officielles de Patrimoine canadien :
- offre de l'encadrement, des conseils et des outils aux institutions fédérales pour la mise en œuvre de l'article 41 dont :
- réunit en une communauté de pratique tous les responsables de la mise en œuvre de l'article 41
- organise des rencontres régulières pour favoriser la mise en commun des pratiques exemplaires
- fait l'analyse des bilans des résultats des institutions fédérales pour la mise en œuvre de l'article 41 afin de présenter des suggestions en vue d'améliorations continues
- fait rapport annuellement au Parlement des résultats obtenus
Pour en apprendre davantage sur le rôle de la Direction générale des langues officielles de Patrimoine canadien relativement à la mise en œuvre de l'article 41 de la Loi sur les langues officielles, vous pouvez consulter la section « Relations interministérielles et responsabilisation » sur la page Secteurs d'intervention en matière de langues officielles au sein de la société canadienne.
Renseignements
Liens connexes
- Partie VII : Promotion du français et de l'anglais – Loi sur les langues officielles
- Relations interministérielles et responsabilisation
- Rapports annuels de Patrimoine canadien sur les langues officielles
Outils et ressources sur les langues officielles
- Outil de réflexion sur la mise en œuvre de l'article 41 de la Loi sur les langues officielles
- Questions clés pour faciliter la prise de décision pouvant avoir une incidence sur la mise en œuvre de l'article 41 de la Loi sur les langues officielles
- Les infographies sur les langues officielles du Canada
- Plateforme de diffusion de la recherche sur les langues officielles
- Carte interactive des communautés francophones du Canada (Fédération des communautés francophones et acadienne du Canada)
© Sa Majesté la Reine du chef du Canada, 2019
Numéro de catalogue : CH14-46/2019F-PDF, ISBN : 978-0-660-32304-6
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