Femmes dans les Forces armées canadiennes
Le Canada est un chef de file mondial en ce qui concerne le nombre de femmes dans ses forces militaires et les domaines dans lesquels elles peuvent servir.
Les femmes servent dans les Forces armées canadiennes depuis plus d’un siècle et jouent aujourd’hui un rôle central dans la défense de la sécurité du Canada. Les Forces armées canadiennes (FAC) ont été l’une des premières forces armées à permettre aux femmes de servir dans tous les groupes professionnels et, aujourd’hui, les Forces se fixent des objectifs ambitieux pour augmenter la représentation des femmes dans tous les métiers et les grades. Notre objectif est que d’ici 2026, 1 militaire des FAC sur 4 sera une femme.
Apprenez-en davantage sur la situation passée, présente et future des femmes dans les FAC en sélectionnant l’une des options ci-dessous.
Le saviez-vous?
1885
Pour la première fois de l'histoire militaire canadienne, des femmes travaillent sur le terrain comme infirmières pour soigner les soldats canadiens à Moose Jaw et à Saskatoon, en Saskatchewan. Leur période de service est de 4 semaines à la fois. Au total, 12 infirmières militaires ont reçu la médaille commémorative de campagne pour leur service lors de la Rébellion du Nord-Ouest en 1885.
1939-1945
La Seconde Guerre mondiale a vu la création de trois divisions féminines au sein de la FAC : Corps féminin de l’Aviation royale du Canada, Service féminin de l’Armée canadienne et Service féminin de la Marine royale du Canada. Quelque 50 000 femmes se sont enrôlées pour travailler comme commis, cuisinières, mécaniciennes, arrimeuse de parachutes et conductrices d'équipement lourd.
Aujourd'hui
En mai 2023, il y avait 12 femmes détenant des grades d’officiers généraux dans les FAC. Depuis 2017, le nombre de femmes dans les rangs supérieurs des militaire du rang a également augmenté à 73 adjudants-chefs et premiers maîtres de 1re classe, tout comme le nombre de femmes dans les Forces spéciales.
Récit des FAC en vedette
« Quand j’ai commencé ma carrière au sein des forces armées canadiennes, je ne travaillais pas dans le domaine spatial... »
« Mais étrangement, depuis mon enrôlement dans les Forces, j'ai fait plus d'arts que pendant mes études. »
« Il n'y a pas du tout d'antécédent militaire dans notre famille. Et nous n'avons pas fait partie des cadets... »
« Étant donné l’époque où il s’est enrôlé, je peux imaginer que la réalité était très différente de ce qu’on voit aujourd’hui dans les FAC »
« Je me souviens d’avoir rencontré des représentants officiels qui nous ont demandés : « Voulez-vous aller au Canada? » »
« Je voulais avoir l’occasion de travailler dans des milieux différents, et c’est exactement ce que les FAC m’offraient. »
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