Initiative nationale de recherche sur la santé des femmes – subventions pour la recherche translationnelle et sur la mise en œuvre

Dans son budget de 2021, le gouvernement fédéral a annoncé la création de l’Initiative nationale de recherche sur la santé des femmes (INRSF) avec l’ambition de faire avancer un programme de recherche coordonné sur des sujets sous-étudiés et hautement prioritaires liés à la santé des femmes, des filles et des personnes de diverses identités de genre et de veiller à ce que de nouvelles données probantes améliorent les résultats de santé de cette frange de la population ainsi que la qualité des soins dont elle bénéficie. Dirigée conjointement par les Instituts de recherche en santé du Canada et Femmes et Égalité des genres Canada, l’INRSF vise à garantir, tout au long de la vie, l’accès de chaque personne au Canada à des soins de santé de qualité, non stigmatisants, adaptés à la culture, sensibles au genre, fondés sur des données probantes, et qui tiennent compte des traumatismes.

Dans son budget de 2021, le gouvernement fédéral a annoncé la création de l’Initiative nationale de recherche sur la santé des femmes (INRSF) avec l’ambition de faire avancer un programme de recherche coordonné sur des sujets sous-étudiés et hautement prioritaires liés à la santé des femmes, des filles et des personnes de diverses identités de genre et de veiller à ce que de nouvelles données probantes améliorent les résultats de santé de cette frange de la population ainsi que la qualité des soins dont elle bénéficie. Dirigée conjointement par les Instituts de recherche en santé du Canada et Femmes et Égalité des genres Canada, l’INRSF vise à garantir, tout au long de la vie, l’accès de chaque personne au Canada à des soins de santé de qualité, non stigmatisants, adaptés à la culture, sensibles au genre, fondés sur des données probantes, et qui tiennent compte des traumatismes.

Dans le cadre de cette initiative, un montant total de 13 743 903 $ a été investi afin de financer 24 projets de recherche sur des sujets hautement prioritaires, comme le syndrome des ovaires polykystiques, l’allaitement et les soins périnataux dans les communautés rurales et autochtones, la santé cardiaque, la violence fondée sur le genre, la santé mentale, les troubles de l’alimentation, la grossesse et les soins génésiques, le cancer et le VPH, la vestibulodynie (douleurs vaginales chroniques) ou encore l’endométriose.