Programme pilote des gardiens d’enfants en milieu familial et Programme pilote des aides familiaux à domicile : Évaluation d’une demande en fonction des critères de sélection

Cette section contient des politiques, des procédures et des instructions destinées au personnel d’IRCC. Elle est publiée sur le site Web du ministère par courtoisie pour les intervenants.

Nouveaux changements aux programmes pilotes

Les instructions ministérielles ont été modifiées le 16 juin 2024, principalement afin :

  • de réduire l’exigence en matière d’expérience de travail, qui passe de 12 à 6 mois;
  • pour la catégorie Acquisition d’expérience :
    • d’accepter l’expérience de travail acquise à l’extérieur du Canada;
    • d’accepter l’expérience de travail acquise jusqu’à 36 mois avant la présentation de la demande de résidence permanente, ainsi que l’expérience acquise entre la présentation de la demande et la date où le demandeur démontre avoir acquis l’expérience de travail;
    • de clarifier que les demandeurs ont une seule occasion de soumettre une preuve de leur expérience de travail à IRCC aux fins de décision concernant leur demande de résidence permanente.

Ces modifications s’appliquent aux demandes en attente de traitement.

Les instructions seront mises à jour dès que possible pour tenir compte des changements.

Les demandeurs doivent être évalués à l’aide des critères de sélection de type « réussite ou échec » ci-dessous, en fonction des renseignements et des documents fournis dans la demande. Pour que leur demande soit approuvée, ils doivent satisfaire aux critères concernant :

En outre, le demandeur doit prouver qu’il possède soit :

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Études

Le demandeur doit prouver qu’il possède l’un ou l’autre des titres de compétences suivants :

Diplômes canadiens

Est considéré un « diplôme d’études postsecondaire canadien » tout diplôme, certificat ou attestation d’études postsecondaires obtenu après avoir terminé avec succès un programme canadien d’études ou un cours de formation offert par un établissement d’enseignement ou de formation reconnu par les autorités provinciales chargées d’enregistrer, d’accréditer, de superviser et de réglementer de tels établissements. Ainsi, un demandeur qui a commencé un programme collégial ou universitaire et qui a obtenu les crédits d’une année de ce programme, mais qui ne l’a pas encore terminé, ne répondrait pas à cette exigence.

Titres de compétence étrangers

Pour les demandeurs possédant des titres de compétence étrangers, le rapport d’EDE doit satisfaire aux exigences suivantes :

Les évaluations d’équivalence doivent inclure une évaluation, par l’organisme désigné, de l’authenticité du diplôme que le demandeur a obtenu à l’étranger.

Remarque : Cette évaluation par l’organisme désigné n’est pas une preuve de l’authenticité du titre de compétence étranger. Si l’agent a des doutes par rapport à l’authenticité du titre de compétence étranger du demandeur, il doit en faire part au demandeur et lui donner la possibilité de répondre en présentant d’autres renseignements ou documents.

Expérience de travail admissible au Canada

Le 30 avril 2023, les instructions ministérielles (IM) ont été modifiées, réduisant le nombre de mois d’expérience de travail admissible, qui est passé de 24 mois à 12 mois. Cette exigence modifiée liée à l’expérience de travail s’applique à toutes les demandes des catégories A ou B traitées le 30 avril 2023 ou après cette date, peu importe la date de réception (avant ou après la modification des IM), pourvu qu’aucune décision finale n’ait été rendue.

L’expérience de travail admissible au Canada du demandeur sera évaluée une fois qu’il aura présenté la preuve qu’il satisfait à cette exigence. L’évaluation aura lieu au début du processus, dans le cadre de la demande de résidence permanente initiale (pour la catégorie B), ou après la délivrance d’un permis de travail ouvert restreint à une profession (PTORP) dans le cadre d’un des programmes pilotes (pour la catégorie A) [à moins que le demandeur fournisse une preuve suffisante d’une expérience de travail admissible avant la délivrance du PTORP – veuillez consulter l’exemption ci-après].

Les agents peuvent parfois être mis au courant de situations dans lesquelles un aide familial a été victime de violence en milieu de travail. Lorsqu’ils sont au courant d’une telle situation, les agents doivent faire attention afin de ne pas pénaliser la victime ou l’exposer à un risque accru quand ils interagissent avec le demandeur ou l’employeur. Il faut savoir que le fait qu’un client soit victime de violence peut avoir une incidence sur la façon dont la demande est traitée et sur son issue. Veuillez consulter les directives concernant la façon de traiter les cas dans lesquels une personne a été victime de violence.

Demandeurs ne possédant pas 12 mois d’expérience (catégorie A – Acquisition d’expérience)

Les personnes dont la demande est par ailleurs recevable, mais qui n’ont pas encore acquis 12 mois d’expérience de travail admissible au Canada au moment de présenter leur demande de résidence permanente se verront délivrer un PTORP.

Date limite pour envoyer à IRCC la preuve de l’expérience de travail

Dans les 36 mois suivant la délivrance du PTORP, le demandeur doit soumettre une preuve d’au moins 12 mois d’expérience de travail autorisé à temps plein.

Si le demandeur ne prend pas les mesures nécessaires pour obtenir le PTORP, il doit prouver qu’il satisfait aux exigences relatives à l’expérience de travail dans les 36 mois suivant la date de la lettre d’approbation pour l’étape 1 (recevabilité).

Période couverte par l’expérience de travail

L’expérience de travail ne comptera que si elle a été acquise dans les 36 mois précédant la date à laquelle le demandeur a soumis sa preuve.

Remarque : Certains demandeurs pourraient avoir déjà accumulé une partie, mais pas la totalité, des 12 mois d’expérience de travail admissible au Canada lorsqu’ils se voient délivrer un PTORP. Ils peuvent inclure cette expérience dans le calcul pour l’exigence liée à 12 mois, à condition de démontrer que les 12 mois d’expérience ont été acquis au cours des 36 mois précédant immédiatement la présentation de leur preuve d’expérience de travail.

Demandeurs possédant 12 mois d’expérience (catégorie B – Résidence permanente directe)

Les demandeurs possédant au moins 12 mois d’expérience de travail admissible au Canada au moment de présenter leur demande doivent joindre à leur DRP leur preuve d’expérience de travail admissible dès le début du processus. Le demandeur doit prouver qu’il a accumulé une expérience de travail à temps plein admissible d’une durée totale d’au moins 12 mois au Canada au cours des 36 mois précédant la présentation de sa demande.

Travail admissible

Tous les demandeurs doivent avoir eu le statut de résident temporaire ainsi que l’autorisation de travailler pendant la période où ils ont acquis leur expérience professionnelle au Canada. Seul le travail autorisé sera pris en compte dans le calcul de l’expérience professionnelle requise. L’expérience de travail autorisée peut être acquise avec toute combinaison de permis de travail et d’autres autorisations de travailler (y compris le statut conservé ou une politique d’intérêt public).

On entend par « travail à temps plein » la réalisation d’au moins 30 heures de travail rémunéré par semaine. Pour satisfaire à l’exigence, le demandeur doit avoir acquis l’expérience de travail dans une profession admissible inscrite dans la Classification nationale des professions (CNP).

Remarque : En 2016, Emploi et Développement social Canada (EDSC) et Statistique Canada ont remplacé la version de la CNP de 2011 par la version de 2016, et le 16 novembre 2022, ils ont remplacé la CNP de 2016 par la version de 2021. Les demandes reçues dans le cadre du Programme pilote des gardiens d’enfants en milieu familial et du Programme pilote des aides familiaux à domicile doivent être évaluées en regard de la version de la CNP qui était en vigueur au moment où la demande de résidence permanente a été reçue.

Cela signifie que toutes les demandes reçues au plus tard le 15 novembre 2022 doivent satisfaire aux exigences précisées dans la description des professions de la CNP de 2016, et que les demandes reçues à compter du 16 novembre 2022 doivent satisfaire aux exigences précisées dans la description des professions de la CNP de 2021, peu importe le code sur le permis de travail.

Par exemple, un aide familial qui a présenté une demande dans la catégorie A au plus tard le 15 novembre 2022 et qui a, par conséquent, reçu un permis de travail ouvert restreint à une profession verrait sa demande évaluée en fonction de la CNP de 2016 une fois une preuve de son expérience de travail fournie – même si cette preuve est soumise à compter du 16 novembre 2022. Toutefois, un aide familial qui présente une demande dans la catégorie B au plus tard le 16 novembre 2022, verrait sa demande évaluée en fonction de la CNP de 2021 – même s’il détenait auparavant un permis de travail délivré au titre d’une profession de la CNP de 2016.

Pour ce qui est des périodes d’expérience de travail indiquées dans la demande, tous les demandeurs doivent prouver qu’ils ont exécuté les activités suivantes :

Pauses dans l’expérience de travail

Les demandeurs ne sont pas tenus d’être employés au moment où ils demandent la résidence permanente au titre du Programme pilote des gardiens d’enfants en milieu familial ou du Programme pilote des aides familiaux à domicile.

L’expérience de travail au Canada n’a pas besoin d’être continue pour être admissible, mais la période de 12 mois d’emploi exigée ne doit pas inclure :

Une période raisonnable de vacances sera prise en compte dans le calcul de l’exigence relative à l’expérience de travail. Par exemple, 2 semaines de vacances payées pendant une période de 52 semaines au cours de laquelle le demandeur a accompli un travail admissible pourraient être comptabilisées dans l’expérience de travail admissible, qu’il ait pris ses vacances au Canada ou à l’étranger.

Aucune période de travail autonome ou période d’emploi pendant des études à plein temps ne sera prise en considération dans le calcul de l’expérience de travail requise.

S’il y a une période de chevauchement entre le permis d’études et le permis de travail du demandeur, celui-ci doit fournir une preuve pour démontrer qu’il n’était pas aux études à temps plein au moment où il a acquis son expérience de travail à temps plein. Par exemple, le demandeur pourrait fournir un relevé de notes et une preuve d’achèvement du programme pour démontrer que l’expérience de travail a été acquise après la fin des études à temps plein. Toute expérience professionnelle acquise avant l’achèvement du programme d’études à temps plein (c’est-à-dire pendant les congés scolaires) n’est pas admissible.

Solution de contournement dans le SMGC suite à la réduction de l’expérience de travail à 12 mois

Puisque les IM originales exigeaient une expérience de travail de 24 mois, si une période plus courte est saisie dans l’écran « Recevabilité – Expérience de travail », le système empêchera l’agent de rendre une décision de recevabilité favorable lorsqu’il y a seulement 12 mois d’expérience de travail.

Comme solution de contournement :

  1. L’agent peut saisir une période artificielle sous l’onglet « Expérience de travail » qui amènera le total à au moins 24 mois.
  2. L’agent doit également ajouter une note de cas indiquant qu’il a saisi cette période dans le SMGC à titre de solution de contournement en précisant la période réelle déclarée par le client comme expérience de travail admissible. L’agent peut utiliser la note suivante :

L’expérience de travail déclarée par le client a eu lieu de [insérer MM-AAAA] à [MM-AAAA]. Comme solution de contournement pour permettre au SMGC d’accepter une décision de recevabilité favorable rattachée à une expérience de travail de 12 mois, une période a été ajoutée à l’onglet « Expérience de travail », soit de [MM-AAAA] à [MM-AAAA], qui ne correspond pas, et ne vise pas à correspondre, aux renseignements de la demande.

Exigences supplémentaires pour les demandeurs de la catégorie A (Acquisition d’expérience)

Les demandeurs qui ne possèdent pas au moins 12 mois d’expérience de travail admissible au Canada doivent également prouver :

Offre d’emploi

Remarque : Si le demandeur soumet une preuve d’expérience de travail avant qu’IRCC ne délivre le PTORP et que l’expérience de travail est admissible, l’agent peut traiter et approuver la demande sans évaluer l’offre d’emploi (ni la vraisemblance que le demandeur accepte l’offre ni sa capacité d’exécuter le travail). Si l’expérience de travail est jugée inadmissible, l’agent effectuera l’évaluation régulière relative à la catégorie A, comme à l’habitude. Voir l’exemption ci-après.

Passage à la version de 2021 de la CNP

Les agents doivent être facilitants pendant la période de transition. Si la demande a été présentée dans le cadre de la CNP de 2021 et que l’offre d’emploi continue d’indiquer un code de la CNP de 2016, l’offre d’emploi demeure valide tant qu’elle continue de satisfaire aux exigences du Programme pilote des gardiens d’enfants en milieu familial et du Programme pilote des aides familiaux à domicile.

Les demandeurs qui ne possèdent pas 12 mois d’expérience de travail admissible au Canada au moment de présenter leur demande de résidence permanente initiale (ni avant la délivrance du PTORP – veuillez consulter l’exemption) doivent démontrer avoir reçu une offre d’emploi qu’ils accepteront vraisemblablement et qui répond aux exigences suivantes :

L’offre d’emploi doit également décrire le travail et les tâches à accomplir par le demandeur. Ces tâches doivent correspondre à celles décrites dans la déclaration principale pour la profession admissible, conformément aux descriptions des professions de la CNP.

L’offre d’emploi initiale doit être fournie sous la forme du formulaire Offre d’emploi [IMM 5983] (PDF, 2,3 Mo).

Remarque : Les tâches principales de l’emploi ne peuvent pas correspondre à celles d’un aide ménager ou d’un parent de famille d’accueil.

Offre d’emploi d’un membre de la famille

Toutes les circonstances de la demande doivent être examinées à l’appui de l’évaluation de la recevabilité et de l’authenticité de l’offre d’emploi ainsi que de la relation entre l’employeur et l’employé.

S’il s’agit d’une offre d’emploi d’un membre de la famille, l’examen effectué doit être tout aussi approfondi que pour toute autre offre d’emploi. Le fait qu’un demandeur ait un lien de parenté avec son employeur ne le rend pas inadmissible aux programmes pilotes.

Évaluer l’authenticité d’une offre d’emploi

L’authenticité des offres d’emploi doit être évaluée dans le but de protéger les aides familiaux et de maintenir l’intégrité du programme.

Les agents peuvent tenir compte d’un certain nombre de facteurs lorsqu’ils évaluent si l’offre d’emploi est valide et authentique, notamment sans s’y limiter :

Plus particulièrement, les agents peuvent tenir compte des éléments suivants :

Pour évaluer la validité de l’offre d’emploi, l’agent peut demander de l’information complémentaire à l’employeur et utiliser les renseignements fournis dans l’offre. Par exemple, l’agent peut déterminer si l’employeur est financièrement en mesure de payer à l’aide familial le salaire décrit dans l’offre d’emploi ou s’il a réellement besoin d’un aide familial à domicile en examinant les éléments suivants :

Si l’offre d’emploi suscite des préoccupations, nous aurions recours aux ententes de travail partagé en vigueur avec le Réseau national (RN) et le Réseau international (RI) advenant qu’un examen approfondi de la demande soit requis.

Capacité d’effectuer le travail

Remarque : Si le demandeur soumet une preuve d’expérience de travail avant qu’IRCC ne délivre le PTORP et que l’expérience de travail est admissible, l’agent peut traiter et approuver la demande sans évaluer la capacité d’exercer le travail (ni l’offre d’emploi ni la vraisemblance que le demandeur accepte l’offre). Si l’expérience de travail est jugée inadmissible, l’agent effectuera l’évaluation régulière relative à la catégorie A, comme à l’habitude. Voir l’exemption ci-après.

Les demandeurs qui n’ont pas obtenu au moins 12 mois d’expérience de travail admissible au Canada doivent démontrer qu’ils sont capables d’accomplir le travail décrit dans l’énoncé principal de la description de la profession de la CNP en vigueur au moment de la réception de leur demande de résidence permanente :

Autrement, leur demande pourrait être refusée.

Remarque : Les parents de famille d’accueil sont exclus de la CNP 4411 dans le cadre de la CNP de 2016 et de la CNP 44100 dans le cadre de la CNP de 2021, et les aides ménagers sont exclus de la CNP 4412 dans le cadre de la CNP de 2016. Pour ce qui est des demandes reçues au plus tard le 16 novembre 2022 (dans le cadre de la mise en œuvre de la CNP de 2021), cette exclusion explicite des aides ménagers n’est plus nécessaire, puisque la définition de la CNP a été modifiée, et les aides ménagers ne figurent plus dans la catégorie CNP 44101.

Documents à l’appui

Lorsqu’ils évaluent la capacité d’un demandeur à effectuer le travail, l’agent peut consulter les documents fournis à l’appui de la demande. Ces documents peuvent comprendre, sans s’y limiter :

Si l’agent a des doutes importants quant à la capacité du demandeur à effectuer le travail, il doit agir conformément à l’équité procédurale.

Remarque : Les demandeurs qui présentent une demande alors qu’ils ont moins de 12 mois d’expérience de travail admissible (catégorie A) et qui satisfont aux exigences en matière d’études, de compétences linguistiques, d’offre d’emploi et de capacité à effectuer le travail doivent faire l’objet d’une évaluation de l’admissibilité avant de se voir délivrer un permis de travail ouvert restreint à une profession et faire évaluer si leur expérience de travail est admissible.

Exemption de l’évaluation de l’offre d’emploi de la catégorie A

Certains demandeurs de la catégorie A n’ont pas besoin d’avoir une offre d’emploi valide qu’ils accepteront vraisemblablement, ni une preuve qu’ils sont capables d’effectuer le travail dans les cas où :

Cette exemption s’applique uniquement aux demandeurs qui ont acquis toute leur expérience admissible au Canada. Elle ne s’applique pas aux demandeurs avec de l’expérience de travail à l’étranger ni une combinaison de travail à l’étranger et au Canada.

Ainsi, lorsque les agents déterminent que l’expérience de travail au Canada est admissible, l’évaluation de l’offre d’emploi n’est pas requise, et les agents peuvent procéder à leur évaluation comme s’il s’agissait d’une demande de la catégorie B. Toutefois, puisque c’est toujours une demande de la catégorie A, la catégorie de la demande ne doit pas être modifiée dans le SMGC.

Remarque : Dans la fenêtre des critères d’évaluation « Admissibilité [sic] – Étape 1 » du SMGC, l’agent devra toujours établir artificiellement à « Satisfait » les champs relatifs à l’offre d’emploi et à la capacité d’effectuer le travail. Des notes de cas doivent être ajoutées pour indiquer que le demandeur en a été dispensé et que, par conséquent, l’évaluation n’a pas eu lieu.

Si le demandeur satisfait à toutes les exigences (exigences linguistiques, études, expérience de travail), et à condition d’y être admissible, un permis de travail ouvert transitoire (PTOT) peut être délivré au lieu du PTORP en attendant l’évaluation de l’admissibilité et la décision finale.

Si l’expérience de travail au dossier avant la délivrance du PTORP est jugée inadmissible, l’agent doit suivre les instructions concernant le refus de la demande de résidence permanente.

Remarque : Si la preuve de l’expérience de travail est reçue après la délivrance du PTORP, le processus normal s’applique.

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