Nos histoires

Constatez par vous-même ce que nos employés apportent comme contribution.

Explorez nos histoires

Leurs expériences

Alain

Alain est un fier immigrant haïtien. Sa femme l’a parrainé après avoir immigré grâce à notre Programme fédéral des travailleurs qualifiés.

Il s’est joint à IRCC après avoir terminé ses études en droit et son stage. Au début, il traitait les demandes d’immigration. Aujourd’hui superviseur, il est reconnaissant de travailler sur les mêmes programmes qui ont permis à sa famille de venir au Canada. C’est bon de savoir qu’il aide la prochaine génération d’immigrants à créer de nouvelles possibilités, comme il l’a fait lui-même.

Holly

Holly est une mère monoparentale occupée. Elle a un enfant de 4 ans qui adore la nature.

Elle aime la flexibilité que lui procure son emploi. Cela l’aide à gérer l’horaire de sa famille et à maintenir un bon équilibre travail-vie personnelle. Elle a la possibilité de travailler quelques jours de chez elle, ce qui simplifie la tâche de déposer et de ramasser son enfant à l’école, et tout le reste du quotidien. Elle dispose ainsi de plus de temps pour faire son travail et planifier le prochain repas, tout en restant confortablement dans ses jeans de maman!

Shima

Shima est une étudiante coop et c’est son premier emploi dans la fonction publique. Elle nous a choisis en raison de notre mandat. Elle voulait faire partie d’une organisation qui change la vie des gens.

Elle aime mettre en pratique ce qu’elle apprend à l’école. Nous l’encourageons à innover et à faire preuve de créativité dans son travail, aux ressources humaines. Ses idées pour améliorer le recrutement des étudiants ont été reconnues par ses coéquipières et sont souvent mises en œuvre. C’est une satisfaction de savoir que ses suggestions ont déjà fait bouger des choses!

« Dans nos mots » – Les histoires des employés autochtones

Sharon

Je suis née et j’ai grandi à Winnipeg, au Manitoba. Ma mère est crie et membre de la Première Nation de Fox Lake. Mon père est d’origine scandinavo-germanique. Je travaille pour le gouvernement du Canada depuis mars 2010. J’ai commencé ma carrière à la fonction publique fédérale à la Commission de vérité et réconciliation du Canada. J’ai ensuite fait le saut à IRCC et j’estime que j’ai été très chanceuse d’y avoir trouvé un emploi. J’ai commencé à la Citoyenneté et j’avais du mal à croire que j’étais rémunérée pour participer à des cérémonies de citoyenneté et faire passer des examens en vue de l’obtention de la citoyenneté. Lors des cérémonies, j’étais toujours très émue par le simple fait de voir les nouveaux citoyens, venus de partout dans le monde, choisir le Canada pour s’établir et prêter le serment de citoyenneté. En tant qu’Autochtone, c’est très important pour moi que les nouveaux arrivants se sentent les bienvenus au Canada et qu’ils soient informés au sujet de l’histoire des Autochtones, y compris celle des pensionnats.

Présentement je travaille au Réseau de l’établissement et ce que mon emploi à IRCC m’apporte de plus valorisant est le soutien que je reçois de mes pairs et de la direction en ce qui a trait à l’avancement professionnel. J’ai pu profiter de nombreuses occasions de formation et séances d’encadrement qui m’ont permis de me rendre là où je suis aujourd’hui. Un jour, j’espère pouvoir occuper un poste de direction. L’une des choses que je souhaite accomplir est d’assurer une présence visible aux Premières Nations à IRCC en devenant un modèle d’identification positif afin que d’autres membres des Premières Nations puissent constater que j’occupe un poste influent dans un environnement qui évolue rapidement à IRCC. De plus, étant donné que je rencontre des membres de la communauté des immigrants, je tiens à donner une image positive des Autochtones.

James

Boozhoo, Aanii, (« Bienvenue, bonjour » en ojibwé)

Je m’appelle James Rodger et je suis membre de la Première Nation des Ojibways de Fort William. Je suis arrivé à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada dans le cadre d’un détachement, car je voulais faire partie d’une organisation qui contribue à améliorer la qualité de vie des Néo-Canadiens. Si nous nous remémorons l’histoire du Canada, nous constatons que les Premières Nations ont été les premières personnes à accueillir de nouveaux visiteurs, à leur faire découvrir le territoire et à les aider à survivre aux hivers longs et froids.

Je contribue actuellement à l’élaboration d’une politique à l’intention des Néo-Canadiens qui traite de questions relatives aux droits des Autochtones. Je tenais à donner de mon temps à cette cause importante afin que nous puissions créer un lien entre les Néo-Canadiens et les Premières Nations du Canada.

Miigwitch (Merci)

Danielle

Je suis fière de mon héritage. Je suis originaire de la bande Wolastoqiyik Wahsipekuk. Nous sommes également connus sous le nom de bande des Malécites de Viger. Nous formons la 11e Première Nation du Québec. Le Canada est mon pays, mon chez nous.

Bien que je travaille à IRCC depuis seulement un peu plus de deux ans, je comprends véritablement pourquoi autant de gens de l’étranger souhaitent s’établir au Canada. Ils veulent vivre en paix, contribuer à leur communauté, trouver un emploi utile, subvenir aux besoins de leur famille ou fonder une famille en tant que citoyens canadiens.

À IRCC, l’objectif est d’aider ces gens. C’est clair! Je suis fière du secteur pour lequel je travaille. Le Secteur de l’établissement et de l’intégration joue un rôle essentiel dans la réussite des nouveaux arrivants. J’accorde beaucoup d’importance au travail que le Secteur accomplit, car nous influons réellement sur la vie des gens avec qui nous interagissons. Je suis une personne des Premières Nations et je suis très fière du travail que nous réalisons ici, à IRCC, au nom d’innombrables gens qui veulent que le Canada devienne leur maison.

Merci, Thank you, Woliwon

Haleigh

J’ai amorcé ma carrière à IRCC en 2017, tout de suite après mes études collégiales. Plusieurs personnes avec qui je travaille à IRCC ont contribué à ma réussite professionnelle en tant que fonctionnaire et m’ont donné l’occasion de m’exercer et d’acquérir de l’expérience alors que j’étais une jeune professionnelle. Je travaille désormais à la Sécurité ministérielle, ce qui cadre parfaitement avec ce que je souhaite accomplir sur le plan professionnel. J’adore le travail que je fais et les fonctions que j’assure en ce qui a trait à la sécurité des employés d’IRCC.

Depuis mes débuts à IRCC, j’ai eu l’occasion de prendre part à bon nombre d’initiatives stimulantes en dehors de mon contexte professionnel, comme le Cercle des peuples autochtones, un réseau formé d’employés autochtones d’IRCC et d’alliés. Le fait d’être membre du Cercle des peuples autochtones m’a permis de faire connaître ma culture à d’autres personnes et de l’approfondir moi-même davantage. J’apprécie le fait qu’IRCC permette à ses employés de participer à ce genre d’activités, soit des activités qui enseignent des compétences que j’utilise dans ma vie personnelle et professionnelle.

Ce qui compte, ce sont les capacités, pas le handicap – Les histoires des employés en situation de handicap

Judith

Je m’appelle Judith et je travaille pour IRCC depuis plus de 20 ans. J’ai d’abord commencé en tant qu’agente sur le terrain, puis je suis devenue formatrice et, petit à petit, j’ai développé un intérêt pour la gestion. Cela fait maintenant une dizaine d’années que je gère des équipes au sein du ministère. Je suis privilégiée d’avoir pu observer la réalité de ce qu’est un « handicap », non seulement en tant qu’employée, mais aussi en tant que gestionnaire.

Mon handicap ayant été identifié en 2017, j’ai connu IRCC sans les obstacles rattachés à un handicap, mais aussi avec. Suivant le diagnostic du handicap, les ajustements ont été importants et parfois difficiles, mais j’ai pu m’adapter grâce au soutien que j’ai reçu en cours de route. IRCC est ma grande famille professionnelle : j'ai eu la chance à plusieurs reprises de me trouver sur le chemin de collègues bienveillants, patients et qui ne portent pas de jugement. Mes collègues ont joué un rôle déterminant quant à la façon dont les obstacles ont été éliminés.

La souplesse, la résilience et la persévérance sont des compétences importantes pour les employés en situation de handicap et pour les gestionnaires qui les soutiennent. Je constate actuellement que le ministère s’engage à améliorer l’accessibilité pour les personnes en situation de handicap ainsi que l’équité et l’inclusion pour tous. Voilà qui est très positif pour les prochaines générations d’employés d’IRCC.

Jamieson

Je vis avec la paralysie cérébrale spastique et la sclérose en plaques récurrente et rémittente. J’ai d’abord travaillé pour le centre des services opérationnels, puis je me suis joint au centre des opérations pour les réfugiés. Je travaille maintenant comme analyste d’enquête au sein de l’Unité de la conformité des employeurs et des inspections (UCEI), qui fait partie de la Direction générale du règlement des cas.

Au sein de l’UCEI, je peux parler ouvertement des handicaps avec lesquels je vis et j’ai toujours le sentiment d’être vu, entendu et soutenu. C’est merveilleux de travailler pour un ministère qui reconnaît ce dont je suis capable plutôt que les obstacles qui m’imposent des limites. Je ne pourrais pas être plus reconnaissant.

Cara

Je m’appelle Cara et j’ai un handicap neurobiologique. Je n’ai ménagé aucun effort pour le surmonter depuis le diagnostic de 2015. Le travail au sein de mon ancienne organisation a été un élément déclencheur d’épisodes récurrents de séjours à l’hôpital. Mes gestionnaires ne comprenaient pas suffisamment ma réalité pour prendre les mesures d’adaptation nécessaires. Cela dit, le jour même où j’ai commencé à travailler pour IRCC en mars 2020 - 3 jours avant le confinement à cause de la pandémie - ma réalité a changé du tout au tout. IRCC est une organisation grandement axée sur les personnes, avec des groupes d’intervention et de soutien social, comme le Groupe de travail sur la lutte contre le racisme, le Cercle des peuples autochtones et le Réseau des personnes handicapées, et qui met l’accent sur la diversité, l’équité et l’inclusion.

J'ai également pu progresser dans ma carrière, qui était jusqu’alors au point mort, et occuper un poste qui correspondait mieux à mes compétences, à mon expérience, à ma formation et à mes centres d’intérêt. Je suis destinée à évoluer dans le domaine des sciences sociales et humaines, et les personnes et les dossiers avec lesquels j’ai eu le plaisir et l’honneur de travailler me donnent continuellement un sentiment de fierté et de responsabilité positive. Mon équipe, la direction générale et les dirigeants font preuve d’une compassion sans borne, ce qui, je l’ai appris, est une caractéristique de nombreux groupes au sein d’IRCC. Même si mon handicap neurobiologique dynamique me pose parfois des ennuis, je suis acceptée et appréciée, et mon travail se poursuit sans entrave. Je sais qu’à l'IRCC, je suis chez moi.

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