ARCHIVÉ – Document d’information — Améliorations apportées à la catégorie de l’expérience canadienne
Du 9 novembre 2013 au 31 octobre 2014, Citoyenneté et Immigration Canada (CIC) acceptera un maximum de 12 000 nouvelles demandes au titre de la catégorie de l’expérience canadienne (CEC).
En raison d’une surreprésentation parmi les demandes reçues jusqu’à maintenant au titre de la CEC, les six professions suivantes ne seront plus admissibles à la CEC à compter du 9 novembre 2013 :
- cuisiniers/cuisinières (code 6322 de la CNP);
- superviseurs/superviseures des services alimentaires (code 6311 de la CNP);
- agents/agentes d’administration (code 1221 de la CNP);
- adjoints administratifs/adjointes administratives (code 1241 de la CNP);
- techniciens/techniciennes en comptabilité et teneurs/teneuses de livres (code 1311 de la CNP);
- superviseurs/superviseures des ventes – commerce de détail (code 6211 de la CNP).
CIC a déjà un grand nombre de demandes en attente pour ces professions et continuera de les traiter en vue d’une décision définitive.
De plus, CIC imposera un sous-plafond de 200 demandes pour chacune des professions du niveau de compétence B de la Classification nationale des professions (CNP). Il s’agit principalement d’emplois techniques ou administratifs ou de métiers spécialisés. Nous n’imposerons pas de sous-plafond aux professions du genre de compétence 0 et du niveau de compétence A (gestion et professionnel) de la CNP, mais ces professions seront néanmoins assujetties au plafond global de 12 000 demandes.
Enfin, CIC maintiendra les mêmes critères linguistiques pour les demandeurs, mais ces exigences feront l’objet d’une vérification initiale dès le 9 novembre 2013. Les exigences linguistiques actuelles correspondent au niveau 7 des Niveaux de compétence linguistique canadiens (NCLC) pour les professions de la CNP 0 ou A, et au niveau 5 des NCLC pour les professions de la CNP B. Cette nouvelle mesure permettra d’éliminer plus tôt dans le processus les demandeurs qui n’atteignent pas le seuil minimal des exigences linguistiques afin que les ressources consacrées au traitement des demandes puissent se concentrer sur les personnes qui sont le plus susceptibles d’être admissibles.
Par ailleurs, ces changements permettront d’offrir un service plus convivial aux clients, puisqu’on renverra aux demandeurs qui n’auront pas les compétences linguistiques requises leur demande ainsi que les frais de traitement.
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