Inventaire national des rejets de polluants : mercure
Chaque année, des entreprises et établissements de partout au Canada font partie des entités qui doivent déclarer à l’Inventaire national des rejets de polluants (INRP) les polluants qu’ils rejettent et éliminent dans l’air, l’eau et le sol. Les renseignements recueillis sont du domaine public. Ils aident les gouvernements à établir leurs priorités en matière d’environnement et à surveiller leur bilan environnemental. Les Canadiens peuvent s’en servir pour s’informer au sujet de la pollution dans leur environnement immédiat.
Le mercure fait partie de la série d’aperçus sur les substances de l’INRP. Le présent aperçu de substance porte sur les rejets, les éliminations et les transferts de mercure qui sont déclarés à l’INRP par bon nombre d’industries au Canada. Il résume également ce que font les installations pour atténuer les répercussions de leurs activités sur l’environnement.
Mercure
Le mercure (Hg) est un métal lourd d’origine naturelle qui se trouve principalement sous la forme d’un minerai, le cinabre, et peut également être présent dans les matières premières telles que le charbon, le pétrole brut et d'autres combustibles fossiles. Une fois libéré, le mercure peut voyager dans l'air et dans l'eau vers des zones éloignées de sa source. C'est le seul métal qui reste liquide à température ambiante et il peut se vaporiser pour produire un gaz incolore et inodore. Le mercure liquide est brillant et blanc argenté. Le mercure est un élément, il ne peut donc pas être créé ou détruit, mais persiste dans l'environnement sous plusieurs formes. L'une de ces formes, connue sous le nom de méthylmercure, peut être toxique pour les organismes vivants même à de faibles concentrations.
Au Canada, les rejets de mercure ont diminué depuis les années 1980 principalement en raison de la fermeture d’opérations industrielles, de l'utilisation de nouvelles technologies de contrôle des émissions et de l’augmentation des meilleures pratiques de gestion, en particulier dans le secteur des fonderies des métaux communs. L'élimination progressive de l'utilisation du mercure dans plusieurs produits (comme les pesticides et les cosmétiques) et les procédés de fabrication (comme la production de chlore et la production de polyuréthane) a également contribué à une réduction des rejets de mercure.
Effets sur la santé humaine
Dans l'environnement, en particulier les lacs, les cours d'eau et les zones humides, le mercure peut être converti en un composé organique toxique appelé méthylmercure. Les organismes vivants absorbent le méthylmercure beaucoup plus facilement que le mercure. Le méthylmercure s'accumule dans les tissus des organismes vivants à mesure qu'ils vieillissent et consomment de la nourriture, et il devient plus concentré dans la chaîne alimentaire à mesure que les grands prédateurs mangent des proies plus petites. Dans la population générale, les principales sources d'exposition au mercure proviennent de la consommation de plus grandes espèces de poissons et d'aliments traditionnels contenant des niveaux élevés de mercure. Une exposition peut également se produire lorsque des produits contenant du mercure sont brisés, libérant ou déversant du mercure à la maison ou sur le lieu de travail.
Chez l'humain, le méthylmercure peut affecter le système nerveux central. Il est particulièrement dommageable pour les fœtus, les nourrissons et les jeunes enfants, qui sont particulièrement vulnérables en raison de leur système nerveux en développement.
Effets sur l'environnement
Le mercure est rejeté dans l’air, l’eau et les sols à partir de différentes sources naturelles, comme :
- les éruptions volcaniques
- l’altération des roches et des surfaces
- les évents sous-marins
- les incendies de forêt
- les émissions des plans d'eau
Le mercure est rejeté par des activités humaines, comme :
- la combustion de combustibles fossiles (principalement le charbon)
- l’extraction minière et la fonderie des métaux communs
- la production de ciment
- l’incinération des déchets municipaux et médicaux
- l’élimination inadéquate de produits contenant du mercure
Certains produits fabriqués par l’homme peuvent contenir du mercure, notamment :
- les ampoules fluorescentes
- les piles
- les thermomètres pour mesurer la fièvre et les thermostats au mercure
- les amalgames dentaires
Bien que le Canada n'autorise plus l'utilisation de mercure pour bon nombre de ces produits, d’anciens produits peuvent encore être présents dans les maisons ou les lieux de travail.
Le mercure se déplace sur de longues distances dans les courants atmosphériques et peut se déposer sur le sol et dans l’eau, loin de la source de rejet. Le mercure peut être réémis à partir de la terre et de l'eau dans l'atmosphère par des processus naturels et circuler dans l'environnement sous diverses formes. Ces transformations naturelles et les voies environnementales du mercure sont complexes et sont affectées par les conditions locales. Comprendre les relations entre les conditions locales et les niveaux de mercure dans l'environnement est essentiel pour prédire les changements dans la concentration de mercure et sa capacité à être absorbé par les êtres vivants.
Pour en savoir plus sur les effets du mercure et sur la façon dont il se déplace dans l'environnement, consultez l’Évaluation scientifique sur le mercure au Canada.
Différents programmes surveillent le niveau de mercure dans l’environnement au Canada. Pour de plus amples renseignements, consultez le Mercure gazeux total et le Mercure différencié.
La quantité globale de mercure rejetée dans l'environnement est en baisse en raison des politiques, des règlements et des progrès technologiques au Canada. Cependant, les réductions ne se traduisent généralement pas par des concentrations plus faibles dans l'environnement en raison de sa nature persistante, de son cycle géochimique complexe et de l'industrialisation accrue d'autres pays. Les émissions liées aux activités humaines représentent 40% du mercure déposé au Canada chaque année, et 97% de ces émissions proviennent d'autres pays.
Les scientifiques s'efforcent également de déterminer quel sera l'impact des changements climatiques sur le mouvement mondial et le cycle du mercure dans l'environnement canadien.
Description Longue
Diagramme du cycle du mercure créé par le gouvernement du Canada
Installation déclarantes
Les propriétaires et exploitants d’installations sont tenus de déclarer leurs rejets de polluants provenant des activités à leurs installations si ces rejets dépassent un certain seuil. Les installations doivent également indiquer les activités principales qui ont lieu sur leur site afin de déterminer à quels secteurs industriels elles appartiennent.
Le mercure est considéré comme une substance de la partie 1B pour l’INRP. Ces substances peuvent avoir des effets importants sur l’environnement et la santé humaine à des concentrations relativement faibles.
Pour en savoir plus sur les exigences en matière de rapports, consultez nos ressources et nos guides.
En 2019, 254 installations ont déclaré des rejets, des éliminations ou des transferts de mercure à l’INRP; dont 198 ont déclaré des rejets. Ces installations appartiennent à différents secteurs industriels; le plus fréquent est le secteur des mines et des carrières (67 installations).
La catégorie « autre » dans cette carte comprend, notamment :
- les produits du pétrole et du charbon;
- l’aluminium;
- les gazoducs, les oléoducs et les installations de stockage;
- les produits du bois.
Pour obtenir des conseils sur la façon d’utiliser et de comprendre les données de l’INRP, veuillez consulter notre guide sur l’utilisation et l’interprétation des données de l’INRP.
Installations de l’INRP ayant déclaré des rejets de mercure en 2019
Description Longue
Carte représentant les emplacements des installations de l’INRP qui ont déclaré des rejets de mercure en 2019 par secteur industriel. Les données de la carte sont distribuées par secteur et comprennent les secteurs suivants : extraction minière et exploitation en carrière, traitement et élimination des déchets, électricité, pâte et papier, système d’eau et des eaux usées, ciment, chaux et autres produits minéraux non métalliques, fer et acier, produits chimiques, extraction de pétrole par des méthodes non classiques (incluant les sables bitumineux et l’huile lourde), fabrication des produits du pétroles et du charbon et autres secteurs.
Vous pouvez trouver les données utilisées pour créer cette carte en téléchargeant nos tableaux de donnés pour une année.
Rejets totaux
En 2019, 1 950 kg de mercure ont été rejetés par les installations ayant produit une déclaration à l’INRP, ce qui représente une diminution de 47 % par rapport aux niveaux de 2010 (3 657 kg).
En 2019, les rejets atmosphériques représentaient 95 % des rejets totaux de mercure par les installations au Canada, tandis que les rejets dans l’eau ont contribué au reste (5 %). Les rejets dans le sol étaient négligeables.
Rejets totaux de mercure déclarés à l’INRP en 2019
Description Longue
Carte représentant les rejets totaux de mercure déclarés à l’INRP en 2019.
Vous pouvez trouver les données utilisées pour créer cette carte en téléchargeant nos tableaux de donnés pour une année.
Rejets dans l’air
En 2019, 1 844 kg de mercure ont été rejetés dans l’air par les installations ayant produit une déclaration à l’INRP, ce qui représente une diminution de 44 % par rapport aux niveaux de 2010 (3 288 kg).
L’électricité (570 kg) et le fer et l’acier (455 kg) étaient les principaux secteurs contribuant aux émissions atmosphériques de mercure.
Les rejets atmosphériques de mercure les plus élevés ont été observés en Ontario (617 kg) et en Saskatchewan (478 kg).
Rejets de mercure dans l’air déclarés à l’INRP en 2019
Description Longue
Carte représentant les rejets dans l’air du mercure pour 2019.
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Rejets dans l’eau
En 2019, 106 kg de mercure ont été rejetés dans l’eau par les installations ayant produit une déclaration à l’INRP, ce qui représente une diminution de 59 % par rapport aux niveaux de 2010 (261 kg).
Les systèmes de traitement des déchets et des eaux usées (60 kg) est le secteur qui contribue le plus aux rejets de mercure dans l’eau. Ces installations ne génèrent pas de mercure, mais elles captent la majeure partie du mercure produit en amont des secteurs industriels ou de l'utilisation ou de l'élimination de produits contenant du mercure, et rejettent les quantités restantes dans l'eau.
Les plus importants rejets de mercure dans l’eau se trouvent en Colombie-Britannique (40 kg) et en Ontario (33 kg).
Rejets de mercure dans l’eau déclarés à l’INRP en 2019
Description Longue
Carte représentant les rejets dans l’eau du mercure pour 2019.
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Éliminations
En 2019, 120 042 kg de mercure contenu dans bon nombre de matières résiduelles ont été éliminés par les installations ayant produit une déclaration à l’INRP, ce qui représente une diminution de 30 % par rapport aux niveaux de 2010 (170 535 kg).
La majorité des quantités de mercure proviennent secteur du traitement et de l’élimination des déchets (76 534 kg).
Éliminations de mercure déclarés à l’INRP en 2019
Description Longue
Carte représentant les éliminations de mercure déclarés à l’INRP en 2019.
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Transferts aux fins de traitement et de recyclage
En 2019, 102 799 kg de mercure contenu dans bon nombre de matières résiduelles ont été transférés hors site à des fins de traitement ou de recyclage par des installations ayant produit une déclaration à l’INRP, ce qui représente une augmentation de 50 % par rapport aux niveaux de 2010 (52 255 kg).
La majorité de ce mercure a été transféré hors site pour traitement avant l’élimination finale, et appartient au secteur du traitement et de l’élimination des déchets (80 348 kg).
Transferts de mercure aux fins de traitement et de recyclage déclarés à l’INRP en 2019
Description Longue
Carte représentant les transferts de mercure aux fins de traitement et de recyclage déclarés à l’INRP en 2019.
Vous pouvez trouver les données utilisées pour créer cette carte en téléchargeant nos tableaux de donnés pour une année.
Mesures gouvernementales
Pour s’assurer que le niveau de mercure dans l’environnement ne dépasse pas les concentrations attendues des processus naturels, les gouvernements collaborent avec les citoyens, les industries et les organisations environnementales pour examiner les outils de gestion du mercure.
En 2010, le gouvernement du Canada a publié la Stratégie de gestion du risque relative au mercure qui décrit ses mesures préventives visant à réduire les risques posés par le mercure. Par la suite, le gouvernement du Canada a évalué si les mesures de gestion des risques prises pour le mercure ont permis d’atteindre cet objectif. En 2020, les résultats ont été résumés dans l’Évaluation de l’efficacité des mesures de gestion des risques pour le mercure.
Les mesures clés prises par le gouvernement du Canada incluent :
- le Règlement sur les produits contenant du mercure
- le Règlement sur la réduction des émissions de dioxyde de carbone — secteur de l’électricité thermique au charbon
- le Règlement sur l’exportation des substances figurant à la Liste des substances d’exportation contrôlée
- la Stratégie nationale du Canada relative aux lampes contenant du mercure
Pour une liste complète des mesures du gouvernement du Canada visant à réduire le mercure, consultez la liste des outils de gestion des risques sur la page de la Liste des substances toxiques pour le mercure.
Ces mesures, ainsi que d’autres dispositions prises par les gouvernements provinciaux et territoriaux, et par les industries, ont contribué à réduire les rejets de mercure au Canada.
Produits de consommation
Au Canada et ailleurs, des efforts continus et soutenus sont mis en place pour fabriquer des produits en utilisant des substituts de mercure, ce qui permet de réduire ou d’éliminer la présence de mercure dans ces produits. Des règlements visant bon nombre de produits de consommation sont en place dans le cadre de la Loi canadienne sur la sécurité des produits de consommation, ainsi que dans le cadre de la Loi canadienne sur la protection de l’environnement (1999).
Le Règlement sur les produits contenant du mercure est entré en vigueur en 2015 et interdit la fabrication et l'importation de la plupart des produits contenant du mercure ou l'un de ses composés. Le Règlement fixe des limites de contenu pour les produits exemptés et oblige les fabricants et les importateurs de ces produits exemptés à déclarer tous les trois ans.
Aussi, le Règlement sur les revêtements limite la teneur en mercure de tous les revêtements annoncés, vendus ou importés au Canada. De plus, le Règlement sur les jouets interdit tout composé de mercure dans le revêtement qui enduit un produit utilisé par un enfant à des fins d’apprentissage ou de récréation.
Environnement et Changement climatique Canada et Santé Canada continueront de mesurer périodiquement et systématiquement les progrès accomplis relativement à la protection de la santé humaine et de l’environnement contre les risques posés par le mercure par l’intermédiaire d’une nouvelle initiative, soit la Mesure du rendement pour les substances toxiques.
Coopération internationale
La majeure partie du mercure issu de l’activité humaine et qui constitue des dépôts au Canada provient d’émissions d’autres pays. Par conséquent, de concert avec ses partenaires internationaux, le gouvernement du Canada s’est efforcé d’élaborer et de mettre en œuvre la Convention de Minamata sur le mercure. La Convention, qui est entrée en vigueur en 2017, exige des pays signataires de réduire et de contrôler le mercure tout au long de son cycle de vie. Elle vise par exemple à réduire les émissions atmosphériques mondiales, l’offre, le commerce et la demande de mercure, et à trouver des solutions respectueuses de l’environnement pour le stockage du mercure et des déchets contenant du mercure. Elle soutient également l'élimination progressive de l'utilisation du mercure dans certains produits et une réduction progressive de l'utilisation des amalgames dentaires.
Le gouvernement du Canada participe activement à un certain nombre d’autres programmes régionaux et bilatéraux pertinents. Ces derniers comprennent notamment l’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs et le Protocole relatif aux métaux lourds sous la Convention sur la pollution atmosphérique transfrontalière à grande distance.
Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs
Les Grands Lacs sont partagés entre le Canada et les États-Unis, et sont essentiels au bien-être de millions de personnes. Ces lacs :
- contiennent près de 20 % de l’eau douce de surface de la planète
- soutiennent 4 000 espèces de plantes et d’animaux
- servent de base à des activités économiques d’une valeur de plusieurs milliards de dollars
- fournissent de l’eau potable à des dizaines de millions de Canadiens et d’Américains
La première signature de l’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs entre le Canada et les États‑Unis a été faite en 1972; puis l’Accord a été modernisé en 2012. Il définit les priorités partagées et les mesures nécessaires pour restaurer et protéger les Grands Lacs.
Aux termes de l’annexe intitulée « Produits chimiques sources de préoccupations mutuelles », le Canada et les États-Unis se sont engagés à élaborer des stratégies qui comprennent des mesures de recherche, de contrôle, de surveillance et de prévention de la pollution, ainsi que d’autres mécanismes de contrôle visant les produits chimiques nocifs. Le mercure est évalué au moyen d’une série de différents indicateurs environnementaux.
Protocole sur les métaux lourds
Le Protocole relatif aux métaux lourds a été adopté en 1998 dans le cadre de la Convention sur la pollution atmosphérique transfrontière à longue distance. L’une de ses principales obligations exige aux parties qu’elles réduisent leurs émissions de plomb, de cadmium et de mercure en deçà des niveaux de 1990. Le Canada respecte l’exigence en matière de déclaration annuelle énoncée au Protocole par l’intermédiaire de l’Inventaire des émissions de polluants atmosphériques.
Prévention de la pollution
Il y a plusieurs choses que les installations peuvent faire pour prévenir la pollution et les déchets à la source. Voici des exemples d’activités de prévention de la pollution (P2) que certaines installations ont entreprises relativement au mercure :
- la substitution de matériaux pour réduire l’utilisation de produits chimiques à base de mercure
- la récupération, la réutilisation ou le recyclage des déchets contenant du mercure
- la modification de l’équipement, des processus ou de la conception des produits pour réduire l’utilisation du mercure
- la réalisation de tests sanguins pour déterminer les concentrations sanguines de mercure
Renseignez-vous sur la prévention de la pollution et la façon dont les installations et les personnes peuvent aider à protéger l’environnement.
Analyse
Ces tableaux présentent un examen plus approfondi des rejets, des éliminations et des transferts de mercure déclarés à l’INRP. Cliquez sur les différents éléments du tableau pour en savoir plus.
Description Longue
Année de déclaration | Rejets | Éliminations |
Transferts |
---|---|---|---|
2015 | 2 353 | 70 271 | 59 853 |
2016 | 2 370 | 123 135 | 49 096 |
2017 | 2 168 | 105 284 | 47 341 |
2018 | 2 201 | 96 027 | 55 997 |
2019 |
1 950 | 120 042 | 102 799 |
Description Longue
Année de déclaration | Rejet dans l'air | Rejet dans le sol |
Rejet dans L'eau |
---|---|---|---|
2015 | 2 234 | 7 | 112 |
2016 | 2 227 | 0 | 142 |
2017 | 1 996 | 53 |
119 |
2018 | 2 090 | 0 |
111 |
2019 |
1 844 | 0 | 106 |
Description Longue
Année de déclaration | Éliminations (saufs résidus miniers et stériles) | Éliminations des résidus miniers et stériles |
---|---|---|
2015 | 61 333 | 8 938 |
2016 | 111 014 | 12 121 |
2017 | 93 979 | 11 305 |
2018 | 74 005 | 22 022 |
2019 | 85 424 | 34 618 |
Description Longue
Année de déclaration | Transferts hors site pour recyclage |
Transferts hors site pour traitement avant l'élimination finale (sauf résidus miniers et stériles) |
---|---|---|
2015 |
24 349 | 35 504 |
2016 | 17 313 | 31 783 |
2017 | 18 139 |
29 203 |
2018 | 24 121 | 31 876 |
2019 | 20 036 | 82 763 |
Description Longue
Secteur industriel | Rejets | Éliminations | Transferts | Total |
---|---|---|---|---|
Autre |
82 |
175 | 14 | 271 |
Autres (sauf fabrication) |
0 |
80 | 26 | 107 |
Pâte à papier et papier | 59 | 63 |
11 | 134 |
Ciment, chaux et autres produits minéraux non métalliques | 300 | 0 | 4 | 304 |
Systèmes d'eau et des eaux usées | 111 | 199 | 41 | 351 |
Électricité | 570 | 629 |
131 | 1 330 |
Fer et acier | 455 | 1 306 |
349 | 2 110 |
Extraction de pétrole par des méthodes non classiques (incluant sables bitumineux et huile lourde) | 24 | 2 116 | 0 | 2 140 |
Métaux (sauf aluminium et fer et acier) | 106 | 7 787 | 21 874 | 29 767 |
Extraction minière et exploitation en carrière | 210 | 31 152 | 1 | 31 363 |
Traitement et élimination des déchets | 30 | 76 534 |
80 348 |
156 913 |
De plus amples renseignements sont offerts sur l’INRP et les substances dont il fait le suivi.
Pour une recherche plus approfondie, consultez les autres cartes et ensembles de données de l’INRP. Vous pouvez également utiliser les données de l’INRP pour créer vos propres analyses.
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